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 général eraent formées de hautes montagnes. -De cette double déposition, 
   ilré s è lte q u ’il  fauît Teconnoître‘oessrivages-de très-priès ipo urne  
 pas  s’eii  laisser  imposer'sur  leur  véritaMè*structure. fSMfoh s&  
 tient-en effet  tant  so it peu  au  large j/il est  difficile  de  soupçonner  
 J’eXistence  dé^eisrfsiàmes-,'ét'de me  pas  croire  parfaitement Hp-  
 tinctes lesipbftfôns d e 't^ ê '^ u  ils lient l’une àdfautre. Mous-verrons  
 bientôt les  navigateurs‘les  plus, célèbres ; ‘T a sm a*n ,  Ftjrneajüx ,  
 F l in d e r s ,  abusés  eux-mêmes  p a r o t t e   circonstance* singulière;  
 et l’on  ne  sauroit  douter  que  l’erreur  de  la  carte  de D entre^as-  
 teaux  ndiSôit'due à la même  cause.  L'on  co n ço it,  e n ^ fe t^ tjü e   
 ses ingénieurs  ne' s’étant  pas  avancée-âu-delà  de  la pointe  Renard,  
 e t n’aÿarit  de  cë ’point  ni  la  vue-de  l’isthme  très^Bas squi  se trouve  
 dans  le  fond  de  là  baie  Frederick,  ni  celle  d’aucune  autrêMferre  
 au-delà ,  puisqmeffectiÿementdl  lïyna  plusuque  la  grande-/per,  
 o n ’ c o n ço it,  dis-je, ‘ qu’ils  auront  pu  d u   que  même  ils  au ro n t dû  
 eéôiPé  à  une  communication  directe  de  la   baie  du ‘Nordîsians  
 laquelle  ils  se  troüvoient  eux-mêmes,  àvéesUa  baie'Fre'dérick|^de  
 T asman, qiTils savoient  exister sur le même-point et dans la même  
 direction. C ’est ainsi queles observations physiques fet géoibgiq&es,  
 beatfcôüp  tro p   û%lfgéèspar  les  géographes ’ordinaïrds',  p é d a n t  
 éclaircir so u v en t  et résoudre quelquefois les difficultés  de C^gepre  
 les plus  délicates  et  les* plus importantes'/:?? 
 La -misstonde M'.  FreycÏnêt  le  jeune  n’éfoit  pas;d’une  nature  
 aussi  difficié  qùë  celle  dont  je  viens  d’indiquer lès" /esultats^ôelle  
 fut aussi beaucoup moins lo n g u e e t- c e t  officier,  parti  du  bord  le  
 io rfé v tie ri ÿ  bit  de  re to u r le "22  au  soir.  A  peu tfe   distance  au  
 a  Nord  d u   cap  fiemier,  il  avoit"découvert  un  grand'marais pâlé  
 qui,  par  une  ouverture  é tro ite ,  obstruée* de  gaieté/  vënoit  communiquer  
 à  la mer.  A u -d e là   de  ce  marais,  et  par  le  travers  dé  
 « lo t  d u  N o rd ,  1 avôit reconnu  l’existërtcê  d’tSi  petit p b r t, ' | 0b$  
 le  fond  duquel  viennent  se  décharger  plusieurs  ruisseaux  d’eau 
 saumâtre ,  dont  quelqûes’iuns lui  parurent susjseptibles  d’en-fournir  
 de.plus douce durant la saison d.e§ pluies ;  ilsnomma ce petit enfon.-  
 cement Port Montba<dn, etpourspivit sa roule  au Nord.  Il ne  tarda  
 pas  à '•$& trouver-par  le1 travers' d ’une'.grosse  p o in te /q u il  appela  
 Cap  Bougmnviüe.  Ici  la  côté,  prend  la  direction  du  N. N.  O . ,  et  
 vâ* former, à  :fa hauteur de  l’extrémité."Sud  ,de  fîle*§chouten,  une  
 petite „ crique  assez.- profonde Rimais  exposée. /fojfcou&es  parts  aux  
 vençs  du  Sud  par- l’Est,.  A, 'dès pdinfVsë rerminotitla. reconnoissance  
 <jpM.  L.  Freycinet  :  il  riou£rfj|^£e' maintenant  nüfoirç^éonnoître  
 1 espj3sultats.de  la nrfffion  de M.  Fâ#J^sated|es>®j^^dten. -  - 
 de 1-île,Maria,  se  p té p ^ fe , ,f|tâdl^3|esdés$ëajrtes)gdn©j  
 râlés/on  particulières  dé  ’Getté'iré^bpSfîune longue  chaîne  d’îfesjjj.  
 quMssjOusdejnûna  d’/Z^s» Schdufeti^^^bq\è^^viti^3: ie  flanc Oriental  
 <|f ja  terre  de  D iém e n ,é n   laissant/pn  la r g e d c a h a lp lu to ty u m   
 long, détroit  entretÉetae  terfs?*et”' ê i i ® u v e r  t ef-  par 
 T-AS.MA;N#:eèi.f-  -elles  furent/recoiifttu^vd’unei manièréfspl.us 
 e^actë^parEuRNtAwX-en  i ^ à B e t  lé ^ ip ftb ifeF ^ iN B Ê ^ /è n  ï^g’ÿc,  
 lès/rangea  lui-même rf'assêz.  .travaux ,réuni§de|»)%  navigateurs  
 aussii justement  céipbrés  nëm<&ji|. pepméttoiept;|Fàs  d’^ever  
 le-moindre" doute  sur  l’ê-xistence  de’ces^desi^majs ,-'comme ..aucun  
 d’eux  n’avQft-pénétré  dans le *det£pit  quelles deyojent  laisser entre  
 eUM. eM a ’terre  de* Dienapn',  M.  Faure  fut;chargé  d’aller -foire  
 ceîtfe'dernièré  rëconnoissance. 
 Âp ris/av o ir,  dans-,1a  jôurnée/flu  déyr|er, ;prpl|o,ng|/la -côte  
 défia  .terre-de Diém^n jusque  par le-,traversu<4iu..>cap  Bougainville,  
 ilp p rta ,  dès  la matinée  dy  2uoj au N.  E . ,  afin  d’aller’attaquer  la  
 |îlps?Sud' dfes*ji,es  qu’il ‘ devoir visiter.  A  ^nz,effieurés^il  découvrit  
 un  îlot  qui  seïtrouvort  dajfoda  direction finême  de  sa  route/'« .Qe-  
 53  fut alors,»,  dit M. B ailly ^ t que nous^commençâinesfo.sentir  un«  
 3’  odeur .t'rèsfîforte. et  très-désàgréab 1 e,/„elle  augmentoit igraduelle-  
 33.ment  à.mesure  que  nous  nous  rapprochions  de  l’Mot': parvenus  
 33  à une  petite  distance  de  ses  rivages,  ndusrfp-s -trouvâmes  couvert^ 
 n.itói