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 obligé de me  détourner  de  ma  route  pbur'%ë  pasvêt;re  abordé, par  
 ces  énormes  cétacées^  je  vis  quelques  tortu'es'  et  beaîfc'dup  
 de  petits  squales'ou  chiens’de'i£er.  Je  passai  la  nuit  sù$ la Jointe  
 Sud  de  la  baie  dés  TétfC&crçg  que  je’ poïnmai  Roi& 'iè  dü  Êefiïge :  
 on, eris verra  bientôt  ,1a  raison,  • 
 Dans  la-journeeuiU) 4* ^  doublai  Ie cap  Ransonnet,  qui  ferme  
 J extremitqiSud  dédile DirckHartighs-, etr complétai  la-'géographie  
 du MèÊf^^^"épineux j  ainsi' nomme  par.-DAMPiER,  des»  brisarîp$l|an-  
 ger-eux  qui%^ détachent  de  la  côté  S.’ O .  de  l’île. <A Ja  nui#fom-  
 bante^je  despendisdans une petite baie Voisine-du  cap Radsbnnet,  
 oùifiobservai plaaejirs  .trous  deda’ grossiste d'un!' homme  qui 
 seiüb|oient  constitue^autant  déUerrieïsfHili&éTob-difficilèhdet^èup-  
 ^onner  par  quel  animal  ils  onrété^creusés,,  la. plus.grande  «pfêce  
 de- quadrupède que nous-ayons observée,-sur  edtt^êle, étant  à  peine  
 de  Ia  grQs^çnKid’un  lapin,.  ; 
 •  Tôute>la.jaumée  du* 5  fut.perdue à,; IoüvoyeïAaont-rjê'dfe^jÉits  
 contraires ;  et je  fu's  réduit |f^^nirrche|F|Jber  un-^asil.e  pour  la  nuit  
 aila pointe  du  Refuge. 
 ■ î-E.e  6 ,  durant  tout  le  jour^le  mauvais.-‘të-bips Continua,  'èfcïme  
 fit Courir  les-plus. grands  dangers?au .milieu  dés. haùts-fondS^qu«  
 trouvent* à  l’omveçture  du-havre  dont  je  parierai; Bié'niôtp^  
 c L e  7 ,  après  avoir, navigué’ tout; le  jours'sur  un  banc  de; sab l'^ u   
 javois  à  peine- assez  d’eau  pour  faire  flotter mort- em b a r ca tio n »   
 descendis  le  s #   à 'tefre ,  et  débarquai % ^ v a& kn "jk trq   îlppJqui  
 ngsi  éloignfdu rivage  que  d’une portée;de  fusil.  J’aperçus -dans  le  
 s^W ^ iS a n d  nombre de pas dé  sauvage;*;  sans pouvoir cependant  
 déçouyrir  aucun  de  eps; hommes.  Autoüf  de  diversjfeüx  éteints,  
 nous  vîmes .beaucoup  de  débris.’  de  coquillages  et  de  popfp'ns,  
 mais, point  d’ossémens  de  quadrupède ; ne  qui  me  porte  a içéaire,  
 que  Içs,  habitans.  dé  çetré portée* de  la  côte  tirent  de  la mer  .fhm  
 nourriture  principale. 
 \ Non  loin  de, Mot- dont  jbhwèns  dq, parler j  nous  rencontrâmes^  
 une. grande  quantité d’huîtres  perlières», no;s 'matelots-en.  recueil-,  
 lirent.beaucoup-,  e tfyjtrqu.vèrents  quelques,  përles;  dont  la  plus,  
 grande  nia voit  pas'uné’  demi -1 ignôéde/diàmètrec  . 
 Le  8 , npus.yenions ^âpRarqi.lif^,, et n^s$hous  trouvions  à deux,  
 portées  de; fu4il  dipïivage,  lorsquq nousïiy^yrnaes,«descendre  un  des  
 naturels  <|uépnous  avi.ons'siïAainénfen.t<cberèbés  la  veille.;'  il  noms  
 examina  quëlqfie,s|y:n§-kns‘.3p^^ s’énJr'étourna  tranquillement-  vers,  
 l’intériçürfdqs  tèrfèsjt Jes ne  tardai p^àjdéccfmvrir;ùne  ouverture,  
 qui  me  parut,  devoir  ©tr.e^l’gntréëV; d’une  rivièreope  fis -plusieurs  
 tenta%ve^,pour  y  pénétrer-;  rqMts^ce  fut  en.yain;  unbaric.de  sable  
 continu en'ferna o.it, l’entrée,  et m’empêcha deyrésoudre mes£'do,ùtesî  
 Qe,rte%iyj4re-/r%He^pujîsuppoSçé,;l'S;eroit_>tou}q:î^rs3‘■ tI;ès-peu  considérable, 
  .pt^ns aucun  intérêt  pèjirde's.dîavigatcyrs %é, cause  de  l’im-  
 pc^biljté  d’y  abordèr*  Elje+se; trouve  indiquée  dahs ma. carte sqilk  
 Ijlnprh  de 'RlvMreyiîff^Sêéé^^. 
 ApjpÉ'yaifiqè^ÿbl'é-  tuf gradth  cap.  que,-du  nom.  d’un  de, mes.  
 capaâjiades, j’appelai ;Gap:Hpifk^o'^ je^pécopnus  unjt coupines-assiez  
 laïgdf  dont - laàtdiÿe’é^ip'n  ét © peu-prê|pdu  ’Nord  am -bjud.  En.  
 pénétrant  dama'cet  enfoncement., qe  ne  tardai  pas  à  m’apercevoir  
 qü§d|?nre  trouvais dan$$ii® petit havre  fort beau, mars qui’malheu^  
 rèusément  étant  fermé -par  un  banc  de  sable  sur1 lequel  il  n’y.  a  
 que  qeptimètresv-d’eam|q;tpieds]feera  to>ujoiir^inutiIe, pour  les  
 bâpi^ns-.-jG’èst^ansJâ  vue  d e   le  faire  connoître.spus  çè.rapport,;  
 que  jprfai  nommé  Havre.1 inutile.  La  pointe;dü; Noyd^ de.  çe, havréj  
 eé^;-formée  par  un  gros  cap, que  j’;âi.désigne^sAysdeinom.de  Cap,  
 Bdjefin*,  de îp&Jui  du  médecin^estimablei d e   nptreccoÿvèttp.' | 
 L e ,  après-avoir terminé  la-  recpnnoîssànçfej.dui Havre  inutile,,  
 je me  p.o-rtai  dans .le’; Sp'dponr sreprenfipë*-mon; tjavail; au  pqintfpù.  
 Mravoi^('®pmme.Bcé  le  7 w a ^ rd a i.  |pir  sur  un  petit  îlot 
 s,5jp%ftiSoli-tairq;,  nous  pasSâm-es- la^uiç. ^M^siîy  trouvâmes  un  
 nojqibre  prodigieux  de  diyérsf||)iségU'X  de  mer,  qui,  aussitôt  que.