
 
        
         
		La  terre  de  Diémen^epermiife,*, s^r Æ^gojnt,  par  un ^g^os  g|p  
 de  deux  ou  trois cents pieds  de  hauteur perpendiculaire, que  nous  
 Pi. iv, fig. 4,i)t  ayons nommé  Ç#p  Dêgfylando,  en  1 honneur  du resp.eQ g j^   
 de  efensom.,  | 
 ; Au-delà  d a^ em m a p ^ fe s fe r rÿ^ lè v çn ^   
 pi. iv,fig. i.  groupes  de  montagnes  s’élancent  du  sein  des  eaux ;  réunis-  a  leur  
 base par un isthme  sablonneux et déprimé ,  qu’on  ne  peut  agpree^ 
 1  voir' que t de  très -près ï ils  paroissent  de loin  comme  d e u ^ |^ .|iS -   
 tinefes, ^gsphautes montagnes sont  primi^yps^eprs  spnt 
 grandes> lem^ couleip:  estp oeli^de da  terre  d’o^pe^lw.Es .ppntes  
 -  font  rapide^-,  nues,  et  gercées«;  d e , 1 ç,ur.^uriàçe  ;^èY;ept^^.,e4 la  
 quelques  aiguîllel||drtaires s en  plusieurs endroits ,;leur^re^>rd^est  
 t^ilfé^ômmé. un  rempart. 
 PUv,Vig.î,w,%;. La baie*Thouinv  étroite  ec7pedprofon.de,  entièrement Ù | p f é   à. 
 l’Est, «e dessine  entre  ces deux massesS^^Qntagpes, q^psÿ||r||nt  
 éfi  avant  d’elle^  comme pour  lût  formeridet^ ^ps|^pSpl.^iti_ée.  
 Celui  du Sud  étant  à-la-fois  le^pius pillan t e t'le :p | is ^ e ^ | r^ b ^   
 par  sa  Hauteur et  la hardiesse  de  ses,formes,  p°^s^|ui|^ï^s^pjîne  
 Pf.iv.feï.pV-db  nom  de  €ap  Forestier  d'gît par  la  latitud&xfe^^  i  4 
 Du cap  Forestier  ju’squ’à.celui  qué;nc^^,|V<^S'.3apmme^^^ptirp  
 la  côte  forme  plusieurs  petites  anses  sablonneuses, ; peu  considérables. 
   'Dans  ce  dernierpesp,ace,;v.lesiieries -».soÿit .p e a ^ o u p ^ o in s 
 élevées, que  celles''du  Sud ;  mais  bientôt , e l l é ^ ^ ^ I ^ e p t ;ÿ ||s   la  
 pointe  S!-Patrick,  de Furneaux :  elles paroissent bien boisées sur  
 ce  point;  et Ton  distingue  des  Vallées  agréables  e n tre ' les  montagnes. 
   'Foute  cette partie de  la  côte  étoit  couverte  de  feux  et de  
 fumée  lorsque nous y  passâmes.  ' 
 pi. ix, fig  4,  De la pointe S.t-Patrick à  celle  de S.te-Hélène,  les  terres  conti-  
 ■ puent  à  s’élever  davantage ;  elles  se  pressent  sur  plusieurs  plans,  
 dont  les  derniers .'sont  repoussés  au  loin  dans  1 intérieur  du  pays.  
 Quelques pitons sè détachent,-à divers intervalles,  de cette longue  
 pi. iv( fig. i,\4),  chaîne  de montagnes :  l’un  d’eux futnommç P ic d ’A rçolejsa Cime 
 rtès-aigue^etéevf^éseiitieusdus  la  forme  d'une pyramide trièdre :  
 le.pMfémâ’rquaJbfépSiëhtre^êux  paraît  avoir plus  deAdÿêcrmètres  
 [ipipunisés]de hauteur;  ri s’élèl?enommelühmôtrêdmmen§d'à  < o u   
 6  heuoeS' Hads  l’intérieur  » » u s  devons  npSimé  Piton-Pi iv.fig. *,p). 
 Champagny;  il* gît  dSans$àe .S§  Ôüide.ia pointe  S,te-Hèlène. 
 A   peu  de  distance'.auSudfoé' dêSfce  même  -pointe,  par  4 i° 
 Sud ,‘ est  utie  petite  .île  qui  mérite  d’autant  plus  d’intérêt; 
  que,  dans un ..temps  où  la  plupart  de-1. sOûîd&F'dè  la'grande  
 terre  étoienf A ssé ch é e s ,  elle rput  fournir  de  iéâu îddiiëê À% e iS   
 de  nos  malheureux^hïpagpcins  qu’on' >'noid tviéBraT b'ieajifol;  forçéi  
 d’abandonner-  sur - cei>  triste^ ' rivages«;;E^sFfayè®s ''àotthiiéê’ Hè  
 du  nom  de. inspirant  ,qui  €»m®ïândbit hio'trt 'grand  
 canot 'dansvia ;effcfcansta3ace‘ dont-je  -veux  parfelv"  '* 
 •fLa  bdie  tÿiè  X"  èh FMthCTal le  Bofeïpris 
 çnfre  la  pointe  Spdddéfêae .et  ceiïe, d’Edcfy^û^^^flp^S'i^arge,  
 t ^ üpeu<jpiofonde;, Ouverte  à  toutHesdenfè6d»©Ma‘ pariée■ de-  
 Les;  c®i;§|iïd^>Fÿbttev  lo ^ u è   bàâ ^h-nomposetït  $l||  hàutjÉpmori-*-'  
 tapies  primitives; kopvertnsTïjusque'sür léursooeiùét  d’une  ver-difrè'  
 â'ggéable pHéicap  Eddyspoiré’-’esr foi-même d’unéi'tiiès-gf-and^élë^  i  
 Yatrôn; cet  la “coupé  en  este èsêarpée. 
 D e   ce dernier point  jusqu’au  cap  Portiand^  fa côte siabaEse-aVep  
 rapidité!  en pfosidurséndjmh^tmétfieÿe-lte #é'st-forméh que de-dunes  
 uniformes  et  sablonneuses  t'-,cependant  on  aperçb^âraore  d #   
 montagnes  dans'1 intérieur  ,du  pays;-  mais  ellesTéfeifêignent  d’atfo  
 tàdtcpluâ^ü  bord  de  la me*,  qu’on '-remonte- da-vâïMtfei ÿëfo  le  
 Nord.  ' 
 *A. peu  de  distance'.àu-dessus  d’EddystQRe'- e-srune  an&e’  étroite?,'  
 mais, p rofonde;  elle est  entièrement  remplie'  de;brisatoS. 
 Plus  loin  encore -sei présentent  d-etfo  gyoupetede-*0«Jhers,  d’un  
 mille détendue,1 Ég de  l’aspèdt  l'e  plus feizaMekiôn^eitoiît tenté de les  
 prendre  pour  les:mines. dfe'^eux  grands  viMâgés;  et;fillusion'ài  cet  
 egardiest si parfaite,  qu’il  n’est pas-jusqu’aux clochers  detcés'vSÏlageS  
 TOME  I.  ,  -  Q q