
 
        
         
		-administrations  Cities  de  -la .colonie*^  toutes  celtes  qui  se  a p portent  
 à  la  navigation,  ail  commérce,  a la guerre,  devant Tester 
 & Sydney'.  '  '  '  ‘ 
 Vers"Textrémïitê' oecidenfale  de  la  grande  rue  de  Parramatta,  
 on  découvre  le  coteau  de  RÔsè-Hill,  d ontda  cfte d abords- a^oit  
 reçu  son nopif mai||psM'i  de  Parramatta,  que  ies naturels donrient  
 à  c^tte  partie, de  la  contréej a  généralement  préyâk  p a r à iK .  
 Anglais  eux-mêmes.  Toute  la  fe.ce  orientale' *d’e  Rose-HtlP o|fre  
 Yers  la ville  une pente extrêmement adoucfpt-sùr' laquellé^îe' d ^ e-  
 loppe le beau  jardin  du Gouvernement.fSMbnt suivis  avec'ardeur  
 d mtéressàns, fessais pour la naturalisation des végétaux êtrangerra la  
 to lo n p  /"cest  encore  là  qu’ôif V  rassemblâtes  pfàhtes  inâg^nes  
 tes' plus  remarquables.,  destinées  à'  enrii^r/le^Yêlêbrêl^^^ins  
 royaux  de  K ew ^ e e sfd e   la  qu o n f  été _ sùccfe'àsMementarées  la  
 plupart de  celles  dont  FAngleterre a  feit,  daiis 1 0 derniers femps,  
 l’acquisition précieuse,  et  qnr sont  d ev ën « è s,p o u rte   n a tu ra lg s  
 Anglois,  la  sOurce  d’honorables  ouvrages.  Un 'botaniste  ^Ç ÿ é ,  
 infeg^ie^#mode«ie, M. C ayley, ^ v fe n u  d’Enrope-pour diriger  
 Je  jardin  de Tarramatta';  m. le  savant  colonel-Ml P^EKS'ON’f -à|qyi  
 da.Nonvelle-Gallesd'sl redevable  deTet établissement,  
 prendrè  îm  vif intérêt.' 
 '  La partie de Rose-Hilf opposée à Pîvrramatia^ésÿite'ime c<gpe  
 abrupte/erforme urfgrand croissant,  qu’on  seroit tem^d^^^rder  
 d’abord Êddtine ün: ouvrage  de fhomme.  A u  pied  
 guliêr,  coule  un  ruisseau  peu  considérable  dans ' 1 esc temps  fpdi-  
 nàires,  mais  qui,  lors  des  inondations,  si  feequèntès  et  si  terribles  
 dans  ces  climats,  decent  une-source  de  dêslstre^  f  oûr  lès-pian- 
 ’  v   ” ■  'K  '  ■  '  '  ' 
 Au  sommet  du  coteau  de  Rose-Hill,  s’élève  la  maison  du  
 Gouvernement  dë  Parfamatta*;  elle  est  sirtupie j  élégante,  tbien 
 * Ceîte maison «tu Gotüyemem.-ent àPaira^-  '  tiom. qi£e%e^ reçu de la formas  
 mat ta iWelIfe  l^ë?oâh& l& z Credent],  k   colticequi l'envirèjine. 
 -  distribue, 
 distribuée y. et rire  son  principal  ornement  de  sa  situation  même,  
 qui  domine  la  Vide.,  ses  prairies,;<;â,e& .forêts  et  sa  rivière.  Cette  
 maison  est  ordinairement inhabitée ; mais da  disposition  et  l’ameublement  
 emsônt  te k , que  toutes  les  fois  que  leGouverneur général  
 et le   Lieutenant+gouverneur’ général  viennent y passer quelques  
 jours,,ikfpeuvent Tun  et  l’autre  y  loger commodément,  ainsi  que  
 leurs  famiMês- et- leur suite,, 
 ^ Ç ;e sfutp^pa^©meg„au;,çharme natinei  dhin jtb e a u  site,  que  les  
 Gouverneurs  Angiois-établirent  à Rose-Hilflfes premiers Vignobles  
 de  la ^ Io n ie  Lsj.|l^,yrigne  avoit pu  réussir  sur  le revers du  croissant  
 dont  je  viensde, parler,  la maison  dujGouvernement eût  alors été  
 comme  enceinte sur ce point par un®che.amphjthéâtr& de pamptiéé"  
 et  cje  verdure;  mais  l’expérience  a  malheureusement  prouvé  què  
 ^ette  position ,êtoi0cfe toutes  .oêljes  qu’on  eût  pu  choisir,  la  plus  
 défavorable. ^  la  culture  qu’on|^s|cpyoposoit-  d établir.  En  .effet-,  
 Çêtte  partie  .de^ofe-Hill  se .trouv,e,je^pff|êÊ->.âU Ni- O v   ot  rien  n’est  
 plus  redoutable quelles .vents'  qui  soufflent  de  ce point de  la  Nou*  
 velie-fiolla'nde. 
 ^.•^,ussi, malgré  Ip-suecès  que^sembloiént garantir  aux plantations  
 d e|||  genre, la  température  du  climat' et  la nature du  S0,fJëS  plus  
 grands: sacrifices  n?ont-ils obtenu  jusqu’à Ce  jour  que  des  résultats  
 jléeOüfâgeans.; En vainie Gôuvêrnéineiit Anglais  a  fait  porter  a  la  
 3^ ouy-die-Gal^teâ meilleurs plants  du  cap  de  B onrte1-Espérance;  
 ^sst  Ganari^V dp  Madêrfej-^de ÿ$jKgék*'èâ  fet  de  Bordeaux ;  en  vain  
 il  a  fixera  grands  frais, des- vigneronsTuropépnsÇau  port.Jackson;  
 l’activité dejcês- hommes  et  leür  inteljigCpée\ Ont-  échoué  cpntre  
 .les,terriblestVents‘ du N-.^O.- Pendant  un  Second  voyage  que  je  fis  
 avec  le  colonel  Paterson  à Parramatta,  j*dtlS},sou vent  ode'âsioH  
 d’interfoge^néf  vigneron^,  dont  detMétoiëpt  originaires;»de  Bordeaux  
 ;* tous js’àfccordéîtent  à dire que  le  climat et délspl-conviennent  
 parfaitement  a  là  Vignê>;  mais  qu’il  leur  paroissoit  impossible  
 qu elle pût  jamais  y râjtesir,  tant  qu’on  s’obsti-nferoit' à fconsdrveYleS  
 TOME  1.  *  I  S  1   i * o S \