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 des  disparates  affligeantesVceliesr du -soir-,  parexempfe, A'ous ^do'rf»  
 noient  beaucoup  plus .do'cliétnin dans  l’Esæt>  quBieèîliSSdu  matins  
 Ge  phénomène  du  mirage m’a  paru-dépendiie#suE;-tôut  dès>variai  
 lions prodigieuses de  la -température».@t-de  l’humidité ^quf^épèrent  
 aux  memes  époques  dans  l’atmosphèrej  de.  èëferégêons }  ainsi  que  
 }-’aurai  plus  particulièrement  occasion <d’en  parler  adletirèM* 
 / L e   2i?*èt  le  3 -, ‘nous io^ntinuâmes-  l’exploration  de  la  baie ;  le  
 dernier  jour^dous-mouillâtoes^sur  les-huit  heurès^dlâMVf^. à,deux  
 lieues de  terre  environ, par  ia^Jfeèasses  d’eau^fond  dd^ahle  fin,et  
 blanchâtre. 
 Le  4  au  matin,  je  partis  à- la  pointe  du  jbteVdans■ notsf èjafetk  
 canot:commandé  par  M.  Bré ton;-  M .-L/EscHi>M%îi||fibotaïîi-sté'f  
 »  dèscendoit avec notes;  A-p'etee-débarqué sur  la  p'iàge, je  m’élançai  
 vers  les dunés  de  sable  qui" hordbïeï^fe-iftV'agey et rru enlêfeçaFd-an^  
 l'intérieur,  pour  y  chercher  les  naturels,-avtec’lesquels  j&<dfe’Si1f®iâ  
 vivement  établir  quelques  rapporté "/»mais  ! vateemênt^jte  "côifrùl  
 d an sa s   forets  à  la  pist&de  quelques-uns d ’entro'eux,  dont  paCpë-r*  1  
 cevoxs.çà-etlà des  traces»récentes;-lentes mes  effortstfurèm-ifeutiles^  
 et-après  trois  heures  d’une ^co'ufsë>%ussi -fatigajitfe  quinftùcMéia’sd^p  
 je repris  tristement fe;ej^enûn  du  rivagdidè^a-m'er/ j’>y<kroUVai4niè®  
 compagnons  qui  m’attendoiemalarmés  déjà  de  mon-âhsdficè%‘et  
 de  suite  nous- nous  embarquâmes  pour ret'ouftaer^à  bord, où- nous  
 ne pûmes  cependant arriver  avant  six  heures dji-sscfînytant  le  calme  
 et  les  courans-étoient. contraires, à  notre jroute.--  ■ 
 MM.  Bernier,  Riéd>eé^  D èf&gh  et  M a t c é -/éi-bient  pareille^  
 ment  descendus^  terre  sur  un  autre  point;■ tisane  tardèrentspas  à  
 retenir;  Plus  heureux  que  notesy  ils  avoien-t  ïencontré  un • naturel  
 qui  pêchoit  sur  le  rivage,  tout  près  de  l’endroit  où  leur  déba#  
 quement- s’étoit  opéré.' C e t  hommedeur  parut  être  un  -vieillard f  
 il-étoit  barbu,  d’une-couleur  brune,  entièrement nu,  à  l’exception  
 d’une  peau  de  kanguroo  qu’il  poxtoit -sur ;  les  épaules/-«et  qui 
 lui,’ deiotndo^i^lp^ne-'jwqu’ate - »mifèù/des rrein’s. ,L  aspèet-de;  ces  
 Jiojnmes-fameônn<t^^#sem!hja^|%âBvQMdï inquietèf ^eimdbup  lé 
 p ê c h e ü x ^ ^ âM a p É ^ â n ^ b iê h t^ u ’^^érchoi'eiilàfé'joindre', 
 R am a ss a   p j ^ p |§ r » ë n t ï  tt< |i ^ 3 a i è ' qu’il éiï'<ʧ dépoSeësj.sur  la  
 plage,  ei^ id e.s/ïn àst ej&ujeeune  
 'Sp^i-dé -  montrant  à - d ^ ^ ^ § ^ /^ p   n^s 
 ipa-roissant  d’0   /ffgàlement 
 surprisse &la ^ n t f â a a n ^ e i d ' e ^ d ê ^ c h ^ q u r   deisa  
 harafflgûpf* de  la 
 arrêtélj^1ô u r!h e /p ^ l’i|cté»r<m^^'^i^bHqùw^^fiË^|dt;/DE5ùcïf,/? 
 ihgépe-ut  d f s - /n ^ |® s ’av a n ç â -t^ ÿ  j£fi&|iâgtVï>sc ul  et  su&  aV?i$i‘  
 f r i  ant  'T d io ÿ ^ ^ ^ sû ^ ^ rlf{0lfén  l ù i , p |^ ^ î i t r î'Mn- | | f p 8 |   
 de  verre,  dont HSëat  parut dxpàifeVlihs  f |& f ! â ! f Afe iS tiÙ ie n t  
 de  la  pins mvé  a d m i r a t i o n t ^ ^ î à ^ l ^ f ^ ^ h i ^ p ^ ^ ^ m l ^   
 rép,tegnaHcetè«iilaïr^^f^i^oéhbr'to/;i^sque M * D t   
 çonthmier^ie p o r t e r ^  avant, VI  et 
 ^ î # u t  évidèÿunç^lp^ itél’que ^o^ifétvirftitihë ^ h t ^ 'ÿ a n d i /  que  
 ceoi-|bf)assoit-ters»uné p a rtia le  la \ é% l™ 
 s étoient approehéS’-|e> la:chaloupèo|qui n ^ to it--a lb rs ^ â |d S |M ÿ a r ‘  
 un-æ-u-1 matelot ^ l ’aspect d e 
 justement  aJafckés^e-mit.à  ’ 
 gens»A leur approche, les/awagés^sèlhâtlfln^lêjfranëiiLj les durées,  
 e t s’enfuirent ayec la-même ra pM ité ^ é jtfh ê ë h o u f; 
 Le bon RrÉDEÉ/dan^pèfte^^éBSife1', | |t  tm f e 'k i ^ ^ ^ ^ l l e b ü p m   
 de  plantes  nouvellesVet.ee  tribut  im j^ l é V ù t c y lx i ^ s , 1   
 par  divers  semis Ve  blé,4fefm®lv  f f c i ^ 
 de  pommiers,  d a b rie o tie rs|d e   -pêchai,  d’ô lm e r^ J ^ çVW   grand  
 nombre ^esp èces  de  légumesÆuijo|)A^s/K^,;«qHan‘gef t â c h a n t , 
 qni  toujours  auroit  dû -servir  de basé  aux  ra p ^ t^ ^ e s   peuple'^èl  
 que  nous  -répétâmes;hdùV:ihêmes  aux  lieux  diverè'où  ndus’ pûmes  
 aborder !•'à r / . :  »  *î ,  -  r,  , ^ h- 
 A   l’exemple  de  notre  Commandant,  le  Capitaine  H ameein  '