
 
        
         
		inférieurement embrassées par cette,grande bande  que j’ai ditréunir  
 foutes les  autres'à  deur  sommete* il  en  résMÊIïôk&que  chacune K   
 ces  quatre  lanières-formoit  une  espèce  d’ovale  pfos-aigu-ve-f^ |f>n  
 j^trénaité  inférienrfr,  plus darge  et  plus  arrondie  dans,  sa*  p o r t f c   
 supérieure ;  et  comnæèibhacun  de  ces  avalejuc o r r esppndoit  a* chacun  
 destusétés  dejla  pyramide,  iLest  aisé  de  sco-ncevoir  to u t fe   
 qu’une-semblable "disposition  ppuvoit. offrir  d’élégant .et  de  ‘pittoresque. 
 Après  avoir donné quelques  instans  à; l’observation die^ç monument, 
   dont  «je  clierchois  Vainement  à »conceyoir  1 usage, -je me  
 déterminai  bientôt  à  pousser  plus  avant  l’exatnen  que  je. vouais  
 en  daise^fenlevai  plusieurs  grosses-écorces,,.'et j e   pénétrai  facilement 
 jusque-  dans  d’intérieur  de  la  toitûre.  Tforke  la  portlbn  
 supérieure  emétoît  lihrfe  :  daps  le  Jha*s.»-se- trouvoit'  un  làrge.  c^ne  
 aplati ÿ  formé  d’une  herbe  fine  et % è « v  disposée,  avçc.beaüçéup  
 ’ê&Mêm  par  couches  concentriqufes^et:-:t^stprofond^l^.  ;  Mon  
 intérêt  s'accroissait  avec-mon  incertitude.i^uit petites ^baguettes  
 -de  bois  <«©feées-entre  elles  au  sommet  du ©one -de^erdnrè,^r-  
 vofenfcàte'COffltenir;  chacune de  ces'bagnétjfe' a v o k ^ » ^ u x « 3^ é -  
 mit^fichées en  terre,  et  consolidées  elles^rftêihes’-p'ar  lappli©S&on  
 d’une  grosse  pierre  de  granit  aplatie. 
 Tant de  précautions me  donnotent Tespoir  de  quelque  découverte  
 importante 4‘  je ne me trompois pas.......^  p ’edinej eus,.sôulf|ve 
 quelques-ubes desôOuches  supérieures/de^ïgazony  que  jiapÇijÇqspn  
 gros  tas  de  cendres  blanches ,1  et qui  pajreissoient  avoir eté  rpunieS  
 a v Ê  soin  : îffc plongeai ma main  au milieu de dès- cendres  sentis  
 quelque  «fese:  < ^ i^ i i t» k   plus  fortement  :  je  voüluS-leiçtirer ;  
 Vëtôit  une  mâchoired’homme,- à  laquelle'’des-lambeaux  de  c|air  
 tenoient encore?...  Un  sentiment  d’horreur me pénétra....  dépendant  
 ,  en  réfléchissant  un  peu  sur  tout ce  queje  v en ois'  d observer  
 dans  l a ‘composition  du  monument ,-jè  ne  tardai  pas  à  éprouver  
 des  sensations  bien  difierentes  de  celles  que  j’avois  eues  d abord : 
 eÉfe i t e ^ t e ’/^Çs^fleürs yrffeâè arhrrëS ■ pafoifsoteurs ÿ  cette  'couche  
 profonde ~dê>  qui ^«Savnafent  céndresgnouf-  se 
 ref^Sk^po-liï mê^i^aîÉférd que  j^wènofodC^d|'Ç©uvrir un terni-» 
 A'-ÈÉtestiré^qûe  pékinois  oèndrôs ^^^eî|cpy#isNun  .charbon«  
 tfè'ÿ-kôtir1/  ‘un  charbon 
 animal  :  ’(fans!  lé*  lüsifantb;^ÿt^ôlk\Aine'-portion  de  fémur 
 a^f^quelques;ltambeaux’■  cdiaw^il^^pd^tingmoii'^encore,| des-, 
 trc^^fenVdC^ros 'fi^et®ix*'iip^®.pl^fd uHpjja|p|ib^l‘@tùtep  a?ftetat  
 é ÿ tè  fluidd-se'  rapprOéleM,’unéid'Mst-anée ;^ineù‘S&|l^^^prem!ie^\  
 ©|§Éidéns érf%iccëtSèrëÈk d-akü^-’non  m© i$|>. f^ ( î^ i!eîi4sa^gâ;*<d ej  
 vèrtVlfi^Vfdès <■ fra|*mën s: d-h u^^8;%"dte>tib ia , lle^foslldutfarsê^ dù  
 profondément  aléé^é^^aïi 
 réidifoYèitt ta c  ilêk)èn Vën^jtèu'd'Véw j ’en  toutefois quelques 
 3la-ébâir;,giS.fl^.qÏTii-four -seto-k  aÿdli/^  
 remc  é  o va 1V1 en s fit  s^-^ ^iyoj^t ,pas,^^^^1.qtCÈS,ie iacvois  cru 
 d’Sb6M*^^pJ^ü-i^^ifopibfoentv£&l^sV^acë'-'dCj:lnJ Mcre;  
 tÉhfr  iéAsstSuefond-!d’,f%>®^  dVculaMe^deufe>^^8;^kti®è.tEës  
 p&uéfs?|,Vj§ur ïtëpèdèp ee®titoi6ÿès^de^ro-  
 f<#de’u r  [  verrons  bîëntsot que$ê$t|te< fjérffliàre 
 o'b^rvat-fon  n’-ésé'pgs -i-ndifférela^ei» - •* 
 ^P4 ÿroëfI#|fi^pek|^ l|^litadrque r, une  derkj^^ëartonstan'oeï,  
 bî^nC^r(ÿp¥e"J’fepfeïidà-n'f'- à- répundfe' dfe- lhk$lféè%ir 1 ChtS- objjtet",  s i ,  
 une  autreTe^lÉtr-e’dé^lômbeau  qnasr je  fi®  le ilendemain-,« et  
 do'nMjè^parlèribbilnt^t,  'p ne  fâi&h'vtmVs.e reproduire enOorfjAu  
 Ba‘s  ‘ du- morne  sùr’Tequel  j’ai  dit  qüe-  h   m o n um en tîe^ f ëfe-vé^  
 couloit  une séurèfe  d’eâi#douce,  fiaidhè'-et-limpide;  U-va’ntagé'aUSâs-i  
 rare  que  précieux  da?ns^fe  éà’ison  ©#  ndife  nousi béoGvfeîiS  alors*.  
 EèV'deux  bords  du  ruisseam  é'tpiek¥  par-tout  tapSs.l^  d un  "grand  
 nombre  de  jeunes  herbes ,t!parmi  desquell^#se‘*distteguejient  plusieurs 
   espèces^ (î-Orehis-,  d? Qfhfàs/'he.  Rîëkea  glmtéoe,  YApium prSs*  
 tratiim,  et  l-’espèfce  de  carotte  particulière àPéës« régiôk |'^ 
 L 1  2