Maladies endémiques,
Tabïeaa géologique
du 'Sflii 1
de la-ir qu’iFfaut ia tîr ita t* ia^répütâtiôn de salubrité, justeméd
êêqtdfeè^ dôttt de• Hbfeà effeoy&fefes
fièWe^He-Batavia, deÿ PMMffpfnei, dtes Môlüqueé*y d e Madagascar
et de ta plupart des paya équatoriaux.
Il -ikùdvoiri dépendait bienîSe'gaider^ld'Qire1, d’après quelques
hèmaaes: éhtlKi®îàsPfcesÿjq«ë l’Itè^e^Fmne^soit ^étraîigère àitü ü té
maladie endémique;- eMte en a malheureusement p^usiêdr^, d ’àataràt
p é m redouter ttiè im y i F ^ 0&pldà: dtë&ftle* d e ^ èn sp ^ tp rv d ff,
En effet, indépendamment des affections de poitrine' qui- 's’f
trouvent très-multipliées y- de là lèpre ^uiy nâgtière iôtonaüe danà
cette »Hé ; compte maintenant un assez grand•nôm'hre de: vïëtimesh
même dans fe population Manefte/'tbfttét IseSJÏafFêsstloifô'dds vfâiS
urfrîa%>es ^ p r é s e n te n t en- nombre -‘Véritablement extraordinaire \
c# qui pafôtt dépendre sur-tout de k r qualité déb eàùstj q u i/ d après
le& anal fiés chimiques de' M. D’EstifesE ,èontienrient unetrès-forte
prèpUMôn dfeîearbonate; calcaire.
Je vkîite de présenter rapidement!', d’aprèr mes ‘obseevatioris::pari
pu .déduit^ de
celles-fartes par MM. C éré, M©3\TftERÔNyet ’Sur-tdütqràr-Mr LtSEET^
GEôFERDY^e tableau m é té o ro te ^ d e ^ d e i’Ile-d e-I Vaïu'e :Mcs
détails minéralogiques et géeteglquer qui: suivent^ë îneipakâsse«
ni moins «néressâns ni moins nouveaux
rabgiste M. Bailly. ’
« L’Ile-de-France ;e^ entièrement/ volcanique; mais biem dfeS
»■■siècles sc sent écoulés déjà depuis que $es> feux sont ctérots, et
» une grande révolution paroît avoir changé fétst primitiffde ce
» cratère antique. En effet, toutes tes montagnes de cette île se
» développent autour d’eHe comme une ceintured’imm crises1 reirn
» parts ; toutes affectent «né pente plus on moins inciinéevers
». le rivage de k mer, tandis, au contraire, -que vers le centre dè
»-File, elfes présentent «fie coupe Jabrapte et souvent taillée k pic.
» Toutes* ces montagnes sont formées de couches' parallèles et
Miffltep3iébs^td^^re~:déi: dlfe^ipeèss la merij -ceS: couches ont entre
.». .elles •tm ^ -coe rr# j^ a ^M ^ ^ e x a ^ 'iÿ -É é ïta ^ q ifé fife J- §e , trouvent
.» imteErompuespar quelques?vallée« où par queJquestàejspres pro-
«Urindes1«, p a i^ ^f®îtdsnreproduire à des hauteurs con^m^aesastur
âr le revers de^hacune-des •montagnes qui ferment I # valfefoshôu
?? lefe.fioissunas. ;De ne* observations, il résulte, bien ineontestable-
« tn e n t que toii®es..ont Ja?mBrae brigipe, q u ’elles daitent/toutes, de
« i&mêmedpoquë ; que réunids.^affe £ ë 1 les n om. pu être, séparées
^ d e p u is, que par quelque révolution vibb^tte-et JsUb&ë, M
» &ûbisfôcqéumrs£sntt -pour p ro èv ^q é® l ’& t o u t i e ^ t |^ M e l f o r ^ i î
^ï&gnd^^anie:'; qmqpjdséçg1, pour ainsi-
» Ære, par'«es érupifiodsfille s;sî^ais^u '„suar :edermêm£, engloutit
m dans ses » abtcnese jb. plus grande | partie d e sâî pjopreimusse; .et que
»? de «xette v o lte l’nsmenseivff itéi nes-ta dpb^ufo •que gjhpj] fondemens , .
M les debïss^tîfo.uYseïta sur différens foismettt les m® n-
».‘tapies actudiles-de^lfîfe. «Quelques •piioîis .d^iornae dop-ique, qui
sî-spfeveMiveoelîe centre d u | pays,, notfinfiièm$ .t^^ti®''dte centre,
ffqco^^gôie postériesre *TdJéiw^eweHt
>3*du rçiëtèté ,:.et papodssonb asîoir jété -fes derniers sodpbàiu^ipar^ôtà5
3>ïffeatteuq:sfemeàaii^ibm exhalé 11 eur g *màp é u î^ F l
: physique de lïlede-France; -^dhmmè.
»r^e dans dêjpius> grands détails, qjue^ie cotoportenoi^ raux'
d;ailfe«æs^la gpatauoe de-aéeïte .irélatio,«-; il mélrcïle^ésparler
»jdes.iroçhes4qup‘iGomp©^eiitde sol : .elles dpy®sieâi$esi
n lement'à .cette xl-asse - désignée par 0®TétMjfen.Mhus>il€».jJ3.oru‘ de.
Po in s poi^uses:» presque
de diveæsës
® nuances queliqjuefoisiiéi^tes^ de pyro^ne^ deffeid-spatii, îprësque
nij|dii|oàun îafaéïés; -
Ces roches ».se decoinposèiiit ^icèfement, «xet leurs défesris ,
33 exïtrauieâf par JeS veaux, de piuie , forment, dans des !partiest bàsse&