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 SECXIpN  IE^T  
 Expéïknûèïl'ÛHr  la  F ô ^ p f^ â p u e   'dêJ Hàftitûns ^e^Tirrèof. 
 E n  passunî 4e  la, terre, de ||||ém£n à^^^euvell^THollande^dl^s  
 nous  sommes,  pour  ainsi  dire,  élevés  dune manière  insensible  du  
 dernier degré de l’état sauvage à celui qui le précède immédiatement.  
 PdW eonserye^cette précieuse gradation de tétat-s^ieial.,  ii'fa^ j^ ^   
 pouvoir  parler  maintenant  des  peuples  de  la  Nouvelle R u in é e ,  
 supérieurs  à’„ceux  d e ià   Nouvel I e-H o 11 ande^  r e de S cendant ' ,©nSuiï^è  
 vers la N.05tbveJle-^ekndey q^u%^rôuveriepîs^.ap^s|âs^&lati©n|  
 J|s- plus authentiques ,.de .qnatrièmdkre^é:d'e^orga^rsitr(î^3niare ;  
 ite peuplades*  du  grand  Oeéah  équatorial  n|d|ss.dt^ofFrfeôinnj^lÇ-,  
 cinquième  échelon^'Etmo^kJes? Molüques m’ont? parui.^q prev  
 tenter .que  le .sixième.  Malheureusement  les. trois -degrés^âljltté-  
 diacres , nous, manquent  encore ^  <jeyîie j garderai  bien y  âm 
 d’observations positives,  d’avoir  recours  à  des  analogies,  toujours  
 plus  ou  moins  insuffisantes,  et souventctrompeases^ê^^ton^li^  
 tcraf  d’exposer  les : Résultats  "de  mes;fpr(ÿrè^i|>p;4 t i^ ^ ^ ^ ^ t i s   
 peuples  Malais  de  Timor  et  des Hes^voipirW,  Rottï pPuIî?-fliUf($fy  
 goumbava [Sumbàwa/,  SwiM^fSema^ f i s M - E r u k   
 Appartenant  à  la.même  race, habitans-def mêmesfWgfo'iis-soumis  
 aux  mêmes,  lois,  aux  mêmfs-  usageiyse-  na.ur£fs|aïtt  
 alimens-/  tous  m’ont  semblé? pouvoir; être,  san&;erreUr 'Sênsibjé'  
 confondus dans  les mêmes tableaux, II  en est de mémo de-quelqipS  
 Chinois  qui,  depuis  plusieurs  siècles> fixés<de;pfiEemn-_fiI|]-sû;r4^is  
 rivage^, pefiyent  en  être  regardés?nomme | indigent^ AmaSurpfjîs }  
 pour prévenir tQUtearJbjfeetipn à cet égard, 'j arspignensirndÉt indiqué  
 la patrie de  ehactrn des  indiViduKSOumis  à- mes  observation. 
 ^E e s Malais|ikinsi  que  je  l’ai  dit ailleurs,'.sont  étrangerS.aux-Jles  
 du grand archipel d’Asie, Gonquérans farouches et sanguinaires,  ils  
 les  ont  envahies à une  époque  dont  l’histoire  et même la tradition 
 ' a ü x ^ e r r e s * ^ i| t t i a e e s .  r  455. 
 ne  gardent  aucun  souvenir.  Établis  sur  le  rivage  de  la mer  occupant  
 toutes  les  côtes.,  ils  sont  réunis  'en  sociétés  nombreuses  et  
 régulières ; ils  habitent  dans des villes  ou des villages plus ou moins:  
 ^etendm. Iboumis  a jk?  ou  moites, puàisans ;  parvenus y par 
 lenx< gommerai habà?ueiia.W(tA^ f e teop édfeAg un état de-civilisation  
 d^ap%:aEàj,. jfeisd'Éyî^ntiàïlà pkture  
 g B B   tr^peaux ff|| la  ,, i^u^commerce,  à la 
 >\ ^ ta n ta ^ ^ y ^:%patfir^^M fflfë'i^ipermê^|^, que  
 11 xig^t  ,s  fa 1 o  U c  hesamèpmer<s-. d e   ils 
 en  Iqdafigagè,’  h ahtfite *  ia‘ Vhgimi 
 <m-aî|^jls/f*|p^iî#ù',  pad i’.fiaj|jtuda]d’une, longue, s@ur  
 et  aux Hoilandofe^nne partie d%la férocité 
 de,. leurs  ^ 
 -Wl0 inq€aute^lx^divMps  d^fqeÿte  nou-VeJîe- race  onéf étédetsuiet  
 ch  tou-, /k s  dctdilskm  avant  ||§'V|4^|'is v dans  le 
 rideau  i<d ie|||irfflf||auxs|5|sultats 
 différéeÀekÿgep, on observe  
 que lï%faree dévientnresnuef;|o.ubië^ei4» aÆ^n  ans; quelle  aqg-  
 ^ i c o j ^ / f p q u e l l e  diminüe»pfësque graduellement 
 £OQ p^ut qbnelure que la péri<^fe~dp  
 i3>lèMè'#^tvefec£ivement celle  q ^  dans .#j||,cjjmats ,-présente  
 ikfoïèE. de  l’homme - dans? son  plus  grand  développement.. „C’est  
 dans  que  nous ,avqf|- ch'llàsled^ûjj^is^ de irtS;obspr.-, 
 Vaj^^jMa -tet^^e Diénæm, à  la Nouvelle-H-ollande,  ainsi  que  
 parmi Je,Sî Françons j t   les Angloisj.^|is|ii|déî*fet»te  classemue  
 p^s.- nouê-^clpws^exclusivement  ici.  Or,  il  résulte tdea .expé-  
 r,i.e®Eest qui  la  dpnesement,.  ; 
 <’.?r-d  Qu’aucun?individu  n’a  fait  preuve  de *qgttéddgue.ur  remarquable  
 (qu’au  observe  ass|Zï,spu^ent  parmi lèa Européensi  
 ;  a.°  Queqpresque  tousèdis^nt montrés.-'bj^s-foihie%i  
 i , 3.0  Quéd^terme mj®|en'dèdeur. forceuénale  est de  
 grammess'i?)''