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 de -.^’impossibilitégj de  franchir  ces^  remparÆS^çxtra^rçliaaiiiqs.  Du  
 sommet  d’un  piton - très^éleyé .quif-ayolt atteint, M. *B,^s( td|fiou'T  
 ,Vrit  devant  iuiyji, - la  d^tançe.,dtmé°ï  à *)-o  a ille s ,pune $ seconde  
 chaîne de montagnesjid’unejélévatiop ples  grande que  toutes^qeiies  
 qu’il  4v<enoitEe;:tmfe^-e^ t-i-esR^Ge-  inte^ é(liaireî  
 ni  moins,  4o,hstaGle^ni  moins-de.  dangers  que  celui  qu’il.«a^it  
 parcouru-- «bâbord.  Dans  .cette  p é $ ^ S i$ ^ r s io n ,,« .M .  Bfss^.et  
 *sa  troupe  euretit*«sur-tout  fu-souffrir  de  la  disette-  deau  clguep  .  
 -lenr  provision-s’ôtant  épuisé^0-ettJpe^montagnes  a r id e ^ e .W J   
 laissant  aucun  moyen-de  la  , penquve-ler  -ijjjà&àrç virent  bientôt  
 réduits  aux-tourmens  d e ja s g i f  la p l^ d é v o r lh te .,« Si par  
 me  dj,sok J jÜ   voyageur m tr é jjid e^ i^ ^ iB ^ a ü p n s   ,%-rep^Q.n-  
 ,»-<t-rer  un  peu,  de  térrei humide, x$u  memp .quelque  #|;|ê|j^,e  
 ^  boue  dans‘ le-creux  des  rochers;  alors,,  appliquanf^i^^m^u-  
 »  chpirs  à  lar sur§.ce&de  c^ .^ b s ta n c e s , | ngus., l^^iucip|S^yec  
 » 4% ce ;-pour  en  exprimer  4e  peu  d’humidité_,qu’^ e^ ^ n se p o |çn t  
 » enGprfe-.;;»^ 
 ._/]:|i|es  avaient  <1 4 , ., jusqu a  l’époque  de  i^tte^rri^ée^p  pprt  
 Jackson-,  le^différentes  tentatives^pou^s>nvriE^p|p^ge  au-delà  
 -des  Montagnes'  bleues ;  tels  en  ayojent  été,  ' 
 Dégoûté par tant de sacrifices et d’efforts inutif^, le ,G ÿ jft^ ^ i^ n t   
 Anglois,  depuis  plusieurs  années^,.r^stoit  p%,et. 
 Nous  parymmes  cependant, mes  compagnons e t  
 . entretenir M.  le  Gouverneur Kin g ,  à lui  pep§uad$r>  df 
 notre'relâchea,  de  diriger  une  nouyelle  expédjtion  vers^, i^s^ montagnes  
 de  fOuest^La  conduite  en  fiit;  r e n ÿ g ^M .  
 émigré, Français.-,dngénieurde  la  colonie.,  aide^g-eapap.  dun^ u -   
 verneur.’ J’aurois bien,désiré pouvoir faije. partie, d& cette  e^cp^sjon  
 intéressante;  mais  M.  K ik g   ne  -crut  pas,devoir  étendre.,sa; cgm-  
 ,plaisance ju sq u  a.c.e_point. A   tous  les soins de prévoyance  e m p l o i   
 . dans  -lesfexpéditîons  antéripurçs,  on  ajouta  la  .précaution-  g$s- 
 •»  Octobre.! 8az. 
 iH'géhîéus'eide placer- dëfdïs tari ce  en  distance  ’de' petits postes',  .qui,  
 s^-multipliantiîl^wlMite  qu’on^aVançoit  dans  l’intérieur* des  montagnes  
 éfablrssoiém‘ unie  chaîne’  aéffive ‘de? lommunication  entre  
 blfgrbs'déHa^ troupé-et  îes^e^hfâsënrens-Angloisde-s' plus^svoisins.  
 Mfl'A 'REil l iER ne fut pourtant  pas'^dus heureux que'né  l’av$ient  
 Téféjdes 'iâ'iitrës'^p-pafoît même  qu’iiftte put s.pas  pénétrer  aussi  loin  
 ijue  quelq-ues^üîîs * d e '^ l  prédiécé^seijps.  Il  ne-rapporta  des cette  
 •pénible  côiièse^u’un  petit nombre  d’échantillons de^grès?analogue  
 à  ceWf-qïïî  forme de  rwagé^ de da#mer /let  qui >»sëvi reproduit  dans  
 4o»ü*të  l’étendue'idei^aydî'fenC'éihte  par  les montagbes^fpl  
 !+  C e   qu’iiy'apde^plus  ‘s-inguber-peut--etrer  dans  l’histOiïe  de  cOs  
 montagnes, 'cpbsï -quelles  naturels1 du  pays  n’onpppasl'à* leur  égard  
 édfes motions  plus  précises--que des  'Eu^opée^.s-irousconviennent  
 dèd!impmsibiMéy& franchir- cdtte  haÿfill^Vde 'l’Ouest «Él  ce  qu’ils  
 racontent d^sfpÉys^lu’il’s suppb5scnt éxfsffef au-deià> prpuvé hien  que  
 PPp&ysdeu^s’dàt  parfaitement inconnü&fdÿà'ydîsent-il^lîMâtr-ufiwla^  
 immense**- 4 r^ fe !' ^ es:Mtiqutel-.,viveht de s  peuplés* blancS-comme  
 Bé^AmgkrfsV’h^ Ilé i& é to ièb  eux,  élevant  comme  eux.des maisons  
 4 e pierre'ét  dé-grandès* villés /•■ &e.;N,'Ous' verrons  adletirS'-qué  l’exis-  
 tten'de-dk  cé-grand  lac1;  dè'dbtie  ë$pè<|ë  de mer  Caspienne,  n’est  
 *pas moin$41énuée de  probabilité  que  celle dès-peuples blancs et de  
 deimdîyilisaft'ion  ;S j ’obse-rveraô'Seulempppjjroi- qu’il  (est- vraisemblable  
 quèçtië's-j.dEêll ne  remontent  pas  au-delà? de  l’établissement^ de  la  
 jfcblonie  Angloîllè p-ffui  parôît  les  leur  a%$ir»inspirées. 
 ’t"  Dmresté,  les^sauivages' de' bès bjôrds -ont une sorte  de  crainte reli-  
 ^gieusekpouriês.Montagnes;bléuésfC’est'là', selomënx,-que réside une  
 tep 'çW d ’bsprit  ou  de  dieu malfaisant,  dont  non^’Offrirons  ailleurs  
 plusieurs figures grotesques  tracées  par  les naturelSieux-mêmes. Du  
 Aomm'et  dëffc^s  montagnes  inexpugnables -, -- ce  dieu  terrible-leur  
 envoie la foudre,  lés'Vents^brûlans  et les  inondations, qui dévastent  
 àitèrnatjvemëiit  leur pays.  Quelque  rididide  qu’une  telle-croyance,  
 puisse- être  en  elle-même,  elle  a cependant  ,sa  source  dans- l’obser- 
 D d d  Si