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il admet que les jeunes dii Saumon ont à u n certain âge
l’apparence des Pair, mais il pense que; les Salmo T rutta
et S. erio x 'ressemblent aussi'au Parr dans leur premier
âge. Ce naturaliste persiste à-croire que le Parr est une espèce
distincte II discute longûement les variations que
peuvent offrir ces jeunes de différents âges. La-lecture des
observations dé le très-judicieux naturaliste-me fait soupçonner
que ces espècèsTde Salmanowies se ressemblent
presque toutes dans le jeune âge, ou, ce qui me paraît
plus probable, que ces;ichthyologis.tes.hont pas pu.distinguer
ou déterminer, zoologiquement les poissons qu’ils o n |
e x am in é Tout en féM tan t M. Stàaw' denses^patiente^ et
u titó (Nervations, je lu i demande de.vouloir bien consacrer
quelque' tempt^'ènéoæé pour- éolaireBj, par. de n o n -
velles recherches- c ^ ^ u e stio n s. -implantés- de TbAstowe,
naturelle du S aum o ü ë t des Truites, et j’ajouterai même
de la physiologie généralenen ce q u i concerne le. développement
des poissons.
Le Récord.
' ' ÇSalm& hamaius, Guy.)! , .
M. Cuvier a introduit, da|s, ^ ^ c o n d e édition du
Règne animal, d a p r ÿ ÿ trayail que-gous avmûs,commencé
sur la famille dès f ru ité s , l ÿ ^ g ^ u
a appelé^Salmo hamatus^Ùe&ximon est r em a rq u ÿ l^
par la grandeur de .sa gueule^armée.de fortes dents.. Cel$ dépend
de la longueur des intermaxillaires et d^un aÜongement cOTresgn-
dant dès branches de, la n S o ir ë infêrîéut-e'. te voôiê* et’ les palagns
sont aussi pin* saillante aé-deWm- de l’orbite efrsur l’extrémif^U
museau. Les. intermaxillaires ontken effet, unekmgueur egale TS»
deux W M celle des maxillaires. Ils sont couchés' sur les- cotes