ear les pêcheurs de la Mersaypdu Tayi? du Lamoû; I et
d’autresj rivières iëàP^e^Mipgotitpiee lèilH à j^ p îp é ii dimn©
une teinte *§»ise auxîeauxdeIla rivièresShyrleyf rapporte,»
dans son Traite des pêches y qu au^mefis dja#ûp»de d’année
|l#ab^É4eni entra» une: gjëj|rande q u a n ti# dans la Tamisé5;
q ueles femmes «et lèë enfants»; au nombre d é p lu s deidéux
milie (- en pêlherent pendant pïüfiehra q oùrs u h ? n om b re
incroyable;»depuis LondOnbridgëÿusq#îî Greenv^cht^On
a cOpservé* aussi?» le 'souvenir det pêches» extraordinaires
aâk embouchu résidé la Yistuleq dedTftbe^de- rErnsy de;
rEsCaut; elleâfch to u t r eno uvelée&j quelque fois ! aUx embouchâtes''
fie la SêTnè^ sur lesrfSnds de -Fremèu'sëpde’ L u -
clair ou->dèî la » Mailleraief^fe ^produit .‘ de fopêfcM-étaÎÆ
tel ’qu’on v i d a i t tes» éperlans par ■ charretées* il ëSpbàuvent
arrivé de prendre jusq&’à Vingt mille d é nés poissons* avec
Vingt brasses1 d e 'Seine. .
Tout ên citant^^cé^ mouvements extraordinaires- des
éperlans , il ne faut pa&preire^Hulny aft p a sse s individus
Sédentaires dans les; eaux de Ia-Sè4àëq> au céntraireql%
quelque époque qu’on y ‘pS2hè,"on y trouve toujouîrsadp
êés -pOiSsoïfs, taritôt5 pleins, tantôt * vides, d autres* com-*
mençant^développer^ leur rogùe. On-'peut donc5» assurer ;
que 'Qés* grands-radeaux, chrdils d’épërlans 'sont ^toujours
composés de poiâsboà Voheier&mêlés auxdndividus'dë remonte.
Quandle jeune frai est-àssfâdort pour venirsessayer
à s la surface de l’ea'apon le remarque faMtément à la couleur
légèrement brunâtre de sâ^Êàndtâ!léP''Ëes‘>lh'0lmmes
qui ,Vers la fin du ■ printemp^Ésênt obligés^déntr'er' dans
Feaù jùsqua la déintutè jpèur HeiéGUtiOu^de» Certains trà -
t. lfliè. Hawkins'ùompi. üngl,, J. 186.
, i É É P E R LAE f S * #f â 379
vau^j- af8urefit: ,qu.,il'S sejitiqnt trèsiso uvent leurs 'jambes cha-
rorallèél ffci&fe»uïfiysëkijÈbâiid.’^érlftBfir qui'-passent autour
de leurs membres, et ils.remarquent tju© de grénds-iudiyi-T
dus sue sont .jamais môlésà ces p e t i t s q u i leur fait croire
queîJes)i®dividmaduLtes^®«t:déiào4eéescendusvers la imer.
mba:;douleur- des,‘éperkns varie» suivant lès fonds. No$
de t la1MorinÊèïie a. dejài! indiqué teës variétés! d è couleur
dans son petit TraiitéèursBÉperlan. Lespecheurs distinguent
l’Éperlan. blanasatîrte«vert#0n pêche, des blancs à Vilie-
quier«, et plusébasy vers la »mer,»eau Honjouà-Beralleon
pireudl des verts; 'La æhaixvcie?ceux-ci est* maigres et. de man-
Vàikgoûit)ÿ »cependant',.: l’Épqrlani vert du Pont-de-l’Arehe
estld’pkraé:* éxoeîlente ?q4f b*é^- |
Dans la basse fôeineda qtécfeeude« 1? éperlaU ses fait avec
deSt filetsvsédentaires ou aveecdes».filets mobiles, tels-que
la- ‘seinlè, le tramail, etcqbes* bas pares ! employés *W quelques
opoinfcs, tel qu’à» l’hmbouchure de; l’Ornê^ h«
pas plus dqsèms-l'rêtenir l’éjierlan que beaucoup d’autres
poissons.^On prend raremenJtjréperlaii'à la lignes La pêche
e&titcditeon ; mieillfeùite par les ventsidoux! d’eife oujSudHOuest,
que par eeqxtdeda paufiife nofdpuèlaîdoit teéàr surtout à-ee
que ces derniers agitent beaucoup trop fortement la-sur-
Cape de ï’eaü! Les pêcheurs de Tançarville préfèrent pêcher
pendant la nuit, étiis.aiment, en général,, ce quils appellent
une eau blonde, |fi& à -d ire pqe eau légèrement
troublée j cependant ,'.à 'ipesure que l’on remonte dans la
Seine-, on voit doaanèr la préféMsnæë aux» eaux claires.
i Ohcifi^rded comme le meilleur éperkn; celui qui se
prend^dqpuis Caudebec jusqu ahxPont-dé4 ’Arche, et on
assure que le poissqn de ces .eaux est prqférableA ceux de
même espèce qui habitent la Loire, l’Escaut ou L’Orne. C’est