le mois d’oetobr©et de novembres Le8 marchmids le présentent
^ommelllfe ^ mâles l^spëee^dpèPhnmôn
ordin aire, quoiqu’il' y ai t isur » la placeo autant de 'femelles
que de- mâleji Ikes individus < fies « djeux sexéSKont toujours
le crodhetsarllant'dè lamâchoireûhFériçureqéf je me <erois
pas mémo qu’on puisse -direcqu’il le soit davantage dans
le mâle que jdansdaÆmelle. Ihnîe faut ,pas>oulÿy.er;que les
femelles du saîmmon* ordinaire portenti un'pi|tit!tplm#eule
©ommedes^uaùônsi mâles.; Que ftm me pardonneras répétitions;
elles' me/paraisseût nécessaires poumbieia; fixer
les ïdéesie Comme; loaïttrouveren même h temps des ind ivi-
dus de l’e®|)éce prënédente^ Iquefl’on: peut ectapiârert im-
médiatemhntUveç ceux de celle-ci,^ion .iestrtrès-prOmpter
m ep t frapp#:des diifér encés bqui> * existénte entre ideux
poissons. Nous ferons ici la remarque, qui a déjyiétÂifèifte
pour l’esjfècer précédente p : o’est- » qûon n’en »voit pas de
jeunes. ;
M Agâtsiz a cru devoirftètablin dates ùnernote> lue devant
l|Associatio® britannique ïque*le ïSalmo^amMusi ^éâaiz
que le vieuxmâleodii saubaon ^etf son^opinion a été adopiep
'•pard es)icbthy ologistes- récents d :AngleterrepIlm";mpr®dui’t
cette idée dans son fMstaîiæ des Salmones d’après
dlequHl a fait figOrér^sur iaplanche I ^ ïde^on ouwageili
Salmo hamatus sous le nom de *S#Zmo sulàrmn àe Smu^
mon du Rhin, mâle adulte.
Le trarbde lalÆgUrelest flSrfi iSxajétj iLdonne bienoune
idée de. fespèceqimàisïla ’cofulêup ne ^ressembleras- à cêHfe
-d'ednndtvHilMSH-qra^rvieènent. sur uQSf>marcbésï îdle inest
■vraiOfini pourlà forémdu eèrpe nifpouria distqibutionfîdès
tachseksrouges. i@mpeut égaleipelnt-dire que l’adipeuse esft
>tî5op( petite.
Avant- M.'AgaSsiz, Bloch' avait énoncé la même idée
relativement au sexfe du bêcardj il l’â représente dans sa
grande Ichthyologie "$Çla planche.,98/, la figure est recon-
naimable, quoique, mauvaise, parce que la caudale est
beaucoup ^rpp^échaucrée e,t parce que les couleurs sont
absolument fausses,. Blocjiv^, aussi regardé ce poisson
comme; le mâle du, saumon j> et il se» fonde sur -ce. que le
consleillcr ô o d en une>;pêch««coùsidérable à Rugen,
dit que desagens qui ouvrent ;des' milliers de > ces ■ poissons
pourlesfùteer; n’ont jamais tronvé une^àeule femelle qui
eût un ctdchft, c’é^ui^e|t tout â fait: inexact'?'/
Les ichthyprogisïes du iô.e’siècle avaient fait connaître
cette'espèce 5, par iGessner1 en donne une figure un peu
rude^cômme tputê§.'Ses!planches,.exéQutëegr,sur;bo% mais
qui estcependant une des meilleures que, je connaisse! endos
© aujourd’hui, et s’illeprésente-'comme un vieux mâle,
ilfa u t;bien remarquer *que Belon v en à*représenté la tête
avëë nim moins d’ihéXacti tilde?!; mais en la dOnnantrcomme
celle^Td’un saumon femelle {Caput salmanis foeminoe).
Duhamel* 2 3 en donne la figure^sous le nom dë Béeardymais
die est au-dessous, de toute critique. Cependant ce que
cet, auteur, dit;dans le. chapitre II, où il traite du Bécard,
prouVe -qu’il a bien tévidemment vu l’espèoe dont nous
parlonsidf mais'ifïa perdusles observations qu’il'faisait sur
la 1 nature y- au 'milieu de toutes leS s notes plus ou moins
Confuses qu’il recevait de ses différêttts‘€orrespondants.
l i 'GèésnVj“ De aquat., B # ’4'|.^,*825î:-
2. Belctûy De aquqi., p. 219.'!;
8. Duhamel, 2.e‘partie, §.-'2, pl. 1, fig. 2,- pi’192.