c om m e iln e compte que huit rayons k la membrane
branchiostège, nous avons là urne preuve qu’il ne faut pas
lui demander tant d’exaetitude.Ce poisson,, que le mis-
^©nnaire aohn avait envdyéà BerHn.* à été aussi observé
par Russell, qui en? a donné une figure très-reconnaissablé
sous le m° 194 de sésvpoissQns de Vizigapatam.
Le Myste purava.
■\Bngraulîs pitràva, no b.)
dette seconde espèce .'l,
; a le maxillaire un peu plus long, ear son extrémité louche à l’aisselle
de la pectorale. Le corps est, plusjdlongé; Sa hauteur est quatre
fois et un cinquième dans la longueur totale. Les pectorales dépassent
un peu l’insertion, des, ventrales., et. L’anale „est insérée un peu au
delà de la moitié du corps.,; .
B., l'2ç B. 13; A. 45* P, 14; Y- 7-
' La couleur est, suivant M. Lesehenault, qui l’a observée fraîche,
blanc, argenté sur tout k corps, avec-des teintes azurées sur le dos.
La- dorsale et la caudale^ont jaunes; les autres nageoires blanches.
",.vLa longueur des. * .individttsv^ vidn;m- à sept pouces.
M. Lesehenault dit que l’espèce est commune à l’embouchure
de la rivière #Ariantoupang,mais quelle est plus rare
dans la rade. Les pêcheurs de la côte de Coromandel le
désignent part \i nom A ’Atou-paorouw. Il est, bon à
mangeru quoique le . corps soit, rempli d arê tes. L espece a
été observée longtemps avant par Sonnera*, qui en avait
rapporté quelques--peaux dessacbees. G est bien certainement
l’espèce que Russell1 a figuré sous le nom de Peddah
poorawah.
1. Russell, Corom^fish., pi. 190.