est arrondi et la ligne du "profil assezsoutëmïé. Cette Corégone
est à la précédente ce q'ue'laGravencbe. esti à<la F<éna.;ha dorsale
est pointue ; la- pectorale est : courte et arrondie ; la ventrale est
large. Les écailles sont nombreuses il y èn a quatre-vingt-liuit
; rangées le long».des flancs.
D. 14 —p )% 14 (& '. É g g î a V t / lS .
Des lignes dorées sont'assez- tie n 4 cbnsérvées sur Pgfj dos bleu
d’acier^e ce poisson. La dorsale est jaune, bordée de ndiW L’anale
- ét les pectorales ôntpâus& ün peu de noirâtre. Les ;Vaatralês; âont
.blanches.
Notre Exemplaire Est* long de sé&e pouces E t deini. Il
-au:'Cèd)iü^du Roi par S. A. I. la graridé-
duchesse'Hëlèhe»
'^EEtûde que j’ai faite des figtireside Bloch,me fàîicroire
que le Salmo thyrhalüs lotus,1 planfche EôjEépiEsefcïte
FeépècE actuelle. S’iLea était ainsi, on serait bieh ëhligé
de- convenir? que cette figure serait encore plus mauvaise
que ne lé sont un grand nombre des' planches de cette
grande ich thy olbgiec Jenose vraiment présenter ce4rapprochement
qu’âyeb la plusgrandeHhEértitude;^ 1
M. Cuvier a pensé que' ce^A. thymâlus latus de Bloch
pouvait être une variété du S.'oxyrhynchus1 dè^Linné au
temps du frai. La forme de la tête me paraît tellement
différer ?de; celle de nôtre Oxÿrhynque que je n’ose croire
à cette supposition. Mais il n’y a nul doute que l’espèce
dont nous nous occupons ici np nous; conduise au Salmo
oxyrhynchus.
Je n’hésite pas à reconnaître, dans ce, poisson le Salmo
oxyrhynchus de Pallas.-La description des couleurs et surtout
des ventrales blanchéS; et des pectorales cendrées lui
convient parfaitement. Si notre détermination est juste, ce
poisson, très-savoureux j ài chair ferme ^ blanche, est très-
abondant dàhs le's' eâüx’iiîfeVièures du Ienisëï et de tous
fl&É:fflùéht&1, àuÿtoUt à 'Angora. Il lest* aiiési dans lë lac
Matjschar des monts sàganiens, .et aussi dans le grand lac
Baïkal. On le*Vditf ënèbrë dans la •L:énà, dans les laés des
plages àrctiqûek}, mâis^pbint dans l’Océan, ni au delà de
l’Obi. 'A5#é|fômréJdii frki: y qui h lieu près du Baïkal vers
lë- mois d’aom^'tout^lè'Eè'rds se* couvre ' d’exantHèmes
blànCsEthrithe plusieurs de ûbs cyprins. On trouve cette
corégoné d’àns tous les fletffe&yles torrents et lès' ruiséëaux
de la Daourie, et elle reste.pendant toute l’année dans
les profondeurs du ffeùvë Barguàin. Elle atteint, dans le
Baïkal, jusqu a quinze livrçsy oq en prend communément
du poids de cinq à six. Pallas a trouvé dans un de ces
pbfësbWdes Eàk^d’hermaphroditisme. $
On ne peut pas conserver à'EëtteEspècë le nom d’Oay-
rhymhus, puisque LinnÉliavait donnliïsune dés Gorégones,
commune dans la^Baltique et dans la mer du Nord. C’est
pour'cela* < que nous changeons cè' nom en celui que nous
adoptons, et qui reproduit assez bien l’idée de Pallas.
La CORÉGO.NE A PETITE BOUCHE.; ;
’ (Çoregonus microstomus, Pallas.) ,
Pallas1 a indiqué ^ par une itèsAcrfarte: description, cette
espèce remarquable par la petitësse de sa bouche, et dont
leàmagéQiresviaférmurès soUtüfeougëâtres. Il l’a. trouvée très-
semblable'hd’ailleurs à son Salmo oxyrhynchus y elle en
différait, nbn-seulement ;
1; Fouit:* rosso-asiat. p ’p» 405, ri.° 277.