suffisante. Je crois aussi devoir rapporter au saumon la
planche d’Albin1 intitulée: The salmon trout deRerwick,
sur la Tweed. Turton8, Flemming3 ont également cité* le
saumon dans leurs ouvrages. J |
Je trouve aussi un Salmo samr dans le Manuel de
M. Jenyns, qui a profité des observationsfie M* Richardson,
en inscrivant dans s a diagnose,que les dents sont.insérees
à ' l’extrémité antérieure du vomer ; mais qui ay suivi* Mr
Agassiz -y en * croyant] que le* Salmo hamatus de Cuvier
est Faduke, et que le Salmo Goedenii est lerjeuneUge
de cette espèce. - i "
M. Yarrell, dont-je me plais touj ours à .citer Félégaat ouvrage
, a donné une fort longue et .tresrinteressaute histoire
du Saumon ; mais il ne me-semble pas s que sa ifigure
montre les caractères;de notre espèjcn>aM#eeauîant de; nettete
que la plupart des autres planches de son ouvrage.;; elle» a
tropvde-tachesi,. elle'm’est-«paissez*' argentée, et,elle me
semblerait représenter, plutôt- la seconde » • espèce qu.un
véritable saumon, si je ne fateaisr attention à la ferme de
la caudale. Le- saumon, est- encore; cité,- pârs Low, dans
la Faune des Orcades.
Il faut ajouter à la liste de ces auteurs anglais la. figure
du saumon publiée par M.. Lee dans 1 Histoire des
poissons de la Grande-Bre tagne -sous le ; nom de ; Saumon
de, la Severn. Les, couleurs,sont fort exactes? M
A cette liste,_d é jàn om b reu se ; des auteurs qui, ont
décrit ou figuré h* saumon, je doièajouter les magnifiques
figures que sir ^Yilham Jardine a publiées, et je,lp$
1. Albin, jHist. of escuMfisk. by Meet,z . Ttbilh
2. Turt., Brit. fa««., p. 103, n.° 91.
3. Flemm., Anim. Kin g sd p. 179, n*°. 40.
indique comme étant, entré toutes, celles qui donneront
aux naturalistes l’idée la plus exacte de l’espèce dont il
s’agit daiïs^ôe'chapitre/ rU ' ‘ ® '
Le sautaon se *trouve aussi* en Espagnol* Cornide 1 dit
que cette espèteefentre dans toutes les’rivières de la Galice.
-•■»(Ses' nombreuses citations nous montrent le saumon
comme l’une des’espèces* les plus^èbmmunes'&uT'lés'-üôtes
septentrionales de l’Europebaignées^par l’Océan. Il dévient
plus'ravé^dans les latitudes élevées du Groenland; niâis ce
séjour devait n4ous faire présumer que' Fês^'êce se' trouve
aussi sur les côtes de l7Amériquè septêntridriale ,wet’ c’est ce
qüè nohs^confirmênt les auteurs qui nous Ont fait'connaître
les1 poissons de: Ces contrées.' Dans'la Zoologie arctique^
Pennànt1 2 dit que le saumon se? péché ^fréquemment1 dans
toutes les parti es%ê"ptentrionalesrYte l’Amérique; mais il
devient plus rarè'1à,'®iés®re que l’on"s’approche' du sud.
Il net^rOit pas'qu’on-les* trouverai! delà de 'New-York ;
cependànt*Mtchill3 le; donnehommeun despoissôns dont
le marchëSde-PeW-York ebt fourni communément ; ils
vieiment %Êê ta rivifeÿPftfe Gonnedtïïfet, ' et' aussi ils sont
apportée descelle de RennebéC, dan's l’É ta t'd u Maine,
conservés dans la glace? Les Américafhs*'"appliqaeràient la
méthddëJqui aurait été"trouvée^pâr M. Richardson dé Perth.
11 ‘est le première suivant Morè'l^dê la-‘ Morinière, qui ait
imaginé de transporter les saunMm^ à’de fraudes distances
dans des »caisses pleines» de glac&$Gès observations sont
confirmées- dans Tëxcelleut ouvragé1 de' M. Richardson4.
1. ' de ïos'pêées de Galicia, p. 75.
>2'. Penn. ^Aret. pool., t. II, p; 392 65. jjjjfi
3. Mitçhill, Fisji. of^ew-ŸorF^v. 434. ^
4. 145^ dl." ïit. '