de la hauteur. La têtecstde médiocre grandeur; mesurée depuis le
bout du museau jusqu’au bord membraneux de l’opercule îqulon
a eu soin de bien étendre,„feile est contenue cinqffqisï dans la longueur
totale; mais si l’op ne^ mesurait que* jusqu’au bord .osseux
de<l’opercule, elle yvsnrait comprise six>fuis4Le^useaU ‘est$'gKOSfet
obtus; il fait une légère-saillie à l’extrémité. L’oeil est éloigné du
bout du museauifêune>.distance,égaledcladongueur ^^Ss.oji^cîiame,fre,
• lequel est compris cinqffdfeet un'tièïs dans ^longueur. d^Hnête,
en allant toujour&qusqu’a d ’extremites libre 'du bord* membraneux
de l’opercule. Le cercle‘de.rorbit&estTsur le^haut.de'JÂtêretr ,riè'Srpeu
au-dessous de< la digue- du «profil-, qu’il n’entame p o in t i nle ev ail e
qui,sépare le&fdeux^eux. leur diamètre.idies'id.e^x/.tiers
inférieurs de 1 a xi rc,Qvn fére n ce de l’o rbiteso nt, fp i|0ny|Sj par cïn|p!q$jSg!!et.s
sous-orbitaires,vtous caye,pneux;ï le premier et le^sëèônd^fa^ffez
intimement Réunis,entre eux, se.mblent.ne former quhmë^eulppièêè';■
on ne. les distingue bien que par h jd ij^etibn ; leur*bö,rd^in£eßi?eur
est ;tfè&-:fmement.-dèntelé. Le ’cinquième soussorbitaire' est-trèsr-petit.
Le;,préopercule est ^'ès-sg’randq, iLfeouweïplustded^ moitié de la
joue. Äon .'bord postérieurs est,.vertical, rriine'eÿt»disSej^sans^uciâné
dentelure. La portion inférieure du limbe Ea^;une grand,©t'çay’erne
oblongue, quixapimunique aiy.ec^une plus petite^OEpi^Je|,âiüvd©s’suS
d’elle. Les deuxfbac4Ä4^1JcaVf1^ge|oüt finemenndeiilelés' cfbimïie
le ^DrgSjpjbitaire. L’opççcule est qpx;assez.g,nande plaque entièrement
cach.ée^pus des écaillé^ qui .couvrent la tplus,grande.sparti^d^Sla
joue; ibpst irtqguliriepient.lrapgzeäclal, l’angle inférieur étant tout
à fait:arrondi. d’ai mis. le plus grand soin à -rgfehercbérg part- la
dissection, le^soq.S’j-ope-rcule^.et il m’a,étê impossible d’en apercevoir
la moindÿ^trace. :$es ferai remarquer qu’au-dessdusjde<d>ôpërcufë
et derrièreJJangle du, préopereuleïifexiste un'.petit ’groupe d’ébaillei.
On pourrait ai§§ment eçoiirç^gjii’il reGOuvfg^une 4es:',pt.èçes^;de
l’appareil operculaire v,c,e ^ser^it le^gpps.iogercuie.^'*-
L’obsgryation d’écai|| ^ | m’a .fait chercher ayec
soin s’il n’existait pas au - dessot^jm ^t/è|ppeti t;.sou^opercule ^ et
" ^ e n ’en aCpoint trçù^éSc est. pour nÿyqn|pas pris, toutes rcfes précautions
que j’ai eu' le torf4e;di.R&, dans la„Zoologie du voyage aux
I n d e s - S t a i t forteriient réuni à l’opërculè, et
qridbî !rie formaient ensémble qu’une plaque couverte d’écailles. Cette
disposition* é&t1 sifVéque'nte d’ans les pbissons acanthbptérygiens, que
j’ai^:drÙ*t4à*son existence dans’cefte'’espèce. L’interdpetcule ëxiste ;
il a’ la’ fo fm e d’utie êfeill© ?de moyenne grandebr; sa portion
spistérié’ure est W “ arc arrbn'diV’Cet os est entièrement caché par le
la ^ é 1 li^bfe f8d prëopercdl'e. L’appareil opércuïairé ii’ést dodè ttbm-
pôlsé cdaris'cë“poisson que bs^'organisâtion dont je n’avais
eü'Mcb,rbtd’ëxémple,'que dans les silures. Le bô'rd tnembraneux de
fcrperciile elt frès-largéj'il'S’è'flÉshd jusqt'u’àu'delà de'l’épaule, et infé-
'fïlÉLr^mèht iî’îôuShe l’â^selîè ‘de I Kï^'pèctopfflreï La narine est assez
grande"; etrèWocupé foutd’é'spïïcë 'eoihpris entre le' bord supérieur
de l’orbite ëfïextrémité du' riiuse'au. Oh reconnaît sa place au-dessous
de lkwële latérale dë'Fëlhmôidfe. ’B’ouvérCure antérieure existe tbut
auprès de la lèvre ‘'M^éridureydu-devânt et à la base d’unfe papille
charnfï&'à^stez longue,rtjtfc les auteurs-èAf figurée, et dont ils ont
parlé cOmme’rd;un petit barbillon nasal. B^oiivèVture' postérieure est
a’s's^'TÔfn / ’tout auprès’ du 'cêfcTè’de T orbite, sur le bôra'convexe
'düF‘pëtit 'Ms du nez. La bouche ■ hvesf‘ lpâîs’‘tris-grande. L’arcade
■supérieure"est ëntièremë’rit faite sur’ le plan d’unë'bouéhe de chipée,
bèst-à-dire, q'ùë bobs- trouvons ' àu milieu deux très-petits inter-
mâxilMKés, garnis de trùis rangées depetiteidents coniques. À leur
extrémitébsffrticùlé üfi mâ'xillàÎT'e Composé d’une seule plèbe, ayant
un petit bourrelet'"a la'partie p’o’stbriêd'rê, et qui se retire presque
entièrement 'sbuS le sbus-orbitaire quand la ’bouche est fermée;
d!6'ùril résùlïfe que l’on n’apérçoit, dans rétâif dé< rétraction des
mâchôirésŸqùe la l’èVre très-nîince et lës'tres-petites dents'attachées
surile bord du tnaxillairér'La ‘mâëtîbîrë inférièbrê â ses branches
^ r t & ' et aS'â'ez larges ; ’elle'èàt 'CaV^rtfeu^e'Y'ét les dèttk bords
d l cette caverne qui suivent a*peu‘ près la direction de celle que
nbüS* avons décrite sur le limbe du préopercule sont dentelées de
la m’êiflè manière. 'Quand la mâchôir'ë est' relevée, elle est évidemment
plus courte que la supérieure ;*mais quand elle est abaissée, elle
'paraît aü moihs’égale, si ee n’est pliis longue. Les dents sont sur
ünë bandet’ëtrbitè,,ëtv sur plusieurs rangs. Les externes sont un peu
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