seulement, ce qui le conduit à faite. deux- divisions du,
genre. 1^’une, sous le nom de Truttoe, ades dents en sérié
luxueuse» sur toutfe la longueur! du vomerj e& là ‘SÀ8@pde->
ses Salvelini, a la partie antérieure du vomer seulement
dentée., mais je pàq quâL<|it :appfiqhe*>qe%pdur
cipës justes avec une? sévère exactitude ) ^.ar- il commeju^.é
la, liste de ia première division; par le* S. salant qui aj Q@i^
tainement le dorps du vomertout à fait lisse.
En faisant attention à ce caractère ,rompent en déduire
celui de deux autres groupes? dont l’un; aura pour che f ; dp
file la pqtite Truite des nos rivières, Kau.tre celle des gFânds
lacs ou la Truiteargentée, et cesdeux gBOupes qui poufc
ront constituer de véritables genres sont ^eixx-iÉêii^^ dis--
tincts d’un troisième qui aura pour type, le SauniPïV de
fersd donc,les trois* genres suivants;: i>-.fi> celui d^} §asiafmons
(Salmo), ■ dont le corps du %émm inest fi^^é;id*Kteupe
dent pcet ©si n’en: porte que sur son efievrQn pde?soete: : que
l'intervalle entre les deux palatins, ést .lisse çt recouvert
par * une muqueuse épaisse» -2 ° t Je; distingue , un second
genre sous le nom d e Forellès (F a rio ^«atgrïég&é par une
simple rangée de den tsrsur le corps d u v©mer »et aq-defè
de celles du chevron. 3® Le genre, des, Truites (Salem),
armé sur le vomer d ’une double rangée de dçnts.; J’emr.
ploie ces dénominations dans le sens oh je les trouve dans
Ausone , quoiqup Linné, les .ait appliquées;, comme il ne
lui est arrivé que trop souvent, d’une .façon tout* arbitraire
à des, espècès différentes.
O c tro is divisions vont rendra; facile la distinction
d’especes qui avaient) été jusqu’à présent difficiles à caractériser,
parce quelles avaient été plaoéès dans un. genre
beaucoup trop grand et par conséquent mal limité.
de ferai ^b&érrvé: c^ie padedei- Queutes poi&'ôns
adultes*, *oar des expérieaèes watéittsafifee» de M. M. John
Shaw tendraient1 à démdttti^ dès^jeùne Saùmon
a deux' rangs dents vdmdrienit*è% J© paX certain
cependant -qu’il m i fefe* a
curieuses *mf t3tes:wmdobs de
dentition- n’étoqner-ait&nt pas les zoolcgisteSçLqs caractères
des* genres’ et * des familles ne doivent être assis qué sur
dès ;i®‘bservacions fàit’è’s d’apres des ihdiyid&s adultes» -
: ILfjà peuî,de;irecherch^iMaire ..pour établir la sÿno*
nymie andenhë d u SkumdiÎH ’ câwlés Gf^es ne nous ont
laissé1,“ dhhs« leurs dferits, aucun* passage q u is e rapporte
aux’espèèes d e Q u a n t aux auteurs latins?, Pline1
emploie *unWeule fois la dénomination de Salmo. Dans
èe passagef-èù il pàrle de la f référence g quejfbn donne à
certahd=pofësoiisî, -il d it que dài# l’Aquitaine -le Salmo flu-
viàtilù^et^^TèfêM^tW&è4 le§ ■ pbiSsonsde - mer. Mais Au-
s@nepdans ?sëd*f bëm4^$fr la’MosÉUe'J devient plus précis,
ëar il désigne* trois espaces d,é Salmo nés par des epithetes
qUièn rendent l’application assez facile.-Comment douter
du poisson dont il parle SôuS le nonfede Salàr, lorsqu il
d it2:
Purpureistjufi Sala]\*stellatus tergora guttis.
Il est impossible de désigner plus clairement les petites
Truites tachetées- de rouge de mos- rivières.' Il entend certainement
nommer le Saumon d ans ce vers3 :
f'iVjec te puniceo rutiloaitem viscere Salmo
;Trajisierim. , ____________ "V *
h* iKPlïn., Hàtî nat., liv. IX, ch. 18, p. 512, éd.d’Hardouin ad us. Delpkini.
Paris, îm ? *
Aus., Mos., v. 88,
3. Ibid., y. 91.