autres nageoires sont grises ou verdâtres. La dorsale est un peu
rougeâtre. Les nombres sont :
D. 12; A. 1Q; Ç. 2$* Ç. ,16„* V. 9.
1 Gette jblie espèce rappelle à certains égards nôtre Salma
fontinalisi M. Merteüs l’a donnée comme un pbîsSoifi du
Kamîsëhatka.
Le Salmone mélamptêre.’* '.
f Sülmo melampterug, riob: )
J’ai,encore trouvé,.dans les dessins ■de^cçt infatigable
naturaliste, la figuré d’un autre saumon quej’àppelle Salmo
melampterus j
parce que, Ses deux nagèqires^sa pectorH^et sg ^ièaudale, sÔnt
noirâtres; que les ventrales et l’anale sont'grises, plus ou moins"
foncées. Le bleu^violfet très-fônqé du dos s’éclaircit Sur Tés' flaflësf
pour se fondre dans le blanc argenté* du ventre. Le dèssinîrepré-
sente des lîiâchoirés égalés, non orodKûè§> une tête -courte; l’oeil
de médiocre grandeur.
L’espèce vient' du Kamtschatka.
Le S almone au beq* rouge.
- [(Salmo eiythrorjnc'hos, n o b .J.
Je n’ai pas" bs^ placer à la suite de notre Sàlmo alpi-
nus cette espèce j qui y prendra probablement placpMbrs-
quelle sera mieux connue.
C’est un S^nion à pente tète ; a^’boucbie peu fendue, qui* est vert
sur le dos, rouge soüs le ventre. Tout le corps est semé de .points
fauves. Les deux dorsales et la caudale sont noirâtres, sans aucune
tache. La pectorale, la ventrale et l’anale ont leur premier rayon
blanc et les' autres rouges.ïLé' bout du museau est également peint
| en, r.ougevifi^
«’.On^voit qu# cèïfe espèce doit être très-voisine de
notre Salmo alpinuf êï e\\e ^erfest différente. Le dessin,
fait au KaRitSfihatka, porte ■ pçnr,2lJ^îlé,||Pimatioii en langue
deffees peuplé] Kamehoïlgoletz.