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G H A P. V I ITi G,0 RÉG O NE S. 3.47
distingué-à qui nous - devons ces observations, naît pas
trouvé* dans ces tumeurs des helminthes. Ce que j’ai
observé dés tubercules vermineux, sr? fréquents dans les
épiploons du cheval et dans“d’autres mammifères, ressemble
tellement à la description que M. Jurine ^ donnée,de
ces tumeurs, que j’ai tout lieu de croire que de nouvelles
recherches feront découvrir.un Strongle ou plusieurs Spi-
ropt'eves, voisins sans doute d xxSpiroptera sanguinolent a.
M; Jurine a essayé de distinguer les différents poissons
des lacs de Suisse qui. rès^pablent à la Fera, et dont la
nomenclature est encore f#,t.. incertaine. Nous avons rapporté
plus haut les caraceeres ‘qu’il assigne.au Lavaret. Il
dit que la Féra se «nomme iuÇlonstance Weissfelehen? et à
Zurich Blauling ou BràtfiscJi.
La P aùêe.
( Coregùnus Pale a, Cuv.) .
. Nous devons aux spins c|fe l’illustre botaniste que nous
avons eilé-plus haut, lesfPalées.du lac.dje^^^ufchâte 1. Les
poissons que nous avons reeuS'Sqùà ce nom, ont une forme
assez différente des. Egras du la-,6 de Genèye.
Toute la partie du dôl coWiprfse 'entre la nuque et la dorsale
*ést beaucoup plus* soutenue ,.sbeauéOïip. plus, arquée que dans la
Fera..La partie du tronc qqi',suft''la|dorsaïetest plus a llo n g e , d’où
jlrésulte que malgré la plûéfgrande courbure de la portion antérieure
du do s, la hauteur n eàf^comprise que quatre fois et un
tiers dans la longueur totale J.e^fiime dans la Féra.
La tète de la Palée est sensiblement plüs'pëtiie, du sixième de
'Ta-'longueur t'otalfe. Le bord du préopereule descend plus droit;
l’interopercule a son angle postérieur plus aigu. L’extrémité du
nmseâU "ëst:®un peu plus .saillante. Les écailles sont plus nom