! èfçtroitfe à sk34i fektréfiàâtë que yïëlle d u CoiliaB&sMjfiie^i- Il a Miissi
la caiïdâlte plus fôrgfe; Ce qui 4e distingué aes prépédefits, e’èst 'que
•ites maxillaires dépàsstètat de beaucoup l’op.ëKsule et. rinsërtioïi de
^jpa p^ètôràle; feelle:-ci,-è^t peu. p¥,.ès‘$ussi îàrgé qùfe belife dù|ïC
Dussurriièn. Dés ràyonà sétSc'és paraissent lin peu rüpips longs ;
l’anàte a aussi bëâüeôttp ïn'énns dé itfayiàiis. =
B. rl j | D. 12; f t ; Y. 1
Les écajBes.spntgranpe^Mja, couleur est blantfie.
Il est bien «valent que c’est le Clwpea mystus d’Osfeeck;
car.il est le^sauLde u@.s^oïlias qüi ait §ept filets au-dessus
de' la g '^ n ra leaiiT. Richardgon, à, donc 'fcire-A^&Q. raison
lespAcê d’Osbeck^sous son-tHôïlia dè Canton; maïs^ce que
nousjayofig ait plus haut, à l’occasion du Clupëa inystus
de Linné, .prouve qu’il aiéÿt âp;rt de-joindre à, çjstte^sÿ^-
■nymre^s5elld§de[s Arn,éni#s académiques ^»et à plus forte
raison, celle dfe.L&eépède*
Nous trouvons une excellente figure ^du -Gcdlia Grayi
dans les poissons de Siebold, publiés par MM» Temmifcçk
et Schlegel1 *: cifs naturalistes, l’ont appelé Coïlia nastïs.
La description qu’ils enJ|||njL^donnée est, c§mme:Æqûtes
celfes de eçî bel ouvrage’, remarquable,,par son exactitude.
Ils meIpardonneront de ne* pas prendre pour nom^spé-^
cm que d ecette espèce Celui qu’ilsÿpnt imposé? puisque
tous les GbïKà mériteraient Tépithètoe 'de nasïtS.
L e lG o ÏL IA DE PSLAÏFAlk.
WmPxntiâ 'Plajfairïî^ Richard.)
Le naturaliste qui a Tait connaître l’espèce, précédente,
1. Faun. Fisc. , p . 243"; pl. 109, fig. 4.
a aussi figu^q^ti,4 ^ i t i, ^ d ^ l’ichthyologie de ce voyag||
umsqc^nd^Gjpïlia, qu’il a appelé C, Plqyfairii,
’^ÆeHÈ^espècjs^j^xtlIflç^J^qneu&vun peu plus étroite q u é ^ r
.précédente. Les çavopsi (le. la pççtprglf plus courts; lés maxillairës,
moips.'jtrblongés nez unqpeu plus lonfg ,t et 'ce^qui le distingue
n’a^que six rayons k, la pectorale. La
Margeur de'TaÿSuqifé le çataçierikë èt ^empêche de le confondre
àTCcInos’1 Kjbiha du Gange.. k,
D'?‘ ;12:-Ü ’. 2Î':'-1* liîf - 14$TV. 1.
GétÊè èspèïe^^^eht^cl'ès mtffs "de' Chine. Efés individus
sont" conservés' lÈîàn's le British MuseumJïÿ;
' Lès4 4|)!§'l’g'eurs ’qui' l’ont râppbrtee, disent que le ,brillant
èïgenté dèf ^écailles est efiiployé én’ Chiné dansai a
fabrication des p’érles artificiell^^^
1 É^s|) è p e - ’mangera Canton.