LIVRÉ 2 5 2 XXII» SALMONOÏDES.
hésitera J’ai cru nécessaire d’entrer ckiEs ces détails, afin
que le lecteur qui^oudra appliquer ces principes et vérifier
l’exactitude de mes dé termina tiens, ne ;se <|éeide'pas
avet, trop de précipitationv\Les natwàlisteSï devront se
souvenir qu’ils entreprennent uué/uuvre, de patiencèfi»'
L à T ruite vulgaire.
(Salar ^usôriil,' nob~)
Je .commence par décrire: celle.(|es deux r ^ c ç é ^ r^ '
voisines l’une de l’autre, ^eS;éüdqsr%;.j’ai pu T^semblerfle
plus grand nombre d’exemplaires*: e-est la Truite ,à'Jtête
couriê: $
Elle a le corps de forme régulière,4»sse;5 élégante, et, cependant,
il est un pgu trapu. L’épaisseur fait à peu* priés * la moitié1 d&< la
hauteur, et /celle-ci est,là,^ très-peu , d e -chose près, 'leScinquième.
de la longueur ^totale. Les variations doivent ^dépendre;^ ïl|é ta t
dê plénitude et peut-être bien aussi du sexe/de 1,’individu. La
tête a le front assez large; le museau-&.Os,,(eLai;vçondi; l'extrémité,
quoique obtuse, fait une^gorte dg Saillie; m--longueur de ■la-lêtë
est'contenue quatre, fois dans fêdongüenT du^corps ; la caudale
non* comprise. La plus grande longueur des.lobés de la caudale
est à peu, près la moitié de la longueur.jii^lâ tête. L’oeil esî assez'
gros. Son diamètre est^.cobapris -quatre fois et'-deux‘■tiers dans la
longueur de la,tête. Il est égal^à la moitié de la' longueur du
maxillaire; cehai-çi dépasse à peine-Je bord postérieur de l ’orbite.
Le bordjde cette cavitCse porte assez en, avant de l’oeil, sefrétrécit,
et l’espaCfe compris entre son angle antérieur et la Sclérotique est
rempli par une adipeuse large et épaisse. Les quatre osselets sous-
orbitaires sont étroitSs La partie des deux premiers qui bordent le
maxillaire est presque linéaire. La distance de la partie postérieure
de l’oeil au bord montant du préopercule est égale à une fois et
demie le diamètre. Le bord inférieur de cet os descend un peu