perlé à reflets argentés au-dessus de lai ligné; Mïéraie* Le vesti^
est blanc avec quelques lignes de reflet, le-tdut est glacé djtsfgent.
Les nageoires , grises, ont leur extré®até,ndii?â;tee. ^ i
Les viscères ressemblent beaucoup à deax ©cabrés; Le foie
est très-petit : ce n'est quJun pétit?lobe.aFrQxtdi,vsitaé presqueden
entier dans le cèté gauche sous 3te diaphragmes. Lfe vésiéûMdu-fiel
est grosse, arrondie j assez adhérente an ~ét sitaéënôik tà>#ït
en avant.1 L’qesophage commence par être assez musculeux f if> se’
rétrécit et ses parois^amm^eHà'nn-dessas de la ÿûiarburadeées^
tomaç ou de la branche montante, qui devientjépaisse et charnue.
L’intestin fait une seule courbure, conservé un fliamètto; stss^lâige
et se rend droit ai l’anus. A, son-origine, le duodépnm est
d!un nombre considérable, de cæcums grqs’ efô-eoisltsu La itatéMest
allongée, mais étroite;iLa vessieoatàtobe;-est aus^^graiiëqüe.dans
les Thymafes4 elle occupe plus de la moitié 'de la cavité abdo-
minale; elle communique avec l’intestin, d|ms lé haut de ToeSo-
phage, par un large canal.
Le squelette montre que ce poisson n’a pas autant d’arêtes que
le Thymale, car celles qui sont i®Séréès à% base dés âfpë|fcf|es
montantes des vertèbres sont plus courtes, et je n ’en<vëis-pas
au-dessus des Cotes. La colonne vertébrale est composée de sôixa-nie
vertèbres, dont trente-cinq portent des cotés. Le crâné sé-iappêrie
à celui des autres Salmonoïdes par ses grands trous sGusdükStoï-
diens. Il y a une longue carèpe sur. la ligna médiane et deux autres
de chaque côté sur lès frontaux principaux.
L'exemplaire qui a sêrvi à ma deèMptïoii ieët loi^ide
quatorze pbüèél^et demi. Il a été rapporté de GenèTe.
Nous en avons reçu d’autres, du laé de Bourget, par M.
de Candolle. M. Mayor nous en a envoyé du lac de Zug,
M. le D.r Reisseissen de,iStrasbourg. Ge poisson avait §té
pris dans Je Rhin, alux environs de cette forteresse. M.
Coulon nous en a aussi adressé un petit exemplad»© du
lac de Neufchâtel.
i { Siiiéine; araiguals dintroduiré <le nouveaux noms, fau-
rais pu appeler cette ésp-èce Coregonus Mondeletii, parce
que, sèfesÊ'^'lle quë'fi@,e>t. auteur1 et Belon »ont très-probablement
désiguéè^danSÜ'èüT ‘c’Bfepitfdrsur le Laygret, mais
ep.l^sssnt de Icp&édes figures ,i)G’est là le poisson
que C^yijar a^indriqu,é ^qjgsle Règ]|ç ^imal-jpou^ le npm
jLayaret, Appelle Salq%o fFlartmanni, Cuvier,
,p&çc£ ,;que po^g, iliustgf, maître a doqpg ap. nqm de Bloçb
unA^ignifioelilm spécifique précise que/.I’auteur allemand
n’ayajit.jpa^.^i: atteindra, puisque s§ figure et sa synonymie.
sont très-mauvaises-
Mv J-urine aefomparé aye^r poin le Lavaret; à'la Ferar
distingue^ le premier par sa tête pîusf! petite et plus
cunéiformes Le làavdflefe a le-nëÉ mieux prononcé, les tu|>é-'
rositékpasalés plus-lipparèn^e^^t la levre., supérieure
êbupése plus carrément 5 le cou est pla$ effilé; les nageoires
sont'mbiîis ' grandes; lës'-ééàiliies sont plus petites e t ’en
pluk',gta^d iiombTé."'LësJ deux p'dîssdns rie ‘fraient fias* à la
mêm# epoqueVLe Lavaret dépose’ses oeufs, sur les bords
du la c ,é t la Fera;dans sa, profondeur. Le goût de la çfiair
,est aussi dftfféren 1. 1$. Jurine dit que Ips Lâvarets meurent
si promptement, qu’on a .essayé vainement d’en transporte
r d u lac de Bourget dans celui dAnnecy ; iB périssaient
avanff d’y atrivery quoiqu’on eût l’attenftion de rèfionveler
l’eau du tonneau qui les idèn tenait. 11 croit que le Lavaret
sè trouve dans lë lac de Goûstante^ mais nôti dans céiui
de 'Zurich. L’adulte' est lé Blaüfêlchen de la Suisse allemande,
et lé jeune âge s’y nomme Gang-jisçh. Il regarde
la Pàiée ’blancfie du lac de Neufchâtel comme identique
1, Rondelet, De ppse, lacusi., liy. ch. XVI«tXVII, p. 162 et 163.