vier y a; associés et qui dût là boüchébdrdédpar l inter-
maxillaire, mais chez lesqtièMrê maxillaire ne' concourt
Ml l^là formaticiii de ffafcà<W'stiLpèèiê&kde la. bouche.
Cès familles ne Cbr¥e§Jtondent comme ©n lé' voit, à
celles qiie lë pfihrêé%bàrle&'-BdMpartê'a indiquées dans
s&ti^ Prodrome' d’ichthyologïè. Lu^efednde ëOfrespond
dàva’ntage-àCélle- ^MM.'MÜllei^èf TfMëbeï ont présentée
darfsdeur tableà# dè§ genres' d'éi • Chàraeiffs9i6tli
rétirant Us Érythrinfe ‘ëï les MaéïfedônSÎ aitf^ que 'l’ai
déjà fait dans'un de mies1 précédents-volumes^* I
| Ocfcüp5hs-nOUs maintenant du premier dénrf» groupes.»
J’ai dit'>tôUt à l’heure cfôirïinént M. ChvWîafCompo'séJsoh
grand* gèArë' deS>mûinO» Aux Argentines ^ aux 0orré-
oenesfil a ajoute fÜ Lodde^É1poisson>si cé fè te pdür
la prêche de la morue,- sdu¥-*ie nom de Gapelan. J ai démontré
qu’il faut f joindre I M M dans le Règne
animalf^vafrêntf 'étë placée dans la famille dea Lü'eioideS;'
Après* avoir retiré les espëfeésf qui composent cëïf différent^
g#nW;db¥ëstait les* feapèbëMéPplus ’communrêsî; les
plus'1 grandèi9 drêài|n^s‘dàtts4ë monde-sous le'nom; de
Saumons et de Truites. La distinction entre loùtes* ees
espècfes:Prêtait extrêmement-difficile. En m’appliquant à.
réiUdë d é léurs caractères pour Predhëféher ceux qui
doivent-les distinguée, je crois- av o iéété aussi heureux
dàns la! rëchèï<&r des dâTarêtèrès-de*’oes-espèces-queqe
m mè pour les auprêés. En effet, Willughby ét Artedi
avaient bien déjà observé que le Saumon ou le Huch ont
le milieu du palais lissermais' cette observation avait aussi
peu frappé les naturalistes, et était restée tout aussi inaperçue
que celle dArtedi l’avait été pour là langue et le
palais dentelë des harengs. Mon savant ami, le docteur
J. Riohanison, a ptthli4 ,*n i836|g oti bel ouvrage de la
Faune?i ûe l’Amérique septentrionale. L’ichthyologie y a
été >traitée"'a$eedienplu§‘ grand soin,- et ce savant zoologiste
a rendu» àicetté branche de lavzbologie un très-grand
service par les descriptions pleines, d ’exactitude qui nous
fontconnaître un §rknd nombre d’espèces-nouvelles. Dans
son. travail sur da-famille des^aumons, il a parfaitement
saisi l’importanee dés» caractères’ que. l’on doit tirer de a
dentitions du vomer. -Il; ^nettement distingué les Truites,
qui ont deux- .rangées dedents?, de pelles qui n’en ont
qu/une seule, au vdmer,.etdl ai également remarque avec
beaucoup de .sa.ga;cit-é que le: Saumon,a le .milieu du palais
lisse.- Mais il a suivi trop fidèlement la classification
du Règne animal qui lui*servait de guide. N’ayant pas osé .
donnera-ees caractères dedeutition une valeur genenque,
il a déerit' dansMce^genru1 Salmo les; espèces;]* palais disse,
m'eliéM^avee^celles-'qui ont une» ou deux rangées de dents;
en ntt mot, il n’a-donné;, au caractère de .la dentition
qu’une^ valeur spécifique. Je suis,eapendant heureux d avoir
trouvé dans-son ouyragelmdication de tous ces .caractères,*
car elle-vient confirmer'complètement les observations
que je faisais de mon cAté^en-m’effdrfant d’exposer
avéciqüelque clarté mne distribution de ,ces nombreux
SalmonoïdêSJt J’avais déjà acquis la certitude de la nettete
de ces “divisons, lorsqu’au voulant compléter la synonymie
de cesiespèces ; jai-oonsulté, l’ouvrage que je cite, et
j’ai eu le plaisir d’y trouver l’exposition de la dentition
voméiàenme de nos differentes .espèces.
La-variation des* dents.sur le vomer avait aussi frappé
M. Nilsson, car il dit que cet os porte des dents, tantôt
dans toute sa* longueur,, tantôt sur sa partie antérieure