CHAPITRE I f .
D u genre E perlan (Osmerus; Cuv.) -
La dëîititidn càVa&Vérisé'l^^b'ieti le Retire des Éperlans.
Les dé'nfs^întermaxillaifë^isontfîp^lîites e t crocMids^ldéliés
des maxillaires sont b e a ù ^ u p p lü s petites fid éll^ âû # tn e r
sontffro1Slf£ coniquesffet^ï4a y a n té ^ quon lés croirait
implanFéë^'sur 1%£- mâcboiïes. Ib y en' a une yangeeisür le
bord externe du palatin ët“iinè autre^ur leWoM1: inllfinn
du ptérÿgÔïdîeVTon envoieâussi de'gibssesjsur’làlâïfguç.
Du resîb , ress emblènAaux autre^SalmôpoïdeS
par leur petité^adjpens^^esVentrâlës lé p b n d e^ au ^ b o rd
a n t é ^ ù r de la première dorsfïe ; léS' o üïè#sbnt -largéflien t
fendues j lëV parois ^ e '^ ^ ^ ^ ^ ^ n a ta to i^ ^ o n t miiidesf't
argentées' OTRané^oenimunique aveélé'haut oOToeso-
phage. Les Ép^îans T rem b le n t délie, "danf î ^ ^ ^ S t i -
tuH SRM é ra le , a^n§s truités p ill ^ i^ n t ,/Comme elles
dans, la mer ou à l’embouGÏture'tîës flén^^ ty ê sn ^oe ; què
l’on «peut appeler marine, ne Êemont&,sp a ^ û delà de
r e n d r o i» n arrivent les plusfèf tes màr-ées,. On, ctfnnait une
^ c o n â è ,’plus p etite , quisé tien t daps les grands làcsyd’éü
elle pàfsp daria les riftjLerbs?^^^
Nous désignons ':ée genpeypar la dénominatîop èmplo^ee
pgr Aftedij éll4%îfejfit d oo^^ffj^tMoVant. Ain'si caràèterjsé,
ce genre ne Smpren^^plus des, inêmeVVsp£^s|que cgt
auteur gav a it jétnries^ en effetjj|il la ?û@mpose (le,notre
Êperlanl et idu Saurus.-
Notrë Éperlan a été assez mal représenté dans Ron-
Helet ', qui le reGonnarfe très-bien pour une espèce vivant
à l’emb ou&hi»e';-deS fleuves» tributaires de l’Océan , très-
commune à. Rouen e,t .à Anver,s. Cet auteur croit que le
nom'd-’Ëperlan vient de la couleur' argentée et brillante,
qui rappelle : célle^âcis ^perles.
La figure de Beloiî est-sensiblement meilleure que celle
de -Rondelet ;• la ^description qu’il en donne, prouve que
cé'tte psnp^fétait. bien mieux connue d’un icfithyologiste
njàippNormandie. Il le distmgüçrd’ailleurs très-bien, sous
|||n om ' d’Éperlan- dê* içër/dëOl’Éperlan de Seine,-appelé
auS(si par-lès i'RpüennRis p p ’gstde Leuciscus punctaÇits^’
| • -- />*- ‘î" - " *
lïjjjlemef, qui n’a, pqmt.çppié .lés figures-,4e l’Éperlan de
mpjgpde, Bÿlmnlou de Rondele^ppe donne que .celle de
L^ble, t quev j i||i,e ns de,tdps.ign^ér.^|
*l^pfiG@npyelde a îatmisé'le noin de la Basse-Allemagne en
Fàppjb^nï Spîrinchûs , il a imité ce que ÎRondelèt avait fait
du^mbt' éperlàfip:/
■V5filfii^Kb f ff^âoniié ‘une description assez exacte de ce
poissbn}|quplui était fort connu, à cause de son abondancé
dans'Test eaux de la Tamise.
’'Einfif^quiÿv^it adopté^ dans le Fauna suecica le
^eixxWo'smerus, accbnf(fn|uîèspèpeÿànsspn genre Sàlrrio,
lorsqu’il rçdlj|p la Aixïème, édition du Sjstema naturoe,
mais^pd^ssant subsister, -comme une division, le nom
d’Osinerus, étAn! ipn^gapt, 'auprès l’un de l’autre l’Éperlan
e^lè^àurus. Il n’y changea rierradans la douzième édition,
qui fut /cqpif e^spus ,ces rapport dans la treizième. M. de
Lacépéde reîp|.^t çlet genye ^ psmère, én le|,composant des
' i . RoAcl., ü« |§ ||§ f g p.196
,fe2. m m m m