on les pearte stifïisamment, tdhpeut l’ètendre as'sezftbien
pour compter les rayons; il^^trsetLleiiieïiâ^pé^tt^al$On
de uéq>4stt Comprendre avetë* eux - opef culé $ »erreur
qu’il est très-facile de commettre "dans *t@utei‘tfette famille.
Je croisïque;E©ïster s©trompe:'égaFement7 eni:ldâ!salit que
lisse j&fâfitètimnà il ne faut4 pas- entendre que
les palatins y qui se-partent tout 4 fait sur le côté quand on
ouvré largementda-gueule, n’ont pas d’a'^jMrkés. D’ailleurs
nolM'sômmes léclairés^ùï bë Cuj&t^"p~ar'Ce*quun,> dfe#fexem-
plaires d^ÿqîésteiîlavait "été donué’ par Joseph ^Banks à
Brôussonnet>ïCelui-^6i l’I fêi£ ver Hans sæ Décade
ichthyologîque sous le nom déYïtupea'setirostris. lia »figure
qu’i|en donne, convient so,u| tqû^les, goi^s à.notre poisson ,
et nous yoyons*d;ans la description1 que l’ichthy©l%ista
Montpellier, a. b i e n nnuf dents„de,s mâchoire^CS' lesscabrosités
du palais, j i y a^cèpendant unelégère^différence
entré^sa description *ét la nôtre', puisqu’il porte le
nombre des ^ ray-orfs^-dè la membrane br-ànchibstèg& Il -est
probable qu’il aura cOnfprisfpararii ‘eux le sbtfs*hpferéule.
Il n’a'vàft* certainement donné qu’avec b eà u»ëoup d e doute
le Clupea Boelama dé Forskal pour %yhbnÿmë dé5-son
poisson. Gmelin, qui P 4ccèpte;* ce^Clupea s e tiro s tr is a
copié^sâns^Mucune 'hésitat-ion ce-fSynonyme. Bonnaterré et
Lacépèü'e ,ont suivi cétte‘ mérite ètréur. Cesr BlbcïPqui,
dans sori Système posthume,^rétabli lè Clupea Boelama,
en laissant, seul'lë Clupea setirostris.
Russell * a aussi observéLoe Clupea-setirostris, que les«
naturels luiront do.rfjnétsQus.de nom dé Yka-pooravvah.
Les individus que pâi 'SOus!Ies«?ÿeux viennent-de Pondièhéry^
et de Suez: ils sont certainement identiques, et,
autant que f en puis-juger sur ces : exemplaires conservés
depuisdongtemps,. dans l’alcoo.1-p je leur trouve les memes
couleursilqu’aux autre^mystesy et* jewois même des restes
-de bordures noiré^àda, caudale. Ce qui me paraît singulier,
mest-que-M. Leschenault ait confondu,-, dans son Catalogue?,
p oisson aveé: celui «décrit plus-haut sous le nom
d’^*d«*istfcé*queles,p.êdheurs réuniraientjous une même
dénomination • deuxf.poissonsrsi différents ? Ces hommes
de la nature isqpt...ordinairement plus habiles pour distinguer
les espèces beaucoup plus voisines les unes des autres
que, èellfes-ciine le sont. Tous:nos individus ont six pouces
fie long, n
: Z /A n CHOIS- MYSTE.?,H
^^En^hulis^inyïtïïs, nob.)
Il «st évident qu’il faut pl^pe^a^a suite de ce genre le
Clupeamystus de Lmpé^ont la; première description a
paru dans^ej^te.thès.e des.Am,ér4fés académiques1, sous
le .titre de Chineusia Lagerjiïroemiana. Elle avait été
soutenue,àfUpsal en 1754 par,Odhel. Il est certain que le
poissQU.a^fGpmme^uçi? #jic1iq^. de la division des Thrigses,
■ ,des .dents au;pa,lais;, les maxillaireSj p ro lo n g é s. Les pectorales so n t
pissez, lan g u e s p o u r a t t e in d r e ^ b e dorsale ; mais ,ce"qui distinguera
l ’espèce actuelle d.e tous ho,s autres T hrysses,, c’est que l’anale,.très-
longue, W rré ù n ie à la caudale'J et ceîlé-ci. ést.ai'rrondxè. Linné d it que
l a membrane branchiostège a n eu f fa j^ n s . Je ferais seulemenf rein ar-
q u e r ’que", dans la figure deà Aménités a c adémiques,-la caudale
’ et l’anale h é s o ù t pas ‘ dfîîil jflétement* réunies ; mais le te x té h s t tro p
ex plicité p ô u r que ro iU p u isse éd o u ter de cette réunion.