* l’autre sur le corps de l?osr. Les postérieures sont plus grandes
que celles -de devant Le vomer est d’ailleurs .as'se?, coprt. Le^pa-
latins sont armés de-sdents plus longues que ^ celles de§ mâchoires.
Je ne puis rien diçhdes dents linguales.* lalangûe. avant-.été ètv^
levée dans ^individu, préparé qùy»j?air.sbüs les yeux?Lfopèrcule est
un large triangle. Il s’unit par une suture écâiïléüs'e au s'ous-op’er-
- cule. Ces deüx ôs p'brtéuï?*dé' homhréu^ei siriesprayo-nrianref*
naissant chacune de l'articulation âtitérieùré • de To^^dit^îliFésute
I que les stries«4pi-éêxrendent au bord inférieur de l’opercute croisent
ti presque à angle, .droit celles -duasqus-.opefQ.ule. .L’interoperfiul'e a
aussi d,es,strias, mais^elbjs spnt ni©g$.3s ^îarquées;^ et,elles^s,ont
longitudinales .comme-i^elless du ^spus^opercule. Le doj>^est, layge
et épalCXa,,quepë .paraît ,as|ez, grêle et Ja^fTlongue.^ La dorsale
est reculée sur le'dôsy et rf est pas’très-grande. L’adipeusesBSt petite.
L analeeSt'étroite et 'hblbpgué.- La ^caudale, est ^hâncfêë.'Lè lobe
Supérieur parair plus long et plus^aigu que l’iAferiehr.'Xes ^ïg^ ir ès
pâi'rfôi^ht étroues wjroihtués f-f#
R § . ib;' d. il — o ; tl îog f s i'f 'itf? '
Les ^écailles sqrtt'. pèt.n'esp perdues.‘dans l’épaisseUr |lu dermes
"commecw e s defXfcuïtes ren général.
Ea^cfrafeur e s t^ ’uïr vefdâtre^Eow^iïr le'dos^ s’efclâtPcfssànt
^sur les flahcs^^Wus^re^v^ttfrev^Lès écailles pafaissént,bord’ées'4çle
1 verdatfê*f ce qûî*d64îÉ*fôrm'éV; slîr le^msson' 'frars-,‘- u # réMîtP fin,
à ‘très-petites%taides, -,-î *' A‘
f^otre- exemplaiPe^Fong de deux pieds^et demi ; vient*
du lac Ontario : il a été énvt)j^jpar "M: .Milb^rt-;^-
‘ Je crois retrouver^dâns ^tté-. espèc^lle Salmo èrythço-
gaster de M. Dekay1. Lat figure*nbns; représente passez
bien sà? tête large Jet éourtéilOèpéndant il ne» paraîtrait
pàs que M. Dekay atfÔorde à sonefpè|l|j une taillé’aussi
considérable que Scelle6' d^'l’exemplaire dâ* aux'soins :dë.
1. Dekaj, Neç&- YoUÈFaun., p. 230;^pUdîÿ9', 4igïX*26s
M. Milbert. Cette espèce a été reproduite, d’après MM.
Dekay et Doughthy, dans le Synopsis de M. Stôrerj mais
ce naturaliste n&jpute aucun détail qui nous fasse mieux-
connaître, ce poisson. Les>cotdeurs indiquées: dans la Faune
deJàfAew-York sont.un vert oliyâtre foncé sur le dos, les côtés
bronzé^, marbr(és de rçugev;et fseitnés de taches carmin. Le
ventre ;brille d’un bel opangé-, avec, une ligrte longitudinale
moyenne d’un blanc de. perle. Les nageoires inférieures
et* la caudale ont du rouge.
fk Là Forell^' bè Ross.' 1
( Fario R o s s ïi, nob.; , S^almo -Rossii-, Richardson; Salmo
pènshinensis, Pallas.)
M. Richardson a dédiéj#\ son célèbre ami le.capitaine
James-. Clarke Ross.,; une espèce qu’il a décrite avec soin
et^pomparativement au Saumon. Il aurait pu cependant la
trouver déjà* nommée dans5 ^è'Fauna rosso-asiatica.
! v;C’ïs t un poisson de forme plus élancée, dont le dos est plus
droit, dont le museau etJes mâchoires spnt .moins arquées*’dont
la t£tç.est plus large. La mâchoire infiér(ieuEe a, une longuettr^remar-
quahle et dépasse de beaucoup la;.supérieure,.Les dents, courtes et
coniques, mais très-aiguës, existent à chaque.palatin, et quoique
lé vomer au été cassé par Ia^prépâralion de'l’individu, M. Richardson
a pu' eh 'observer deux surrratrénnté* antérieure et une seule'
plus éloignée sur-’îë^OTps de Tc&.s L’ôpéfcule est rhomboïdal.
Ses aiïgles sont arrondis. Le bord ‘imé rieur de l’intèropercule est
concave et comme échancré. L’adipeuse est petite. La caudale est
fourchue.,: n
B. 1 2 - - 1 3 j D. 13 — 0»}.-A. 11;42. 29; P- 14; Y. 10.
I Les^écailles" sont* petites, particulièrement celles du devant du
d^js. L’auteur en a dUmpté cent: trente-quatre le lohg dés flancs. Le
21. 29