La disposition générales des. viscères de la Truite s.ressemble
beaucoup à ee qu’on peutobseryer dans le Saumon.
Ee foie'ne forme’’ qu’un '-seul lobe plà’èêHt d roite d é#<3e So pbàgè -,
assez épais en-avant, mince>ét tronqué -en arrière; aveu une, assez
grosse vésicule 4ua»fiel. La Eranchc.puop.tante^ ‘de**f^tpmaè et la
portion reoou^béfi-du.ypmn^pçement- de,.l’intestin porte .de nome-
breux pmnnms^ J’eniai. ,compté A-rente.- neuf f dan§^'Tindiddu-iCLue
j’ai disséqué. La rateost dg ^rps«.‘ur. îijpven n e, suùéeau delà
du 'foiâ” Uiic7grande v e s s i e * a 7paroiT mémorTmeuses,
tout Te haut du d'os e r communqueWec’I’(^opna^ef Les
oeiffs * s’ont très- gros, ^ombehrdaus llfcaVife 4 il Yeé^i^hV^MsiP^é
la disposition lamdMrë^hék’ÜvairéJ'Qüatrt’ au -sqUëlèftèy leswrOfl-
•tafix principaux se rejoigrienFpar une p'etitfe «dréle moyennevs^de
manière, à couvrir îtouteda,,voûte du, epâpc.>>Ea plaque,.^es.^eux
frontany imtéplp.ursÆst, unie avj^ ^celle. des frontaux prinçjpau^
beaucoup plus.. in lirnemenÇque dans j e Samon , En^a|&kraj^es
^^à^oïmens et lesr temporaux seToumentSE a ^ ^ e qu’il n’y a pomt
de grand^i£pu Rtér^ sut l g ç iune. Xcs occipitaux, en-arrière^ i[e
so r ttp sV o n p lu s^ ^ ^ ^ ^ r^ u s avoTKOpmpté lés ^ r t ^ r e ^ g r ^ x
squelettes, faits'IiVéc des "individus oe TocnlireS^^sez^^^n'fSÏ'.
T^ous‘°avd%s *haûfe*^heikbtfs'%fnquânig-^fe'pt Verfèb¥fe& 'Bâic&ri-
slatfce'd&«ce-norhbr e Ajoute encore aàa® pré4 vë^qufe‘ j’br-»doratées
*p4us4-hati‘t pour* considérer? ,to,ute%®®es y$nét4s>-îd.ev truitesjxpînnie
appai;fceipjii jyqpe seule et m,êm,e,|.esp^c%,
'La grandeur-ordinaire des^ruitefede toutes nos rw-ièjp^
de N orm andie, varie îdesdixà- quatorze*.ponces?* Maison
en prend quelquefois de-plus-grossfes^tÀinsi-r )eh ai rffu
de ÿlton une qui avait seize*pouees de lOiïgwNous en> avons*,
atl Cabinet*4du Ifoi, un individu pêetié-*dan« -la Rille ,- qui
a dix-huit pouoese”Gefte truïteveommune<«:e paraft rester
dans" des dimensionskotfjours pl-usrp,e rites quand on s’élève
dans’ les moptagpesi4-
Les truites jcfo. Mont-Ceni% celles ides fau te s-Py rén é es,
les exemplairs’assez*nombreux que *j’ai vus à Freiberg,
n’ont en général que cinq ;ou six pontes de longueur. Dans
les ¥ôs^ès.1et .dans î M^Ridohistolè $ -rivière qui côule dans
les* m-ontagnes^des Ardennes pies- truites ne^pèsent guère
que * deux si t^Ois ôncfeg? Lés* plüs 'gtosses ne dépassent* pas
trois livres 4 e poids dans la¥esle, rivière de "Champagne.
| T’ai àmssirietrOuvéy dans! les-qaapiers de' ML de Lacépède,
les riaotes*, de N o èVde la Morinière, d’après les quelles*? l’illustre
continuateur de Bùffon a constitu'é-’son Salmone
gadoïdel'Æ2&*d©it4«êtr.e la1 variété à longüè tête d e ‘notre
truke«eommUneif3Mês^xemplaires de^Mü* Rondeaux nous
aident pour - arriver* à*re èoriüaî tre la dest r'ip tidn- <de M'. Noël.
*^©-n-s&ilîi*que-4eS" truites*-aiment les -eaux "vives et^cou-
rantfes^qu’elles-Afagêiit presqiie toujours^èbntre le courant;
aussi- quand on ' pêphè^dlIAtruites ‘aTO-d'igne faut-il, en
donnant plu%oîî'mein/sède fond«;.Taire remonter, le* courant
^ l ’appât *qu^ on présente an-poisson pour l’exciter à
sortir, de^sqs yetrailçs'y il rie jette* alors avec impétuosité
sur l’amopoey;eit presqUe;toujour&- il avaleRVec’-elle l’haihe-
çonîquitia tient. La* truite%ioee »beaucoup aussi les phry-
gStfes-et -les autres* Mouches" qui'Ablent au-desSùs de la
.surface, de l’eaü. Il est in ê me* fort, aisé de t’rômper la’ truite
laveO des' moucheskfacriees^cela donne «lieu à un genre de
pêche «souvent tr ès-q) r oduc ri vu. J
^-■EnfiWnoâ -truités^ eomnîe toutes les^espèc'es du genre
Saurooil,* aiment à^s’établir- dans les trous sur leMierges du
fleuve’^ et éMes! s’y tiennent tellement tranquilles que les
pêcheur? qurtifemoaissent depuis longtëmps leurs retraites ,
vont les'yiprendre à la mair^âOuvent en plongeant. Il ne
faut pas ôublieit qué'ce^habitudes de; Se’.cacher darfs des
trous ne sont pas uniquement propres à la truite, car on