LIVRE XXI. ELÏTPÉOÏEES.
Le Mysté À ÉpAULÈTTÉ^ : .
Engraulis malabciricus, nob.) gg
P o u r ju stifie r ce q u e j é âyiëüS d e d ir e , je éommeuete
la d e s c îip tfo n 'des e sp è ce s d e ^ e g ro u p e p a r celle qui* a
les maxillaires le s n o m s p^Mpugésl '
C’est \ixi poisson à corps assez court, mais plus haut que tous
les autres. La hauteur est tfèjé M l « tu n fiers dans la' IpiigUéur
totale. Le tronc est tfès-codlprimé^ car son.épaisseur est comprise
quatre fois et demie dans liFiîauteur. La têté esf petite-®f\Coùfte.'
Lé maxillaire dépasse de très-peu le fiord de l’opercule; il n’atteint
pas la pectorale. Certes n^geoireHftst petite et1» touche à «pei'nq à l’insertion
de la ventrale. L’anale commence au milieu de la longqeur.
dü corps.
P IS ÿH 13 ; A^r 40; ?. i l 5 ë. T. 1.
Ce poisson paraît avoir été verdâtre sur le dos^argenté stir .tout
Je reste d u corps. Sur les côtés des joues, des opercules et des
maxillaires., il y a un fin sablé de points pigmentaires rembrunis.
Derrière l’ëpaule, lies premières écailles sobL'tr&&juviertes^pune
plaque adipeuse, couverte die lignes ^runeg. rapprochées. Quand
on l’examine à la loqpe» on voit que ces lignes sont formées de
pointai semblables,à -ceux 4e Ja Leur réunion constitue une
j. tâché rembrunie trèspcaractéristique dagà^ette^ espèce. Les pectorales
ét les ventrales’sont noirâtres;fmais les .rayons internes de
cette dejhièré nageoire né israÊt pas ^ l ô r é ^ ï j ’ânâle et la caudale
ont Une large bordure^ noirâtre. Lalddrsale, qüi 'est pointue^ â
son premier rayon bordé d ’u n fin liséré noir. L’extrémité 'des derniers
est 4ussi un p e à jrembruniei
L ’ex em p iaire q u e n o u s a w a s siée«. d e B om b a y , tpar
M. R o u x , a six p o u c e s d e long. L es p ro p o rtio S s le fo n t
re ssem b le r sous to u s îles p o in ts n u Clupea malabarica
q u e Blo ch a re p ré s e n té à la p lan ch e B lo c h ,c e p e n d
a n t, n e lu i d o n n e q u e tr e n te -h u it ray o n s à l’anale , mais