de ressemblance. Mais le .dessin du poisson de la planehe',3.1
ressemble tellement à celui déjà page^:|> que je snistemté
de les rapporter à la même‘espèce,.- M., Yayre^donne.à
toutes deux la caudale arrondip, les mâchoires -bécar.dges
et la bouche très-largement fendue*“.SI ,eet habilefichlhyo-
logiste possède encore les; deux exemplaires qui ont-,servi
à ses‘dessins et que l’examen de la dentition'lui prouve
qu’ils ont été faits-d’après .des poissons d’espèqfS&iPu cle
genres diflfe'rents, je ne serais pas éloigné de giioine que
celui de la page 3 i estun JBéèa^,(Y«/rao hamatu&ynob-),
et que celui de la page 56 appartient
Jardine. A la page 3 a , dsus l’article du Bull-Trou t? -fM.
Yarreti a donné une figure qui peuttÿêfcre :faiteVtout aussi
bien .d’après un jeune Saumon que. d^pajas-mne Truite
argentée. Les figures des pages ;36 et 3 ^ appartienneut-
elles sûrement à la même egpèpe?* Cela me parait doutep-x?
•car la caudal^-nest^pas la mênie- Sont-elles (les -Truites
de mer? c’est-à-dire dulgenre de nos Eo relies?» on peut
le croire pour la figure de la page dfi^Quant à notre petite
Truite ou au S. fario, j’admets diffiedemepj :que;la figure
de, la page 5 1 représente un * poissonï dn da mêmes esp^e
que celui de la*p.age fi^^Enfin ?- s il’auteur âgbien donné
le S. fe ro x de Jardine? il faut avouer, qu&cetle figure laisse
beaucoup à désirer. Maisqe ne puis croire-qu’elle représente
un poisson. de la même espèce que peJui donnée;à la
page. 13 du Supplément ? publié récemment par Yarrell.
Cette grande Truite des-lac§ me paraît être mon Fario
argenteus.
Dans la même publication le? célèbre ichthyologiste' anglais
donne la figure du Y. coecifer de M-. Parnell ? synonyme
du Salmo levençnsis de Walker. Je ne crois pas que
les légères différences doivent faite distinguer cette Truite
de notre Salar Aûsoniù A la vérité/je n’ai-pas vu d’exemplaire
dés lacs de lile’Tsochlevén? célèbre par son château
enc’ore rempli dé^ifouchànts^Sôuvénirs qu’ÿ !a laissés lm-
forlunéë^rèine Marie,
’ Nous-nvons déjà dîtéles magnifiques planches de Jardine
polir déterminer l’espèce du Saumon? et pour exposer nos
dbâliè^sûr FèspèÛe du Salmo albus. Nous5 trouverons une
^présentation fe'cbfinkissabfe1; d’une de* nos espèces de
S'àlàr , dans è’ë-qu’il Rappelé Salmo féroce, mais-je reste
dans’tlëVplus grandes kicertitude^èn^ce qui concerne les
•deux variétés» tpi’il a donnfe^^du-Y. fariûi €jeiHËeux Triiités
de lacsm’ont point de tàèhé^ rouges? leur caüdàlé est plus
profondément -échancréë qu’âucune descelles de nos
TrùitésV'Jè crois qu’ellifs-a pp artie nn en t _ au genrei Salar. Je
ne serais pa^S ëtformé qu’un observateur? qui lès suivrait dans
’téuS‘feurs pàSSagèk?’ né vînt à nbus les montrer comme des
jeûnes du Salmo ferêx.
; '^BirnoUs \ examinons maintenait les Faunes particulières'*
des différenteshsfOntréés de l’Ail emagnèy nou's trouverons
quemgétiéral la petitè^Truite des rivières a été assez bien
recohnÉét. M. AgâÉssiz èn a donné plusieurs' variétés qui
font parfaitement connaîtré*net'te espèce. Il a représenté
-sur les planches i4 et i 5 de sa belle monographie des
Salmonoïdes ? nn^Saumon argenté qu’il a nommé S. lacus-
tris. Je Regrette qü’il n’ait pas' alors feônnu la nécessité de
figurer les dents^omériennes km de les décrire. Il aurait
dissipéles incertitudes qui nous restent sur èette espèce. Il
regarde son- Saumon argenké comme de la même espèce
que l’Illankcn-de Wartinann et de Bloch? et il a cru? avec
cet auteur? reconnaître en lui le S. Idcmtris de Linné.