L i v RE XÜKm 4 2 2 ,?‘SAltMONiOÏDES.
petites éeaiUtes« minces--et ct>mme perdaesdans l'épaisseur
de lâ’ peau où du cuir laïd ae^fe ranimal. Les saumons
ont un- canal intestinal'-très-asourt. On ne. peut distinguer
Toesophagë^ù &|t@ma<&propiiemënt d it Alla suite dë^sa
première-courbure, la branche ^montante à parais musculeuses
y assez épaisses,a est entourée des nombreux et» de
longs cæcums* Le- foie épaisy» mais - peu- long, -occupe la
partie1 antérieure, de Ihypocondre; droit. La i^k u lse-d k
fiel, attachée -aux -viscères. pat: un- canal’ hépMOcysttqire
très-court, reposes*sur là courbure)'du duodénum. iLfe
canal cholédoque est.gros «ttjaourï. L’intestin gg>étroit
et» descend) à ïfenaaasîsams. faire aueuife (drcsùa^oluteoAî- La
rate^yj trè^grafQdev-skude^vhrs l’ar-Bïèife dm l'abdomen. .am
delà dedmtoma&K Lear lakaneeas»OGCupent>da partie: am
te lle liste: de la cav slép elle» oOmmunifuemt
qui porte au dehorsdaiséoïëàioin prolifique*.die «eustfengan*?
par ^ eSft; faeilei de: suivre
leur marché pat une .simple •îsasufflatiom. Les B®aiÈôê?S0® t
composas deipetits feuillets-portant langeâmes -ou f ï £ j p
nulës »qui, en se-développantr deviennent; le s |^ pM Ë É
feuiBetp flottent librement damsi :1a cavitéiabdominaley de
sorte que les oeufs diétàcfeés de Lemire tombent dam
OetJte cavité avant d’êtreipQBdus.^Omisait que mette singm
lière disposition i existe dans . f lusieurs / autres^ fam ife
Dans, toutes les, espèces que» j!ai ’disséquée», j’ai eonstam-
mCnt trouvé uneelvessié} natatoire tEès-grande> simple:j., à
parokmincesJet comme û b ^ m m et o u y e rte^k p a rtie
antéËi'éure duf pharynx p a r une kèimmumcation presque
directe est sans g conduit i pneumatiquev
Tels sontiles piincipaarx trahis de l’organis&tiiQii des saur
mons, et à l’exception deme quidie-nt à la:dentition y&mét
CjiAP. I. sAWtetK% 7 Ip*
nmm% Ms s » t aussiiieQmmnmfsaux. différentes, espèces
des deux-.genres,.suivants. .f _
Je vais exposer danSiçe; chapitre < ei dans une suite de
descriptions: dëtàlJéeSi Jes - caractères.) des ( diverses espèces
qui oafeJ^;iC«rp»?du •xowerjhsæ • etiSai^idents. Je tacherai
d’y -rapporler Ifs s^nonyjp^(M r!PluS probables, que
chaque #n.,qonç.pit que**ce
travail h issera.quelquefois une incertitude .regrettable.,'*, ^
Plusieurs demosmspècesd’Europe ^confondues arbitrairement
>éous le*nom de Saumons ou de Truites, viennent
se placer dans^c#;gehre " ^è-^ont le ‘Saumon ordinaire,
I | Bjé;cai’d cjn $àlmo hqmatüs de Cuvi^f, le Huch Ou
Salmo jiucito, rO m b ij^ h d ^ ^ /.p ù ‘'Sqjmo umbla, le
Salmo salvfUnu&Æ quelques, auîte/y e.pf£|S< moins connues,
,Enfin, Je Cabinet du Roi pn, possède un autre des
eaux douces de -l’Amérique septentrionale, Ce gente -Saumoné
ésit-d©nE tout autrement in s titu é que celui du
R è g n e ,animal. Je a&i pas cru cependant devoir employer
mié autre dénomination, afin de ne pas délaisser des noms
pàssés en «quelque sorte dans notre langage ordinaire,
quoiqu’il soit'bien, tendu que je vais 1 employer désormais
._dans nue acception toute differente de. celle que
lui a, dpnn.ée M- Çuvjer, et p ^ c ^ n ^ q u e îif plus élpjgjiée
-sdê,^ëBe,î4fe Linné.
- Le Saumon commun. W
{Salmo-Salmo, nfb-k
Je commence çes descriptions par celle du Saumon ordinaire,
à capse de la grande.importance de ses produits.
G’es-t J’çspècei parfarite,ment caractérisée qui vient en aho-n