b reuses, .et disposées sur les flan cs par . séries longitudinales plus
- distinctes, jfc
B. %-ip. 16—0; A. 15* C.s3l,%P.16i,.V. 13.
' p-Nous- comptonsBe quatre-vingt-cinq à quatre-vingt-dix rangées
, d’écailles le long des-flancs. Enfin_les tëinte/fsont beaucoup plus
rembrunies. Les ventrales et l’anale sont "presque noires.
Les ‘mflividus que -nous devons à M. de Candolle
js.pnt lojigs d e . qùinz^ 'à^yseize pQÙcés? Il dit que crïiej
*e^pece paraît dans le lac de^JNeufcBâter en janvier ;et en
février.,
Elle a beaucoup d’afialogfe'avec la Férâ et la Grèvhûéhe,
\caîf formés1 approchent dé" la p rém iè re ^ ^ e ç ^ et-ses
meeufs r@^m^lent d a va nuise .argiles dè Ja seconde. ‘En
effet f elle habïmie fondclu lac pendant dix ou onze .mois
de lampée,,‘mais au mois de novembre elle sepprocnedés
bordSjet alo^ oh ’ ebTp'rend un;grand fiombre. Elle aime
les fonds caillouteux. On na mangé* fraîche, é ro n e n fa it
aussi desjsalaïfons qu’on ë^jeqie*én Suisse et méme a fé-
trân|érf* M?’ a eL â cep ède1 ? qui n’a^pqmiu ce poisson" que
par des^not^aB^Nbel dé la^oriniîejrp, l’a confondu avec
le Lavaret. Le beau travail,publie^par M. ÿ o&tJmr 1 em-
bfyoloj|iè? dlsf. Salmoït ês-’, Jes.t d é résultât d’oEserVadon s
faites *sür ‘IfeV^oeufs èt l’epïbryph jïe la Palee- M. Apissiz
a^ bBsêrvç que l’qn peut en ’conserver les “oeufs Tdans dès
vàses remplis d’èàu,sFon avsqin B agiter dejémps en témps
ceffexSu avçc de petites ’ver|p?5Î Ce mpuvementjempëche
les^oeufs de se .couvrir dunevpétite mucédinée blanche,
délit le; développement les fait bientôt périr?'
La G r a v en c h e . ,
'■ ^CorêgaHus hyétnâlisi Jurine.1)' • '
Lé lâc de Genevë ’nourrit’encore line autre espèce,dè
Coregonë voisine aes précédentes, mais que les pécheurs
et lés gens du pâys savent' «très-bien distinguer sous le
nom de Gra\oichèi p
Le pqi^soh me paraît plus arqué que les précédents, parce qu’il
a tout^dos+réguhèrement^çqnvexa Les nageoires pectorales et
ventrales sont plus larges que dans* lés précédents ; le museau est
un“ peu plus saiflant ^aujléyant"de la.giâchoire inférieure. Du resté
' céfsonxles mêmes formes’- une ressemblance assez frappante existé
entré llsVyiseèj’es.» Les petjwès,‘é$ailles‘me paraissent ressembler plus
à céirefpQU Lavaret qu’à celles ?de là Féra. C’est surtout la pectorale,
qui est 'proportionnellement plus grande que celle de là Fera.
B, 8^D. l&L-^p* jt. | j y | g | 34; p. 16; V. i f j
.N o u sTavpn^?examin^>^h£ |sx'emplaires | d e c e tte espèce
q u i n p p C b p l^ ^ iC p u v p ^ ï|a è i Genève p a r M. d e Çan d o lle .
Le CabineL dif Roi e n ’à rèou^aûsÿ un exemplàire par
M. Tprtminck, qui r^donné%:M. Cuvier en Revenant de
Genève.
NôS* ékempLif'e^ sont longs 'de iieuf à dix poüces. ^
>v.Suivant- M. Jurine, lgs individus'1 peuvent atteindre
jusqu a un pied. Il ne^mejaatàît pas lî;ës-^certain que cet
auteurait suffisammentfça^çoerisé sa ,Gravenchef je ne
seraisi.i(p|sMtonné^ çl’après; quelques mots de. sa. description
avagj^ifondu üJ|LPaléç§-ayec des poissons de
l’espepe pptupifcComme la jGrajenche ne'se montre dans
le lac que pendant le mois dè décembre, et quelle disparaît
1. JurinePoissoris-du lac de Genève-, pl. 8.