de même grancleur, je trouve la >gueulé de .ce petit plus
grande, lés maxillaires
trent dans aucune des. formes de nos petites .'Truites
communes. La couleur de nos poissons est un ve®t|rembruni
devenant grisâtre sous le ventre. Tout le oorpslest
couvert (le mehes ou de -points^Aoirs;) il .»’y. savait. pasélp
taches rouges.»Ils ressemblent parfaitement à la figure publiée
par sir William Jardine!, sous le nom àe $almffjfaiïo&
ou de grande Truite des ' l<aos<*du -comt^ fie »Sutherland,
dans les lochs du Laygthal. Je ne! crois pas me |tromper
en disant que cette espèce de Truite est .à la Truitecèm-
mune ce qule le Bécard est au Saumon.
Je ne doute .pas qu’il ne faille rapporter à cette espèop
un exemplaire long de dix-sept pouces , qui a été> remporté
d’Islande par M. Çaknard. Les taches de la joue,
c’est-à-dire celles qui couvrent le maxillaire | le préo,per-
cule, l’opercule et lé soüs-opercule, sont de gros points
noirs et ronds, beaucoup plus nettement limites que; les
tachesj des-’autres individus,-
L a Troite ôléGîVnte. .
(Salar speôfabîlis 3 ,nob. )
. .Son Altesse Impériale la .grande^duchesse Hélène-, dé*
Russie a donné au jCabinet «du Roi une! tnè^jolie espèce
de Truite, que l’on prendrait facilement.pour un Saumon,
,si ; l’on n’en, examinait la Rentifiom Sa rangçej de
dents; .jvomériennes la différencie suffisamment; pomipe
.genre et^«comme .espèce de ce poisson.. . si<
Elle se distingue de toutes nos.Truites.par son corps fusiforme',
plus régulièrement elliptique. Sa tête est énYiron' du cinquième
: deda longueur Wlak»-S& gueule est médiocrement feÜNt * ■
peu moins que fe|^|&;d;e la longueur dé jà .tète. Le. (museau est
pointu. ,Les,.deux mâcjbqice^ %o^.t é;|al^.t Le,pipéqpçrcule^^ régulièrement.,
arrondir L’o&il, e$"péfit. Son , diamètre .est six fois et
f ^dërfil dahs la lo n ^ u r^ d ed P t^ ^ L é s' nageoire^ sont fientes. Les
“écaillés séËt pfu^upl^^Èes, si Tbn aime fiueüx, mollis per-
' 'dhéi^dàit^lÿ ifiûëoâttéî de la pfeà&Tf ƒ 'èà A tfênt! trente rangées de
Mdfrg des fM.iiês/La}céîuletir' èst un- bleu d’acier sur’le d o s, s’éclair-
i cissant ,e»ilirgeilté«'iSiBiSb8 flancs. Le «dessous»durventre et de la
;>gorgfe esufllanc mat. Les iéêtés»;e.t| la joueront prseméssde; taéhes
i nmres.,'Lêl.plusj grand-!|de^trjcéf«îéxein.plaires dp,,Ç£binpt .est long
pouces.
„ Çe.st probablêmtëpt l’une< des_. espèces, décrites par Pal-.
las^m$j&'quelle qu’ait ||j ||lassidui,té. de mes;vrp^h^rçhçs,
)& n’ai pu la retrouver, dans ses .nombreuses idescrjptions.
# L a Truite be «-G-aiAdarî).
(Sdldr G à hn atd i, nob.)
.. Nous avons ij£g& dlsfancTe jm&auW Truite assez'Ksemblable
par sa forme 'généikfe, par fensemble de ses couleurs
et par son |speet.^ri|lsnt^ l’espèce pr|^édente;
mais sdn, museau me paraît plus arrondi. Son oêil un peu plus
-, ’• grand, .est plus rapproché de l’extrémité,'^t sa dorsale, et son
H anale sont un peu plus longues cftr plies, ont trois rayons de plus.
B. 11 ? D. 14-î À^|2*G»?2?SiP. 14; V,9. -
Les ééâilles sont;,« aücdmtraire, un peu plus petites que celles
du Saumon,, et se rapprochent-de celles de l’espèce précédente.
Les epufeurs sOnt plombées, ;av.ee des taches noires plus ou.
moins nombreuses sur l’opercule, sur la dorsale, sur. la caudale
, 'et %q.r le corps. v t
Nos.individus ont quinze pouces ; ils faisaient partie