J’ai compté dix-iiêüf rangées d ©cailles entre la dorsale et la
ventrale, et Quatre-vingt-treize le long des flancs. g
M. Richardson, en nous envOyanCée poisson, l’avait
étiqueté ^Roimcftsh^ cfést Ità Katheh des Indiens, ou le
Okengnak des Esquimaux. lia description euéi^faite d’a-
près un individu péché dans le lac de FOurs. Cette Coré-
gone existe aussi dans les mers polaires, souvent aux
embouchures des rivières de la-Mine dé cuivre et dè
Mackensie. Elle avait été indiquée déjli dans le Journal
de Franklin. Je né la vois pas citée dans les Faunes particulières
des États de New-York*, et M.~ Storer ne Fa inscrit
dans son Synapsis quefd?apfës Richardson.
Làr CoRÉGdNE*UTSÊ&0.
(Coregoriâs oûego, DekayV) *
' J’ai encore a placéfidân^ëkbe. ^première division des
Coregones une espèce de l’Amérique “septentrionale^ décrite
dabord par M. Clinton* qui »est reproduite ensuite
dans k Faune de New-York par M. Dekay1 2. Je’nai
pas vu ce'poisson,
Il a .Je corps allbwgéîet comprimé de très-petites écailles. La
couleur brune jusque aü-^s'us^dèla-ligne latérale est argentée en
dessous, et'des raies'latérales foncées rappellent les iceuleurs-'du Labrax ImealïiSi
Ces auteurs croient que ce ptgi^èÆr ne se trouve que
dans*le laq Otsego, et qmiFdéyieni plus rare de jour en
jour. Il mord peu à- l’hamecon, mais des éoUps de seines
1. Qinton, Med. and ïeg.,-j&ï. BI, p. 3887
2. New-York Fauna, p. 248. -