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L’espèee que je décris* ’
•a la tête’Wmpfise quatre fois et demie aafis la longueur totale. Le
f¥diït-ly^'é; l'ës "de\fx mâchoires' égalés*1* le museau assez pointu;
les dents'' f^nés* ét^sééréésS s'u'^Mà^cleüi* mâohôirés', 'les palatins et
sur le vorfier; celles-ci^ sur deux rangées,1 ^sbrît beaucoup plus
petites qu’aucune*,-de céMfe'sfde nos Traites communes. Le dos,
plombé,,'à reflets violacés f-et, çpuvert de taches, assez grosses,
empqprprées.r @n.fvoitt de^petites tâches brunes sur la dorsale. Les
pectorales 'et l’analb spnp jaunâtres. La ventrale est blanche. La
caudale, ün peu foürchüév. est grisé, sans"auchne ”tâche. Tout le
' poisson- est argenléfeÿ
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espèce a aussi un carrière remarquable; car je ne trouve
que rfeuf, raypns. à la .membrane ^anehipstège,
Elle dôit* étie* rare, ear Ms’Bailloirj^qm- .connaît Jsi
Kifen^fes’'poiss ops dê la* Somme,* cfoit n’en avoir i vu que
deux ou trois' indimd,us. L’exemplaire du Cabinet du
Rois\est longue irrë'ize. podîees ^ demi.
>' Càt-dédié' cette Æs|a|cp '|i mon ami M. Bâillon, qui a
rendu tant de servieèfeà l’Ichthyologie. Ce poisson me
paraît venir des centrées septentrionales"et descendre des
mers du Nord versf nqs^eqtes en popipagnie des autres
Saumons ,\scar j’ai Retrouve deux exemplaires de .cette
espècetous deux re^ïmaissaâblës ricM-seùlement par leur
forme générale, mais ,par lè caractère positif des neuf
rayons de la membrane branchios-tège dans les poissons
rapportés,de- Nojwégepai.M. 'Npë^ de la Morinière.
ï Ce zéLeéchthy ologiste avait-ol^servé beaucoup de Truites
dans ses 'différents : voyages^ en Écosse. Je,; crois qu’il faut
rapporter à cette .espèce pbisieûrs. des observations qu’il a
transmises à M. de Ladépède, mais le défaut de précision
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