CHAP.' IV^ÉFËRLA'NSi. 284
; ptérygoïdiens*; de sorte ‘qu’il 'ne' peut y avoir de doute sur le genre
dans lequel il' fautfairéentrer *fcejipoisson. Ihse distingue aussi du
..précédent par son* oeil beaucoup »plus grand, car ce diamètre mesure
- le tiers de la’ longueur deda tête. Celle-ci est comprise quatre fois
et demie dans la longueur,,totale. La mâchoire inférieure dépasse
un peu la supépiféhre.-, 'Le maxillaire finit ^oüs le milieu de 1 oeil.
Le .des^usjdu, crime lest^él^oit et le profil est, concave. Les ventrales
j j?n«regp'n n d j ÿ .l â dorsale : l’anale (e§t hasse, et longue. La caudale
, ,est| fop.rQh;ue,;,,
A- 18;'C. 25; P. 1,1; Y- 8.
Les écailles,sôptJpeîjfèp.* La, clqLeqr est un argenté très-brillant
devenait verdâtre survie dos.
Je^neîjgpss^ède qu’un seul exemplaire de cette espèce.
JuVdfvidu^opg de six p q u p s ,, .a ;éte^ envoyé au Cabinet
du Roi par-M. jLôwen. '
Je ne vois->pas.“ que ■ cette éspêùeait été décrite par les
ichthfyologistes ;^cependant i lne me paraît pas impossible
d ’admettre que .ce, serait elle cjui aurait été signalée à Pennant
1 par d)aines Barriugto^qui la distingué ,de l’eper-
lan'commun par la- petitesseJdesjdents j il ajoute meme quil
n’y,çen a pas à la mâchoire' intérieure. ; j
Z / É p ERLAN ,_B»ES LACS.
(Osmerus spirinchus,'Pallas.)b'a
J’ai rapporté du lac de Harlem, en 1824» un petit éper-
lan que 'j’ai redb&vé^èri tres-grande abondance dans le
ïac.déXégel, lorsque fa vais le ' ï>,o nheür d’habiter dabs la
famille de Humbdicte * •
Ce%etit poisson me paraît avoir le corps un peu plus court et
les nâgeoirès, plus hautes qué î’Éperlan,ordinaire. li a l’oeil, plus
1. Daines Bàrrîngîén àpud Pennant; brit. Zool.j 1169, vol. 8, p. 266.
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