ment divisés et tant la réunion des branches »est grande. Ces rayons
résistent sous le doigt comme de Véritàbl^s 4piâ,esi;ii n’est cependant
pas difficile» de 'reconnaître les articulations -qui des divisent.
Les > nerf J premiers- payons peuvent ;s^carter; ;beauooûp'les uns des
; autres <|ûlmd )ilà se-Tedrestent?, parce tpie la memhrabë-squides
réunit est assez- iarge. -lls' sont süivis1 de cinq-autres‘tellement réunis
et ‘serrés]ique »cela forme-titi® nageoire sans âuctf ne-flexibilité.
Le poisson ne peùlrpas abaisser ©u fermer 'son anale^i ainsi (que t»Qus
.•) les antreSpbissotts.letbï^de leumïmagécâresi*Maip les myioçs^ui
• suivent,-v^u<jifÉ|e’peti écartés les uns des^aMtres^sôntftoutA&it
- mous : ceux-ci Sont au riombiei de! neuf. La caudale a toti“ es
• rayons ’mous et flexibles ; elle : est fourchue. - H
B. 8; D. j
Le museau de) ce-p'oissjon est assez aigrn; la mâchoire inferieure
dépabse un peu la supérieure ;>es bmneh'est'So'ntï1- ISrges et lin'peu
arrpndies. Quand la boucheéstfermée les-deuxibran’ches se touchent
• èn^déssOuS' ellèsîSe' séparent ^ ’ailleurs facilement l’ünede l ’autre
- auprès de la-symphyse, ce qui arrive si fréquemment qu^on doit y
fairë«aftënîion' pour • ne pas prendre Cettfe disposition. cOmme-‘un
• mractère de ' ces'eàpèces de'poissénS. Les intermaxïllaires s o n t^ e z
-'Ipëtits5: placés à l’ext-réiffité^âu museau, iîs^étemdent 1 en une
pointe -courte ' le ion g t du bofd - inférieur !du m,â’gilkire.^Cet*;^ l ÿest
libre dans p r e s s e toute isalon'gCètir^iis' fiis’-àrticùle'avédles in’&r-
màkillàiréS'dé iâ mêmei-toànière -qüé dans- les- ÉpéH'ah'sV aW lieu
1 d’avoir une articulation semblable"« celle des-trrftéSi Lès ‘sont
minces,'mais résistants: Leurs'dents sont excessivement fines, Wrëes
• et' pointues sur un seul- rang. Je ne* crois; pas qu. on' puisse leur
d o n n éd éîn êrfa^d em s en velours. Il y a-aussi urie i-ân^è dé pëtîtes
dents coniqàëSf tiré e s ' en travers.sur le chevron d n ' ^ ô 'me r y
en à dïautre^mn-ipéu plus «petites Wène
.rangée sur le;bord interne-du ptérygôïdieh: La langue-esrarmé’é’de
dents un peu plus longues; -cbniques, disposées' sur une pkque
elliptique qui porte eti Outre? une orf deux raiigéèsr longitudinales
et intérieures. 4QjÉ'rf©it” donc %ue la dentition'des >^pélâtis Wre
une dispositiow^f 4s*^ofei®è dPitellB5 des?1- éjterïâhs. -Léi* éctilfes %0n t