crure, danÀ laquelle s® place un petit tubercule ékyç.sur l j ^ m -
phys$ de la .i^âchpinflt inférieure. L’ajc de la Bjâçhoif^rS^éneûre
est bordé par les intermaxÿaires et un p^rÿpar des ^ ^ illaires.
L’intçrmaxillairejfist petiL comprimé, mobile, sans branche montante
et «rtiguïe^ur la tubérositM^moidale. U o e ll||re *un }|>èu
fibreuse couvre c&'fïetitrls, et va rejoindre le^maxïllaire’ ver^ l’afJïgle
dé la b o u ^ e ^ 'e lu i'- a ÿ ^ è tf tV ^ articulé librement derrière
l’intermaxillaire ; sa piège accessoire est traduite à un très-petit styjet.
Les deux ouvertures de la narine sont rappr.o:chées4 ’uneJ dç -l’ê t r e .
surr le%£Ôt<&,du museau. La^'efe^ 6 Numérale èstHprçsqse entièrenient
cac^ée.saus le ^ b o ^ ^ ro p e rç u le , dé
est in^éV^ t^ |- 6n a^’ant, elle a une |ajge égai% dans $^e
et quelques autres, en dessous; complètent la gaine dans
'elle se.Jheut Cette nageoire J s t en ovale très-allongé^quand ‘elle
est. repliée, 'et * elle Tbuehe à la vèntrale/.Gede-ei est triangulaire,,
assez-large*, 'fet'^ 1 urm'petiti^ é c a ille -d e s s u s d’elle. La dorsale,
petite et pointue d è j a y a n t ^ t attachée un peu en arrière d eT â ^
plomb de la ventrale.,,&,tgpar le milieu: de leqloiffueur du ^q^js,
en n’y-comprenant^ pas la, gapdale. Le dernier rayon se. p ^lqpge
en un filet^ouc^éJe long du dos, qui dépasse la moitié tje la
distance entreïX^dôrs^le.,«fia pageoqe dé k q u e u e ; celle-q^esl-
fourchue. L’anal J ^ l o n g n e "et basse, à p^P près comme une pageoire
de,Brême. ,
b: fi* D. h i A', _38*ÿî 19 3 P. 16; Y? £
Les écailles sont de grancW^ptédip.çré.'Je »’y vois auçune syie
remarquable. Pfous en comptons cinqmmte:huit rangées entre l’orne
et la caudale. Le ventrée comprimé: epearéné, a,J^omme:'d a i^ ,-Ies
Clupées, trente chevrons, dopt la Çarène^ès-épaisse.et tW ^ é ^ P
pointe, constitue ujig.scie à très-petites dents. ...
La couleur rappelle celle de nc^Cyprips^ ellç jst verdatrTsur
le dos et argentée sur le îm§ de^cotés. . . *
| * ÿki ;^ it l’anatomie dq mr-poisson', et ses viscères digestifs offrent
des particularités bien éuriéusesl' Le pharynx est assez étn'dit; et
Couvre au fond d’un rétrécissement trèsmiarqué; il se continue en
un oesophage; étroit et-cylindrique, accolé sous la vessie natatoire.
Arrivé à peu près au tiers de la cavité abdominale, il se recourbe
f l ^ ^ W l has et sé dilaté bientôt en’ une petite pochfe ’qui est le
dotnmencementdé Fèstomac; mais ‘les parois s’épaississent promp-
tementfde manièr#| cWélîtgr unesorte.de bulbe, qui rappelle,
â q u e f e -% r d s , r'estoinaç dés MügeS. Cètte portion de canal
digestif remonté p r f tu è j'ffs^ue sous lédiaphragm^ elle serait, en
q u e lq ® f t é , a f ilf o ^ ' k la b « f e ‘rhibïïtante des eétômacS des
1 poisfW, qüx Isent brdiftai|lmïetft. Le pylore est à h partie
aritëftéùre, é il i duodénum qui y prend naissance àé courbe derrière
le diaphragme, pour descendre ftisqu’au fdndde jla cavité abdominale.
Il donne dans tout c’é trajet‘hais'sâÂèél afùne immense quantité de
’ petits cæcums râînifié&Vretends par un tissu cellulaire très-dense;
ilsfhnt,'pWs^la|igfl^ajdet%à |£ |ç h e de l’estomac, qu’ils n’era-
'%?ssent. que veVsÿla fin du" duodériufn.. Cela forme une masse
“ g la n d i f f e i à laquelle jerté pourVâis compar,er que celle des Thons.
‘L in fe fïn ésffailléùi-s assez lo$f* car il fait sous l’estomac èt entre
ïe?'^oei^a^Wôis replis eu- ‘spiralé'''^s’èz^b!6urts ; puis il descend fers
FarrieEe de la Cavité*aBdcLtémâl’è , ot^il sb plie tfôis'oti^quatre fois
I de^no&vèiù' par dés;iînses asàfez lori'gjieS ’aVant de* se rendre à l’anusé
, KLifoie est petit et divisé?en lobules trièdrës, allongés-, et qui suivent
M i l f em i è r ê s èïrconvblutîhüs'de rinté^n.'TJn péritoine noir très-
fonc é séparé cette masse'Jrisfeérale çle'tia vessie aérienne, qui est
très-grande* uuiïobée,; arrpndié en avanÇ,’^pointue ett arrière; elle
-^èommunïque par un canal'Tjôûrt,’avec la crosse de l’oesophage. De
pétries jâuancés,blànchës sfb dessinaient sur le fond noir du perîtûine.
Je n’ai1 rien trôuvoeaansf’es'tdmac:4
< iLa' longiietir de nos ïndividus^èSt dé treize a quatorze
poucés.pNous W avotîs recûLSuen'^.Ssez grande quantité de
New-York par M. Milbert; de la Nouvelle-Orléans, par
M. D'espainville ^ 4e Phifadelphi^, du lac Poncbartrain,
par M. Lesueurr qui la vu remonter dans le fleuve,, et jusque
dans le Wabash;-, il s’en- est même procuré des individus
^.en les retirant de l’estomac *de Cormorans ,* qu’il tuait sur