i a |le .,corps beaucoup plfts arropdi et plus tpapji, quç: le Huch et
même que le Saumon. La têjüe me paraît un pfeu plus allongée que
le corps n’est élevé, et. à peu près du. cinquième d e la longueur
totale. Ces proporuoüs me^paraissent cependant offrir quelques
variations. Les deux maciboires sont'* égalés. Le bord montant de
l’opercule ’descend un peu obli'quë'meht.' LesiVrois 'auùcS^pièces
operculaifes' se mônirentrà^peu près comme dansdfei ffuchô: Tl rï’ÿ
a la membrane branchiostège. .Les intermaxillaires
ont d e fortes dents sur? deux rangs, irÿéguliersj II y a. aussi
um(gr,oupe de^ept o^-buit déntscroGhues suyj^g^e^rgrudu vomer,
et pour se faire*unet idée Juste de «ces d em s .ymériennes, nous
renvoyons -à lav figure "donnée ^par M. Richardson. V
1 avons compté sur noire exemplaire deux cent1 * 3 dix rangéèê
"d ecm’léijLa côhléüb^^tsPsau mori -e'st'un ^7s Verdâtre sur le uos;
“^ïaÜËèïé dé'pomt#blanfes pâles. Le- ventre"’ 'bsVjhuMVé.'LbsViettX
mâles onldes'maxillaires, l’opercule et de ventre salisd’un' noir'de
charbon, quittes distingue tout de suite desVemelles aduLfces*ÇellesT
ci-paraissent avoir, le ^ o s plus clair et moins.tadaet&->Li%dorgale
est^ bleuâtre ; la caudale» de même ,|einte, §^du, j^uim pn^4&tfea,s.e
des raypns mitoyens. Les^ nageoirespn£éiieur^.sqntiaune^av,ec
lés t deux mi trcps rayons externes bleu|areg, Toutes «ces teintes
sont beaucoup’ plus pâles dans le?fémellçsv L’adipeuse n’a pas de
" tacn^ S f^
^ N q u l ^ < ® ë h e t * d u Rcrij un*pMj ^ ^ apl^fTe
d C c ^ ^ â um ô n , lo n g p ié d s \e t 'H u itIp o u ^ ^ ^ q u ffa
é te ep y o^ é à f ilt r e M u séum par le siso in s d e n o tr e illustre
con frère e t àm i, M. L t e ^ j id oTO^,,^,
La meilleVrer figur e a eité r jdp c.étte eâTO^’esf^ceffe q u e
n S u s tTOuvpns dans l ’H isto ir e hatu ré llê?des poisson s d’éâu
d o u c ë d e l’E u rop e centrale.''M l^ g a ls ïz ^ " îa it^ p r ém u le r
le m â le 'e t la fem e lle a d u lte^ /p u is il a ^ n ^ l a u g u r e d u n e
jeu n e femefle“p é b T ïe ë ,'â ? â n t l^ p n t e !', dans le lac d è Z urich
1. Richardson, Faunà bàr'. amer. ^-pb- 92,,;,Sg. 5 J q et b'.
gu mois délNnovernbre. Il la représente’aVec le dos coloré
en< vert olivâtre Liés-foncé: s'ans aucune tache; les flancs
s,ont pqirâ.tres, .^ouverts de petites tacher plus pâles. Le
ventre est d’un rouge orangé sali. Les, nagebires, a lexcep-
tioRdîé l a ; dorsale :,fso#t d’un »rouge-brique; belle- du dos
est terrê«vdiombre. Malgré -ees-îdifféreuees très-sensibles de
coloration., il n’est pïts^ difficile d’admettre que le poisson
de la planche-dX et*’.celui débita ^ planche XI ne.soient
de la merrfh espèce ,â ^eâtîse de la ressemblance des formes.
îfd;tref’sà^ârit ami âfëncqre représente un .Omble plus jeune.
GeJïd-cïipaÿâît avoirïe.'bbrps .plus' allongé,, le rpuseau plus
pp.intu, e t Ja tête proportionneilemeint plus longue. Le fond
de ;la| çoiuleitBi^t^comEae,. dans -.l'adulte, un vert nqiratre
piquetébde * blanc sur le dos-jet de „jaunâtre sur les parties
inférieures Ma&»k«Qët âge lest jptiesyfles flan es et la dorsale
sont- piquetées; dev points“ rouge-s qiui, d après ees- figures,
dispâraîtraient dans- ûmâgebplus avancé. On voit quelques
joints blanchâ’frë.V^efÿlîlis danS Tolivatre *du -dos. «
.Rondelet1 a plIffoLindiqué çpiilîp’a véritablement fait
GO.nrfaitye l’Ombles Mais le Carpione de Salviani2 en est
une irepre^sentation beaucoup plus reconnaissable. On con-
çbifiën -effet qu<p richthyùlqgistéhde, Rome ait mieux fait
cpmîailçe un po-i^fn;, qui festj\oëJèbre dans toute l’Italie
à pause'de la délicatesse de sa chàir. Gessner ne fait que le
çppier.; La figbfie de Duhamel^. que, l’on cite ordinairement,
me paraît* tellement paaâivaise qu’on ne peut en
quelque s opte r e connaî|R^le?p oisso.n que par son inscription.
Le poisson dont, nous nous ocçupons, est le Gharr des
L Konâmèt, *De Pis abus lacust., p. lèO, ch. 13. '
2’. Salv., ziik"7 p- 99 ,V I.’25.
3. Duh., Traité despecîiéL 2.e part., S.’t lj ph 3, %. 3.