leur de Gesti'Uruites- est un vëEt*cloFé, .devenant plus jaune :\ou
gfcjaunâtre saqs-l’abdomen. La tête.ewles -opercules-«ont qp-uy^ç| s de
grosses taches r o n d e s ,de-^rar^deT^r^diyterse^ noiri^UB^Il y ep a
quelquefois urne plus erosse^sur la joue^ m prê l’oeil et le h&rd du
préopéfoule. Le dessous de"la gorge est*}auhatr^^?raac®Ere Ifîfé-
* rieure éèc grise, mêlée dé jaunâtre. Le bord dës^ noirâtre.
On’ voit sur îé rdt)S uti gFâmh ù6fobréfolè t-achës bVUnés ; ^qüi ^dfeV
eendent au-dessdnifde k lignelatéfeal'er:prin®ipalement sur la ’région
-, de la poitrine. Le long.de'lajli gn(f on>voit une série'as,sezvrégûfoère
, ■ de-; taches rgpges, jentotjyAes souvent d’un cercle plus pâle. Au-
| dessus et am; dessous, nous, Voyons d^s^taches.,r.g>u.gç^éparpillg^s,
plus ou, mqins nombreuses;, rien nç yarje plus^sdon^s^dtfférents
individus. Le ventre n’aa j ama i s t a c h e s . "La dorsale^ grise^ ou
verdâtre,*afoe rfdfob^epx points n o ir l'fl d|s koftes'^pp^® f plus
ou moins prônônliil^ Les ' premiers' raybhsykfoiil! ^sô'uvèm^m’oi-
a râtifos, bordel dforië têïnte-pâlè, qui devietit'SOUvfenfoassëzr,bfenche
sut le poisson conservé dêpùis peu de.-tétops -dans l’alcool. L’a'di-
peuse, verdâtre^comme’ le dosÇ* a' des 'tachés" r'ôuges f et ^noires.
La-caudale, plus ou .moinsycyangée,. a quelq«,efoîsi;ung*|bordùre
noire .très-prononcée et jd,es? tacjip rousses qui.s’éyEmou^sSppt '^L-
lement. Les nageoires inférieures, d’un ve&plue-'Ou nioihs^sali de
noirStrej, ont rarement dés taches. Prescjüê r<TOjqOT^ïïknate % Une
bordure*1 nmrâtre, lisérée de blanc. On observte la mètbe disposition
à la ventrale, et'la Jfectorale eh offre qü*élfjWél!fûrre légère’âp|a-
r:':;Tën;éb;'iv-:
J’ai fait cette description de la Truite .»d’après‘des
exemplaires eneare très-frais que fm rëçus des différçiites
rivières1 de Normandie qui se jettent dans la iMêr-caupMès
de Dinppilet auprès de Ga'en. Mais d’ailleurs r j’^retr©uté
cette même variété dans beaucoup d’autfes^eotirs, d’eau
des environs de Paris ou des différentes, contrées d e d’Europe
: e’est la variété qu’on observe, dans g l ’Iton, auprès
d’Evreux; dans l’Eure, auprès de Louviers;; j e j ’ai ob-
Sertée^lans lé^’pëtîtes rivièfès‘-du plateau du Vexin, dans
l’Epïè*^§ë#àffluents É auprès de Gis'chÜ La Bille, qui coule
à l’extrlmite n o r d - ^ u d % d*ep‘arté4mf îïMe l’E u re , nourrit
a^ssji urii^ ‘slz uraud nombre^de truites' dè la meme es,pece.
11 =esl; curieux d,e remarquer -h^jppd^nc^ des truites dans
'Cés^pçtites ï >riviiè^^' ’tribut|tirest de 1g.. ^eine,, et leur ab-
setféeydans' ce. fleuye.TlMly^apas noniplus de truites dans
la MarM", quoique ioette«gr$nd-e-tfiv,ièreï-.reçoive de nombreux
affl^tenls qui eît .nourrissent' J ’ai encore retrouvé la
truite a ~téte ’courteM'âris' dèflêÏÏ^'ôis faits parM. MauCul-
iock'ut par M .^ ^ ow d ’ic lî/^ u i cbëTcbaiënt à noirs procu-
r e r ^ A ^ i e § . ‘des: l a | | ^ e ^epr pa|sl J ’en ai rapporte de la
petite;rivièrq„td;e%la BopVack,, qui su je tte dans la Somme
anpfèsrd’Abb^yfrlle- J ’ai a^sidtfouyé, cette espèce dans la
M&fe^etaÉans les petits affluents aux environs de Namur
e t de H u p 1 ■ ^ ‘ *J,'f !
’ J’en ai rapporté des exemplaires pris Franc fort 5 ils ve-
riÉéfiV 'de^ïaE. ‘NiÜda^ ^efîfè^Svrêrè qui ë è ^ t t ë (Mus le
MeïndJAmai vu un*grâud nombre15 d’exempïairês qui tous
M a te n t ;b,eaupopg entre“ pux. Le fond de la couleur
étaifo.tantôt brun,Ya s^ ;v4pncé, tantôt il était jaunâtre avec
des'feflefeplus 'ou moinsdorés. Les individus avaient des
I taohëk plus ou moins| nombreusêsyrbrunesi. ou rouges;
"eldl'ë's^ei %ftfÔuréfes,' d’un cercle blanc;'mais souvëtibarfssi
ibtfy^e’n avait p‘oîn t; d’autf es ? exemplaires* a vaien t
-dép^ellès & cercle 'libir.'Totits'avaient la dorsale tachetée,
MpeiaSe et l'a caudale bordées de rouge,-l'es pectorales
jaunes. L’examen des nombreux individus -que j ai fait dans
■Iteë *hateauxsdes- pêcheurs, m’a. convaincu de leur identité
sdécificpie aveG'cèux que je venais de voir récemment sur
le marché de Berlin. Ils m’ont également "donné: la convie