tion que toutes ces variétés1 appartiennent à une steulftét
même espece.' -J’ai |5u'*en achëtèr à F rë ib ë rg ^
M. Chevalier, préffet du YlPf|hi eu' là complaisance d’envoyer
n Mi Cuvier un assez grand nombre de truites, qui
arrivent à Draguignan,tLa Soignes es,t^^ruisseau qui-lés
fournit pelles sont toutes-ïremarquables par leur tête qpurte,
couverte de taches : noires très - petites et par,-les* nombreuses
taches rouges de leur corps^Ærest un des poussons
qui ressemblerait le plus ù la figiu$? que Bloch- a donnée
sous le nom de Salmo alpinus. Cette espèce, nominale me
paraît cependant indéterminable d’âprés- les observations
que * j’ai publiées* plus haut.
Je rapporte encore à cette lyariétéia Truite sque M. Peut;
land a prise pour nous, au mont Cenisj.etsgglle du-versant
des Alpes', que M. Laurillard a prise à Ni épique $1. Ma ji$r
nous a envoyée du lac Majeur ej que M. Ganfeli,*>professeur
d’histoire naturelle à Perugianoirs, a ;envçryéë de Col-
fionto. Enfin, M. Duvaücel et M. Bibron ont aussi im porté
au Muséum des Truites à^ëte courte, qu’ils avaient
prises dans lês-Pyréhéesaib
La seconde raeëy'dont quelques naturalisées-^fra^nt
peut-être une espèce] si le hasard leur faisait rapprocher
dans une 4©dltectk)n deux individus pris parmi ces* deux
groupes, et dont l’un aurait
la tête très-courte, et l’autre allongée, se ^caractérise, en effet , par
la longueur* de sa tète. JPortéç spr l’étendue du corps, je trouve
certains exemplaires^qui-ont la têleiÇooeprisé quatre fois seulement
dans la dis]tancç entre le bout du museau et l’extrémité des rayons
mitoyens dé là queue fcest-a-dîreVqü’éllé êst, a très-peu de chose
près, égalé àiâ* quart de laTbnguèur tgtàTe. 'L’allongéüient dépend
de e eq u e , d’une part, le museau paraît un peu plus avancé,
.■ et de l-Vtre^iqiièjfl’opei’cple, un peu,plus elliptique, cpuvre un
peu plnsjîjépa^e^PEe^qu^to^i^e^jifl^ljividtts ont p e p ^ ta ç h e s sur
l’qpprpnlfi. Trois .nu ^ a t^ Æ r ^ ^pints UH seu^ ’
sé voient, s^urd’ouïe^hqs taches du plus |lj |Ë 2 plus grosses
^et'pîus u^olacees.. I^^u^ es,^)^"ès'>ocellpiS, sont’ tout^aussi abon-
, 'idâhîês.tîêW p ;% à h 'l^ ^ ^ l^ em p la ii1ês, un plü'#|ràtid nombre
H^di&rltfile?.'*Diéê^èsté'ptôus les' autrés caractères
d*éî làî4aëéMprè'8édëh-te fsê “retr'ouveilt^sur eelïeréh I
J’ai ob,s‘ëfvéi*d'esî 1 itldi vidus*i frais"" dût 'cëütë* race,1 rappoi-
riv&tèf* à&'Oimjteÿbie par un jeune naturaliste,
MrJ'è’fë^’Rémÿ"; qui ^ f 'b é j ^ f à i t cénràfaître p;ar‘ses tra-
Yà'tix1 ëri Rôtaniqu'ë.'1M. Rbhdéaux ft&êlRouen^rè eu' aussi
rôbli^èaricè ’de no'üs en • remettre de beaux exemplaires
pêêiéÿââOsJa Riile ^u^f ësïde la commune de Tibouville.
Nbù§rièa^^1)ns#ë'é^tdsÿi^des''exemplairés - pris* dans- le
Rhin,^pr^vbMsbourf|Nt qbû onïPëtë.ëhVoÿés^^M. Cu-
yiêfâ^eëte^sW^o'ttlë'aux debce(ûeuve^par Mi^ ^evrauit.
J’ai' -vu*j'c'étfè^ Yàfié të'^à Prcfn’cfttrt, a Heidelberg'; j en ai
ÿàpbb¥téWs'MMi#8us^fVi^ H i maiclîé^de^Bferlin. Je
rë trouvé’’aussi"cette 'variété 'parmi'les nombreux individus
envbyës du Yar par M y ^ v à lie f# ^
| $$â*fe'aùx doutés? d$$Frànçé* et: d’Italie nous- ont fourni
une-fautre v’a'fiêté^ttfe Truite, que* M.*’ Cuvier t a ï indiquée
dàn's le R, ë^neî ’à ni m a 1 soüs* le .nom' de Salmo marmorcitus.
Cèllé^cYa ' to'us les’^ckFâclèrës que fournit fétu de des
for&es^ extérieure^5dê la Triiifër IbrëSfë'Sur leur "Corps
péu'd’ë trâèës de J>oThts' rôèf|^s‘finais des marbrurès for-
melst!par *flës taches'^tbhguê§it‘eit‘i’^o4nfluehfes ' d’un gris
violaée'l'couvrent tout lè corps, aussi bien làbdoriien que
le'dos.JM. Savignymous-a rapporté les premiers exemplaires
de cette variété, qu’il a,prise, dans le Po et dans le lac
Majeur.