d après I un d’eux qu!e. j’aûdonné dans i’IcôâiogFaphie du
Régné animal une figure un peu petite, à 4arvorité,ï;?de la
Truite de mer, en adoptant"alors ^j^ur^sa dénomination
latinê eèlle que je trouvaisrdans l’ottyria^e dont no us* voulions
illustrer le texte. Cette truite de mèlkdsfë, .saris: auGUn
douté, de la même espèce1 que* Lacépède :a établie'soaas
le nom de Salmone Cumberland. Il serait difficile de aîéii
terminer,. dans^ l’ouvrafge^qûe mousScitons^e^oisSon que
son illustre auteurs inscrit dans^éè^upplément.. Mais j’ai*
euftle bonheur de retrouver dans S S papiers ,qefe Mvd«-'
Lacépède ma légués,.les notéà manuscrites; de Noël^et j’y
vois une rê'jjrésentation de la disposifcionldcslsdents du
palais; il ny enfta,.sans aucun-douté‘ qu’uii*sénl.rang/spr'
le vomer. Noël avait pris ses notes sunun individnapporté?
Riivington en Westmtsi’eland., et qui avnit^éte^pfecbé-
dans un lanvoisin du Penryth. Cet ichthyologisterla dé-*
signait sous le nom de Truite blanche et présumait quelle
était dé la même espèce que celle, des Taes^dT^éossé: Or,
comme je trouve dans l’ouvrage de Yafrell qne sonSalmEpf
ti’ou't, qu’ii consid ère aussil comme la Traitq/de mer,-esf
la Truiteblanche du Deyonshire,du pays de Galles .et-
de l’Irlande, et qu’il rapporte une observation de M.-Mac-r
cullock, constatant, que la truite de mer dgÉcoss^vit dans
un 'lac d’eau douce de Lismore, l ’une des Hébrides ; que-
ces truites ne peuvent sortir de ee *4ac*p0ur se-retidre“ à-
la mer; je profite de céS^obselvaWOns pour adhléttre également
que notre, espèce peut se trouver Hans le lac de
Constance, passer de;ce lac^ansj les nombreux ruisseaux
qui y affluent, soit directement, Soii^par le vieux Rhin,
vivre dans les profondeurs du lac,-, et en^sortir pour ^remonter
dans les rivières âùr,temps? du .frai, d ’où l’on condurait,
avééM-de Lacé^èd6»!queles grands lacs seraient,
pourlejpdndividus qui*me.peuvent se, rendre à |la in e r,c ë ‘
quéPOefean esteaux ësp^èWquifjemontent dans les petites?"
rivières qui'viéénént^vërll^lëÙrs eaux. C’est ce que M. d,e
Lacepédié* a dit, aye&.aritânt dél|^|ih.c^que de justesse
dansl’article qu’il,à^crltî^d’ani-es»Blo^|§, et pa^ég^séquënt
d!anr,è|à le. dô^t'énr. • Warimann ^ j i r le, fialmjo illanken. , Si
l’on vignhà lever ces in0ejr|iitude^dl1 en résulterait que notre
Fo>|o]^aÿg.ente^>&§Faié,|Comme j^ ^ e ÿtqsut liquide le croire^
d’après l ’examen des^gufés',|ktr^s-b'ieh^repj^sentée dans
,Agassiz;i^sur leKplanchês i4 et i o u v r a g e , et que ce-
serait aussi * l’Illankenl(^S’.. l a c u s t n *,de Bloch. mljLustre
(%ntinu4tl;UjK . de, BuflMn ,1’aurai^eprodûite, une .àepopde,
fpky tomme je, viens^de^teiidbe,,, sous le nom dte Salmone
Cumberland. Le Salnïo tru tia ide Bloch-peut e ^ c ç ^ la
mprésenÿén^mais'la figure .et la ^synonymie d e ^ ë t auteur
laÉsseht de grandeâ^&rt^ln'de^qïcpç^ette détermination.
Gf^eidt..plus,probabièinén,tlë'd«//7zo lacustris de Gesner.
En-remontant à-la discussion générale que j’ai .faite de
toute^oette^synonyiifie on voit la {^jîgssijé de donner ù.èe
Isalmonoïde un ;aom.nouyeau^car presque toug ceux que
je^-ens dev rapporter ont ;été_ applique^ par d’autres auteurs
à de&éesfjjcegj di fférenteS^|N|publi ons pas que les
dénominations a'âfitpai ou dé.Linhéièmbrassent/parleur
synonymie ,* des poissons différents les uns Mf$$aùtres.‘
,S \ le Salmon^trout yârrell est un! „depnoms dej
lë§pg^ „actuelle, nouSÆ^rrons^cj^tte^espèeë abonder s.ur
les marchés de Lo fiches comme^sur ,ç,eux de -Paris. Je
n’âurais aucun douters’ùr cette détermination, si leldocteur
Richar^sq)i^»s^était exprimé d’une -manière plus,nette sur
1. faim. b o r .~ a n ie r . f '14^