quelque surprise., qUaiid^oiï ne;connaît pas. la coloration
des! deux faces deüeette séreuse^à-trouver-tout l'intérieur
de l’abd omeu;siiajembruni lorsqu’on;fénd ©es ^parois,. qui
paraissaient à;féxtérieirr brillantes de l’egà-aet çle l’argent. :
; Tels sont les caractères*( d’un genre,,» dont nous?pOss&
dons; dans le Cabinet du Roi,-quatre éspèces :» deux, nous
viennent de la Méditerranée ou des •'©ôtesn méridionales
de; l’Europe baignéesfpar bQqéan ; deux,autres-.ntbus onir
été Envoyées dés rriers de Norwégé. Lune d’ell^ÿ'ren^aî-
quable par sa 'tailléaet par laLgrandeur déj.les^yeux , ,§sî
un poisson qfort rare $éiré des^ grand.ésT>profonden4S;tde
é lt OnéânfseptentrionaLT .
Il esKassë&^cuHeüx, qu’un poisgÉn-si eonndlen Italie,
puisqu’ilcsert àtiunliicloinmercé'qui ^ .tant de célébrité, nait
pas- été indiqué part;Salviani m par Relonnpu, p a n Raul
lôvfe Rondelet^héîpaFârtf^aS: avoir o u blïpé^ fiïé^ esp^.
On’ doit a d m e t t r e M i : Cuvier, que é§-e$t ;la petite
sphyrèiie» de éét „auteur;' cependanfagh a oublié >dbe!faire
représenter i’adipeüsé. Gesner et i^Hro^and,e ^ selo n la
méthode Suivie dans leurs traités, se b o jn lfé n t^ c o p ie r
Rondelet. Gess auteurs nélparlent pgsvejicqîe de} l’emploi
de la vessie dans la fabripation des <f^ussqs p e r l^ ; mais
du temps de Willughby:iet de*Raÿ resàgjeten était .
lemenùëonnu à »Rome, o ù ' cesf naturalistes ^revirentî5^
poisson. Willugh%5t ajouté; «quelques/;détails. à^leeux -que
Rondelet avait déjà/dbnnés sur ce poisson, qui ptèuyent
que,ce naturaliste, avait-"sous.le s jf e t o l'Argentine; mais
comme.;il s’en .ësj « rapportée à Rondelet pour la figure
a oublié la nageoire .adipeuse, d o n tij ,u© fait egalement au-
4 . "'Kofidï | iS të lJ
cunen mendômidans isoklstëxté^ q u i, :cependaht n est< pas
copié Stic ëelubdë l’Ichthyologie de Montpellier.
L ’A rgentine de Cuvier.
!îi ‘i^jdŸgeSîitinW Gùriéri; nob; )
J e .^m m e n p e j jparlsdécrire dan^rce,,genre d o n t. M. Cuvier^
cqm me n o u s ^©nons^dé l’é tab lir , n en p n n a is sa it q u u n e
espleey ce lle , q u e ce célèbre* savant, au‘fig u r é e .d a n sd e s Mém
o ires edii M u s é u m p i - I , î.’''Comme je Fais '
mâ'désbFî|)tïbtfJd’a^rè's l-4xë1ni^làire q u i a servi au m ém o ir e
d e m oni* fëspllu stre m a îtr e , o n fie pourra d ou te r d e 1 id e n tité
sp é c ifiq u e . D ’aiJ)eurs j’én ai plu sieu rs autres ex emplaires
q u i p r é s e û ^ h t.jp s tmêi^ps ©araqtères^
■ Ce î.poisiont-aulek^orps-ariondi,-\un peu méplat;sur les flancs,
.k-alloHgéyieafila hauteur* n’est-»que Je huitième, de .la longueur.totale.
-Làstète esitlongue; portée»sur,le corps, elle y est contenue quatre
-«ièfois/et un tiers. Le, museau .est’étroit-et déprimé ; la bouche est petite
jetpeu fenduéÆoeii|ltt grand; »son»diamètre mesure à peu près le
-,■ ttiers.dfe'la Jongueubtleda; tête. L’intervalle qui. sépare les deux yeux,
/.rieiïfait; guère que la moitié'de*:$diamètre jtmçsuf é»entre.les'mas-
toïdiens. ^bcciputla-la même largeur, que l’oeiL On-ne trouve aqssi
g équipé .longueur îd®, diamètre de- l’oeil; entre le bord antérieur de
-cet-îOTgaèie eql’extrémité duMnùéeau. Il y :a ;üne paupière adipeuse
.vtrèsamarquée, qui »recouvre «presque .entièrement le cercle de la pu-
pille. Laa-pàu^ièreüpostérieûre .eStubeàucoup moins ».large; Le sous-
;;>:Opbitahe/est une pièce: triangulaire; assez».»large* cpuchée derrière
lel maxillaire sans le recouvrir, et il, est .placé tellement au. devant
»dé-iloeil, qu’on »ne peut, véritablement ;dire qu’il contribue à
forrrier, pan en, bas la portion; antérieure- du cercle, de l’orbite; il en
est éloigné, pat» une très-large adipeuse. Le second sous-.orbitaire
estLétroit -etallongé; il commence tout près de la terminaison du
.. L maxillaire, par- conséquent bien au devant : de l’oeil ; ii< n’atteint