LIVRE $ÊmÉt S4L|M0^gJ|)m;
d#ux espèces d’Artodi? y a jo u ta n t trois au tre s sau ras
qu’il trouvait dans Idnné» dans Rloch OU dans 1§§ peintures
de PJuçaiçr, et §p y ftusgi i e *£®/iw<t fak&tM' 4®
Riach i qu[ e§£ un Jlydrocyon., Lp genre primitif d’A?r
tedi,^d.p|à mal compdf^, Rit donc gâté plutôt qjie pQrrjgé,
jpsquàfce que îd. Cuvier l’ait réduit dès la première
édition du Règne animai à la spulç^nspèce qui pouvait
alcus former up geure naturel} eu qui n’a pas empêché
MM- .KikfQu et Faber. dé associer dans, un mémo genre
l’Épedan et le Saltfta e^rcticus ou Ie. Capelfin., JDepuis la
publication du. Règne animal» ica naturalistes put découvert
d’autres espè^||s que nous allons successivement décrire.
. X'JÉPK.aLAW np LA SuiNjg. ,
^ ,(Osmerus epefluiyiis ', Cuv. / 1 P
Cptte e^ppç^j, qqî ahoh^l sur les de Faris et
de Rouen ^.et qui est surtout céïêBre ‘dans, qet^è.dgmierc
yille, ept un poisson, qui remonte de j,a pier dans Je^ ri-
yièrea. Qp la trouve, a^elî^lbondapiment daps toute la
mer du Nord’ ôu à l’eiuboûchûre’de^ deuvps api viennent
y verger lçuf§ eaus. Je-crpis déyçpy ^a distinguer “d u ^ ç tit
Êperlan que yai observe dans lus 'grands lacs 4 e. la Prusse
^ ’éperiau
d te ^ps er lp vpfttra arrondis fifres flancs un pçq fjQïïtPtjU1^- tfl
J^qtqqr me^yrç UP ppu mojqs que Je s^ iè ç^ d^Sip n g q ep r totale.
La lpngueur. de la tête est çqlâprise quatre fôis( et'pjois qpârts j&US
la Jpnsueur- tôiale> JÉîè dessu§Pde la têtefé|t ferge et aréphdji. La
mâchoiiê .inférieure d4pâssefli supérieure jisës branches spgt forges
et arquées, et elles contribuerit àj rendre l'extrémité du museau
grosse et obtuse. L’oeil est de grançfouj, jpioyeppe} s.Ç% d iaprée fst
un peu plus court que le sixième de la longueur dq la tète j il