sur les .mâchoires; deux rangs smv.les. o$ p a la tin se t six o.u sept
à l'extrémité, antérieure, du vomer. La langue est disse. Xes épaules
sont au nombre de quatre-vingt-sept, entre l’ouïe.çt.la,caudale. Le
dos est fcrn^éj pnt une teintq d? Iavan^&|j>urpLkririe, m|léè
de gris-bleuâtre. Le ventre est grisâtre ; il\y~a des points blancs
parsemés sur lés flancs' et de grosses lâches blanches’le- l'hng*çlù'
ventre.' liai dôréale'ïrecié a de ’hombréülèr tâéheS* hlèüî des !Pmâèë‘
plus' foÉèééàlet ‘uiië bbrdüre¥oséë.! Oh-fetrbiive -éé^tlë tÿtetêfëljraPfès»
autres» n a geoires. p | 1
J‘ 8,' D.' 23; A. 13;'Ci -2T; ft M f c 9i
M. Richarjdston a donrçé .des détails.sur l’anatomie de ce
poisson, e t i|/a:cbmpare lès dîpensions de^s^individus-
à celles des mêmes-* parties mVsüréë&sur le 'Graying d’An-
glelerye.Le poisson avait- di,x-sep& pouces^ai^&isjdg lpn-
gpepr : p y f t le H ew lo o k -p o v ya k , des.4Ésqui^iaux,, qu le
poisson bleu des yqya.gepx§, ppn^dign^^j
Ce Thymale arqtq inséfé, dansée^ym3ÿ3JW de M. Siorer,
d’après Richardson.
On trouve dans, le même graiid ouyrageLdmc^ponrageux
explorateur des, contrées,septentrionales l’indication îd’pr^e.
secqnd'éjespèQç d’Ombre sops le nom de Thymplus tliy-
maloicltyj,,'
Il y a quelque. diÛjeremçe^dans les, nombresides pyqns
de l’anale et dans le.s.^pquleurs ; niais^ppmme les^indiyi-
dus étaient petits, M. Richardspn. pense qu’il n’a çtyTpro-
bablement à, sa,f disposition que des jeunes .doepjpspèçe
précédente/
■ 8; p.yS^A. lO^Ç.JJpP. Y.
Ce petit Grayliiagp léMg ; squleîïtent; de^bibt !{lè®eéB f a
été“pns"dans' la ^ rm p è ,,W in te r, par conséquent*dans la
même contrée que le précédent.* f
Z /O mbrè ’d’O ntario.
.(.Thymalus ontariensis, nob.)
No u s avons re çu , d u lac O n ta rio u n T h ym a le tres-voi-
sin de' celui* d u lac d e Genève#*’ ;
Il a cependant plus dif nu^oys* la gcjrgé’, quoiqu’il n’en ait pas
autant que’notre Thymâlè de Beltin ou Thymalus gymnothorax.
La ,iêt4*l%s#iévidefflmèht''pius'pointhé; l^Vcorps plus allo n g e ra
' dorsale *un peu plus longue; Aes dentelures <3|s’ écailles sont assez
‘ prononcées." Les' couleurs doivent à peine'.'différer de celles de
notre Thymale,,l^car nos exemplaifes!'"sont verdâtres, avec une
douzaine de lignes grisés Je lôpg'des flancs. La dorsale a quatre ou
cinq rayures longitudinales rouges., -
-N b s .e x em p la ire s o n t u n p ie d de lo n g : ils o n t.é té envoyés
pa r, Mï-Milb ert.
. Jétfeïe tr o u v e r a s " c e tte espèce d ans le Synopsis d e M.
S to re r, n i dan s les au tre s I c h th y ^ o g ié s am é ric a in e s, e t
c e p e n d a n t l’e x am en ^pfô’^ n d i v i d u ^ q u m j a i d é c rits e t la
c e rtitu d e d e le u r o rig in e , 'në me laissent a u cu n d o u te
su r ré ta b lis sem e n t d e c e tte é sp ëo p flp
Z / 0 mbre chartus.
- ( Thymalus Merlensii, "nob. ),
J e tro u v e p a rm i lès d e ssin é faits " a u R am tsc h a tk a p a r
M. M e rten s , u n e figure d ’O m b re q u i d o it avoir b e a u c o u p
d ’affinités avec n o sjè sp è c e s ^européennes^- mais q u i me
semble d ev o ir en ê tre d istin g u é e -à cause
td ë la petitesse^de'sà^tête, et de la brièvetésdë l’anale ht de la pectorale.
Le corps est;gris avec des lignesdongitudinalés cendrées et
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