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 au motif qui  lui avoit fait  entreprendreie  voyàge de  Paris.,  prit' la route  
 d'Sfpàgne &  revint  à  Madrid. pour .communiquer  au. Miniftere  le  fuccès  
 âe -fi  r. •&3efeftfe parveidff^'jaaéoaa^iBiacesàt^ig-':.. 
 C  H  A   P  I  T   R  E  V I I . 
 Tte  la  Carte Marine quicbffîp\enddes  CêfesiduPéxQSû\  £?'partie de celles de la  
 s •. Nouvelle. Efpagne,  - &üfttr?qMs<fbriâemens elle a  èti'dùjpie. I  ! 
 LE jiazard/a^an^voulu que nous fiffions-tartt  de voyages  dans la Mer  
 d u ïS u ^ ïÿ itn ’y  a,|as-#^ajet-dansjtoule  l’étendue  ;de  ces  côtes,  
 depuis le'Golfe de PaKÆffi^'jufqu’à  î^ald^sna-,  que  nous,n’ayons  fait,  nous  
 ffonSe^îâ^commodité dobferver WmMm d’endroits de  la‘  côte,  &   de  
 cqnférerlÿvecjes.q)lusiiabiles'^®àe® ,& «Routiers, de  cette Mer,  qui naviguant  
 da^Lde" moindres Bâtjmens, pénétrent dans  tous lès  Golfes, Bayes,  
 Anfes,  c o m ÿ e n t 'w ^ s   Cfps  &   tousses *Récifs.r< ^eurs.avis,  &les 
 d a t i o n s , -Navigateurs, .qui^fja&e^e pratiquer  cette Mer,  en  
 GpnnoîflToient  tops des. ƒ  qins  &Jes,irecmn&,&   prefens a 
 Pefprlt que  s’ils les ^voient  vu.3 a^ueUement^deyant  leurs  yeux,  nous  -  
 rentiügfr nueiqsi C^tesiÆ/pqg^aks pomme  l^ ;J2trangeres?  qui reprefen-  
 tJntCe'SjAIér^font pleines-d’erreurs,•qÿfaüfôMaux -yeux.  Pour reformer  
 Lçes -Caries®?^fes proprjs?obfer,y^tjqçj j  il,,faudrpit,tbeafflcpup jjfe)tems » “ ne  
 Lé&udV&  um^^Tijnmepfe ;  mais*3@%yÿpeut réaffir  également  en  fefer-  
 vantde^obfegvatic^^es  autres,  bieri,bntçndu  Auteur» 
 kMuffi-se^ideur.elji^^^^^arquantïq?!  gÿiexhacün a  contribue-a la  
 p è t f e ^ d e  l’puvrage,tant pour|fei^f#e,hpnneuf  que  pour  xnenter Ja  
 confianqe du  Public. {Dégorge Juan  perfua%d|Ja-juMe-de ce rayonnement  
 , réfolut de cbefier-une Carteid&ye&Çêtes &  Mers,& R e p r i t  cefi.  
 ouvrage  après,-avon-,ïafeInblé^y9Us^^kmatérlaux nectaires a | n  plan.  
 Il comm‘e^^1àJyiifavailler après  fon départ de lafoweptïoÿ pour 1 EJpagne, 
 &  facheva pendant  le voyage.g  \  ■' 
 Il Mt-lèppoffri-qae quand  ont veut  apporter  la  plus  grande  exactitude,  
 dans les obfervâtkns.dp  -Latitude  &   de  Longitude fu r le te fe -ô n  com-..  
 mence à drefler uhe-Carte', ilnlefl pas?néjeflàirefde les multiplier au point  
 qu’on  puifle YitUèr  par-là  tous  les  Caps,  Peintes,  Golfes s,  Bayes,  Iles,  
 Récifst, & en général toute la côte &  jufqu’aux lieux-mêmes.les mo^s  com  
 fidérablesi, furtout quand; les terres s’étendent dans  une même direction, «   
 .Tome  IL   Partie  I.  &  ^uon