qui équivalent à de Longitudes
’ Le «ülietf erifeèi!i$S dqnaeat la- différence-.de -
l^ridjj^ns'^atre detèe <je S** 17' ad*
qui? équivalent; à 79° Æ4' de Longitude.
, Le milieueiitréles troià'dela Baye St. Louis donnent 'ja
différence de Méridiens entre ce lieu & Paris de . 5 ' pa ’! 40,..
qui équivalent à 75* 40' de Longitude.
Enforile milieu entreles trois du Petit-Gomx donnent la
différence de Méridiens: entre ce lien & Farte de * : 4 sd ’gÿ*1
qui équivalait à 740 53* 45' de Longitude. ;
' N’ayant pas à-préfent dpobfemÉit»^fi^te•àP^r•^^^ approdfimte de
ceBeque je fis de Fémerfion du r. Satellite de Jupiter M Cmriéou, Çaji
Franpoirlc 29 de Juillet 1745, nous pourrons nous fèivh-; pour dètâminéif
la différence de Méridiens entre ce lieu & Paris, de Ffieiffé i feqheîfe^fes
Tables donnait cette émerfion dans cette Ville, qui eft 14*1 48* co*
L’ôbfervation air Guaric fè fit à 9 T T %T~
ifchc la différence des Méridiens aatfe guaric 4k Paris eft 4 ■5ÊC
C H A P I T R E IV.
■ Èm la Correction quon doitjaîre au Midi trouvé par des- hafeprs, ç^èfyondan*
tes, occajùmnèe par la variation du SolHLen DécSpaijm^i
N Ods avons employé dans le premier Chapitre .la •CorreGioiv qu’ont;
doit -fane auMidi trouvé par les hauteurs cerreipQmdantea, & q a i
eft produite par k changement; du Soleil en '
valle entre les obfervations du matin & du loir; & nods' avons différé
jufqu’ici d’expliquer en quoi elle confifte^ afin de le faire avec plus d’étendue.
Pour y procéder nous nous dervixons d’une figure; c~e qui’ eft Tou-
P l , 1 jours Iq ffteileure méthode. Soient dans la projection Orthographique
XL. dja la Sphere fur le plan du Méridien ,
AQXE le Méridien -
110 l’Horizon
■ , EQ l’Equinoxial
ÂX l’Asce
.. Çbmme- l’^ftre dans, l’intervalle des obfervations faites le matin & far-
piès midi change de déchnaifont nous devons fupgQfer. FMG le parai-
L . ‘ . à SI , 1 ;,L l' lé-
Télé ©à il £è trouvoit pendant les premiers oblèrvatioiis, & LP K le pa-
iralléleoù il étoit au tem» quéiîôniai&it les autres^ R M P S étant le cer-
de hauteur j- ou l’almicantarah où étoit f 4 ftre m tejns que fe fàilpmt
les deuxTq^rvations, A M X fera l’Horàire ou il le trouvoit au tems de
|a préqiCTq., % ^P\Cfterâ^feiüièak M; étoit durant la .fécondé. Or le tems
qu’il .met^a qU§r td’un Hçrairç gu Méridien n’étant pas,,égal à cplui qu’il
employé pouraller du Méridien â f aütie Horairecelui qu’il met à aller de la
hauteur M auMéïMknfera ®uiftpeuégétàeeluiquTlenipJoyeLppurpa0èr du
Méri^jenajapiêmé haùt£$cj??k djff^repçeeft la vfüçur de'Fhngie MAP &fn
^KPoyr îeTrêqved, houspeurrops jtous Ibrvirde
là Êéâibde.qr|iap:é de idftfWÎïSlééMângies^îîéripes AZM, AZP ; mais
•outre que cèttgjqéjbp^poftiongpe & enmiyeulp, fejîe npparoît guère propre
à cetfe cerfemon^ qpe la " Géométrie fait àvfec faciKté : Thient donc .
r ’.= |.ÇA ', rayon de ja Sphère
jy « finqs.de là-hauteur do Pôle
£ c? CD Gofinos d® la même
-m«* CR fiuw de la'hau^ar de l’AfNu fur l’Uerigpp
n ^ Jüf = .-B§,Co-fîinrs] de la ®eme
I f e r *
ty 'sût MP Gorfint^ de la même
m iy:'C3^: G^finns de l’angfe hor aire
s? s jon Gp^ficus ,
q ^ . a la tangeaÉiedela hauteuf dniKofe.
-X-.sç . Déclinîifen. ■ . v
ale l’ange.toalre#
Lg s Triangles f a i b l e s A^DC, QN1 donnerorit; C T ~ ~ & NS s i - f i
parce que 3 S^ B C(m) ^ C I (Tp- a ' ” ?
Les Triangles fetpblabl^^P GMAAdonnefpnt aufli ôi r : IM
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= ci) u.
I Süppo-lbrië donc maintenant fa dldhiàTon & Tangle horahe -variables,
S les autres quantités confiantes, .eh.prenant de l’éguatiop
■ préeédenteinous ..aurons sdx-ssoe y dur*mdy'à pu r f y x f d«*
Soit outre cela l’grc de la déclinaifbn j & /are dont le finus
L 2 ' ’ ; ' ^ ' eft