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 LOUIS  PREMIER  ROI D’ESPAGNE  
 DU NOM, 
 XXI.  Empereur </RPerotL  -• 
 L Ouïs de Bourbon,  Premier Roî. ddE/pogne de ee .nom* ,etoit  FiTs  a&a  dè  
 Philippe V.  &   de  Marie Louife Gabriéle de Savoye*  S nâqpit à- Madrid  
 te  25  d’Août  1707;  Cette  Reine' fat  fî  longQems à donner.  des marqu«^;  
 de fécondité y  que la naîlfoneë de  eePrince combla de joye toute ’jfc Nation;  
 Efpàgt^e,:  célébra par de  grandes  fojouifoiees,  tanron'étdo-ailp de; 
 t^ir ün?I¥inêë béfécËcaÎEe j.  qui afforok  le  bonheur d’âne Monarchie  çü. te  
 manque de* poftérké avoit  attiré  tant  de  maux.  Le  i4 r de Janiuier  17*24,».  
 ee jeune Prkïee monta fîirie Trône ,dont fà  naiflànce &  fes grandes  qualités,  
 te rendaient digne , &  qüe fo» a%ufte Rere lui cédoit pa£ un effet de fà teni  
 dreffè  &   de  l’ef&oe  %0ÏÏ feS5)it £leïes talens &  de  fes vertus^  Qm établit:  
 cependant un; Gonfèil d’Etat cornpofé des -meiMâires têter du- Royaume pour  
 ÿidèi te jeunîilM éfohs les fdn&fens ^^bles &Goovep£oemenj: ;8£.FMippg<Fi.  
 Ion Fere,  dâ fond de  & retraite,ne dedaighoit-pas de le diriger parlèsaom  
 foife*  De cette maniéré S. commençaà régneçavée un  appkudktement. uni*-  
 verfèli  fâ prudence,  fà bonté ,   fa douceur  Itu: -acquirent bient^faifedtiom  
 dëfës ‘Sujets^  &  eé qui necentribuoit pas peu à  te faire aimer des Peuples,,  
 ctell qja’k:etoit né  Espagnol,  Si  qu’il  témoignek  beaucoupd’affabilitéiâ  1k  
 Natkar  Mais  Dieu hé fi t que montrer cette'Jeune ptenteqûipromeCtoitde:  
 fî beaux fruits;  te mort l’enleva  le 30 dlAoûtide la. même année ,, après  uni  
 regpe (te 7 mois &   17 jours*. 
 m  ONT 
 Y   N   €   À   fc  D U   P E R O U . 
 DON  JOSEPH  DE  ARMENDARIZ, 
 MARQUIS  d e   CASTEL  FUERTE, 
 XXXIII.  Gômerneür  &P" Cuptiaïne-Gênhàt\  XXIX.  Fkeçtây  
 £«? XXXI. • Eréfideitf de.  r^udience* 
 CR  $feigneur  çtoit  Capitaine-Généraf des  Armées  çfot  Koï  forfqu'îï lit  
 nompié  à  la Vicqroyaute dû  Pérou.  Il outra dans JJima  le i^âê  Mai^  
 17 24,&■  y  
 rétablie diRs- te 
 le meiH§ur parti pour  çu?t étoy; detvivrq en  Donne  iptelligêncë  avec les Efi  
 pgt%)l$.  Les  conditions  cte  k   Paix*furentJmte  k   ïtevlere à z’Èobio-Pçx^ 
 notent leÿ Capitaines. Am^m.y  ælà kperre; 
 x  La;mêinc  teP§§  ^ 
 »ne vapeur 1e régne d’un clés plus beaux Lys  défia.!. Maîfon, de  Bourbon,  dq  
 Lmk L donf on çé^bjoit; l’exaltatWau Éprau,  par des  réjpuifpncjs,, *dan£  
 te tems que toute YEfpagne  étQijt plongée dans  un1 deuilprofond  Par cettp" 
 moct-giEématqîtee-'P^^^v^  .Jjjj 
 gnojei  &  qe Monarque 'informé'du^jè du.Ticéroik 'e fô in^ te  Commerce  
 illiekft; ’&ste  fon iqtégcité daps l’^ ç i c e  ' àè k  Juffiee,, ne balança pas  à le-  
 confirmer  danx k  dignité.-  Ce V^èroi. s’éfb  di^ngué. particulièrement dans,  
 ïençojura'gçmem des^ Mipes-  'Ce fut lui.qiu èngagça'^elÿies perfoîlnes püif--  
 fgmoewtl  1  S f t t n e p p 4 é 
 avons p^rlé' ailleurs.  ' On eopiptoit parmi  les intéfefles danslcèt- ouWagë lï..  
 M'gaeïdes.SgntiJleyfiV',  d o ^ Ç ^ é g id Q t .d H t e - ^ J f .^ f^ & 'd e   Cânh  
 obes,& D. Raphaël 4e Eslqb^k qptte même  ^cerc^ avoir içonferë l’emploi  
 dé Jug§ Mayeur de ces Mines.  ÇeaMeffieurs, apres ayoir ërqp}qyé de groR  
 fes  femmes à faire  faire qn- Soeabon  pour vuider 1a Minev  eurent te  dépkifip"  
 de voiriqu’il no pouvoir faire  l’effet qu’ils  ep.  atténdoient,  foute  d’avoif été-  
 bienjdjrigé,' &  parce  qqe ce  Spçtôon portent  un  peu1 trop  aq-deffus  dé Pen-  
 drmt' ;dte .il. folok-: ;Ç’§fo'.Uî1'  ;^ans “Gë^^aÿ^, 
 manque  de.- pepfonnes  intel’ligentçs,   c^pabî^,  cte  cohceydiï  &   fde  eoh-  
 .dujre ces. fortes d’ouvrages  avec  faeces^' Ceüx  qui  s’ëri  mêlent  ffontr- eoit-  
 Pp  j   mêmes»