Navigation, fa it fe n& s & f MmÊtel'Ëclîpti^e; & fans cela * »
Sciences feraient IL ? f « s des Banetes, je u r.^ e n ^ ,
Ues lièlKdanste’tià ffieû fs &Iip&s & le® afpefts dépendent
> en ! de ce pfiMpe;
L j ^ S g f e ü ê è au Sêîëiî, pouf âëtermiher le* latitudes dès Liâtt, Enfin
e’ëft fur la eonnoifranfco W ïm q& tè de l’Echptlque M l r é # les
Hérfogês dont ôilelktJnSSt-déterminer les Lpn|ïtûdês!,& c^e 1DB C&*-
v FAifuiftè fur N W w M B P 1 »
ebûféqaentde la Oét%ra;v
phie & de la Navigation, de-même que de^plufieurs .autres &iemmsde- -
pppS>ntls>€e eèfte-là.j E ■-.>■■ K . ■ jO v • 11 I» , r
C£s moüfs ont engagé'de tout tems des Mronomes a examiner J o|>li--
quité derEdiptiquetmaia.ee,qui naus iefte f“jet>Ce;* Tnt l2 o b à rvU o i* -è e ïp â f c le Prf"
mier 224 ans avant N.S. & le fé c o n d ^ - Celui-là donnoit la plus grande--
obUquitl de l’Ecliptique de ,3° 3 t g M P f K | | 51 g | D^
«etemsfd# d y aeujbeaucoup d’AfoonÔmesqui 1 j f i j f f lB f t g f i l M l
fouiours jâiminuée JfenvïUes'uns dé. autre0*equi
cfue^^te obliquité diminuât tous.les ans, & les a engages à Tÿplijquer
entierdm9ïtrà l’éxafiïne£ les Ms £oà* s’aÉiM Se li-préMerb quantité etanofoient^
atmbuant à Eerrêur des obfervations des
ouantités èS ig d& 'ï la |À s g t e n & o i q p k é g ^ e M Æ « M B *
S S f f i t nous ne devons pasjütendre d £ Mtrufeens
a n c ie n s re x a a ie n d ^ ioe e t niais *n | P
d’obfervaüons e x a d e s ,& en desüeux
tre laquelle de ces opiùibns étoit fau'ffe, ou fi toutes 1 etoient egalemen
Parmi les diveifes maniérés dont on obferÿe la. plus .grande obliquité:
de l’Ecliptique, la meilleure eft d’obferver dans les deux Solftices la.dis-
tance Méridienne du'centre 'âü SôîeSï au Z'énidiy puisqu e fa1-moitié- de
la différence des deux diftances'péur Tes lieux qui né font pas entre les-
Tropiques, & la fomme^e.ces m to e s ,p a%ees_ pour -les . lieux :qui-fyt
entre-les Tropiques;,:doit'êtrelapte.glande.,obliquité. ' . * |
- Dans ces deux ofifeiVations 'en.doit .fere.rattentiqn a la refraftipn JL-
ouelle eft fort -eonfidérable dans, le Solffiçe dJI-Iiver ;;Ç ; e?pofe? A #
ïatiemcoipmomaie âans le Pays
E T P H Y S I Q .U E S. L ï v .J . C h. II. i f
cet- avantagé"1 & àyanti^iIhfifomê‘hi‘'fiecelïa&ës pour en profiter, nous
iua-eâmes à,propos de faire de nouvelles obfervations fur la,plus grande o-
bliquitëide ^^^ptiq®el,doiit on verra lltdétail dans les Chapitres fulyans.
C H A P I T R E II.
Wfervdûott du 'Soljlicefi Hiver en 1736.
ON monta fur un carreau de pierre dâns la Ville de Quito & dans
dffafî?^u ^éridient'Vet Iriflinrfiënt%l ^ oit dbiwê.pieq^uerayonjCit
rèpfêfeiité dans la 'figure
métré & Le^tlimbe ÇBdiyife, en degrés", irimutes‘‘&flqconp;s^ par le moyen,
dés tranfyâfales. Ce Limbe comprenoit un ^e§ \P
pJendbit'l£ fil prefque tout de mjtef charge ;d’un plombfE : jê dis prefque
tout-de pite, parce que lapaftie de ce fil q bM to it le s divers en Joits du.
Iùmbe etdit d^àfgent foft ælié, aîin qu’il cdupât diflindiement la trartsver-.
m m qtfon put plus faCileiiieht juger de 1 hauteûr. H Ififtmfoenr
é S fëu të n u par îm'gpîiou fuf'im pied c o n f i e s quarts dé cerejé blrch-
naïres, ddnt on t ro u v é la DefcripljofodànhèLivré füivaïh, & a parler
en général'iT n’en différoit qu’eiréeJfuvil né cqffièloitquu^ afc de|bd^.-1
du-lieû que les quarts d'e cêrclè’ éncoiit « 5 , davaritkgè, d dü 1 on
peut condhre^qu’il n’y a pais de: difFéfohcê:efitre des deux InArumenapar^
rapport à Tufage qu’on en fait. ~ ,.. ,
Leffëü càfaut qu’on remarqua dans la fuitq'én èélüi-ci, efôit que la
Barré dp fer KD étant trop longue &peu ferme, n’ayànt d!autr|j.appui
quedi Lunette^ trembloit au Joindre foouvem^i^v& s’^ i t o i t# rna-
nière qqe communiquant fon agitation au fil à plomb D jS&'étojt 1 1 c e
d’efHmàa l’endroit de la tranfverfale qûdl cpàport. _ -
L’Inflrumlnt "étant monté comme je viens4de d p i on fit au mois de
Décembre 1730, les obfervations fuivantes fur la diftance méridienne dü
Sol'êikau Zénith. . I . I '
» n .. Dé~
' * Plaaché XXXVIÎl.1’ ' ^ " ‘