moyennant quoi on réduira; l’équation 'à-, .** . . f*.xy&D M r' hx
jKi.D-.5t r} a c x dO zz a è ^ iP b dQ^ ^ a ^ S fdDi
d’où l’on déduit à D = 1 e ” - ^ c_ ^ ~ ^ c x ad Q : qui eft k
formule pour trouver le changement .en déclinaifon , qui doit procéder
de l’altération de l’obliquité de l'Ecliptique.
* Si l’on fuppofe maintenant que tefté aftératifflï a dté dàns Fititemllè
de 3 ans g mois , quLs’éeoulerefitentre les1 oblervations , de-8", les
changemens en déclinaifon de&Etoiles, procédant de cette caufe . feront
far la formule.
54wy p
de J 6 57 bpourJ 0
i-4 13 J L»
La première Etoile, dans la fuppoflcion que l'obliquité de l’Ecliptique
augmenta , diminua fa déclinaifon, & les autres i ’âugmenterentj,
c’eftpourquoi, .fi l’on.veut corriger l’amplitude de l’Are compris entre
les deux Qbfervatoîreîj on prendra la, prémiere quantité , & les deux
autres relieront : & fiuvant cela, le premier Arc trouvé , fans faire attention
à l'aberration-, fera
■ tôt eefléS^dè-lbcm
Par mes inefnre» tvnio dt Ullea
p 3-° z 6 ' 54y 26T , & :Z6f 53- $ 55î%
Suivante 1 ô 3 Z 6 54 3®t 3 2 6 $ 53 55 i
L« 3 26 4<î 43i ; a 2 6. 4 6 ©81
milieu entre les trois 3' . 2 6 51 53 3 26 51 :. 20
Et le même Arc comprenant la correélionffe f aberration, fera
i Par celtes de D . An‘ Par me» mefures -, tenio de -Ulka . -
f : 30 2<? 4Q" ■ «7r , 3° 26' , 39"
Suivante < ^ 3 2 6 40' 541 * 3 2 6 40 *
L* 3, . 2 6 . 32. 5h : '3 2 6 32 23 i
milieu entre les trois 3 2 6 3-8 100 - 2 6 ■ 37; » 37
. Nous avons maintenant quatre déterminations- de l’amplitude de*
X-Arc y dont il eft néceffaire dé choifir une.
Pour cet effet il faut confidérer que la prémiere & k troifiême s’accordent
à une fecondeprès, ce qui eft une. bagatelle. C’eft pourquoi la
troiüème reflétant du changement de l'obliquité de XEeh'ptiqne, nous.
poui*
-pourrons-nous affiner que npus aurons le même refultat, fâifant ou
ne faifant point .attention à ce. changement.; .fi.ne s'agit donc plus que
du calcul de l’abferraîion. -Sur-quoi fi ,faute avouer que, quoique-plu-
.fieqrç Aftronomes aient confirmé éetteJhéoiwLpar leurs obfSvatioiw
ilpe^paroit pas * -à parler en,-général de'toutes Je».Etoiles* que^ M.
Brqdley-mème l.â croye bien affinée ; & en eflet les:obfervations qu^
nous avons f^tes.à la fendeptfqrfc douteufe. •
. 'pol^yl’Arc j auquel nous devons nous tenir, c’eft celui delà première
réfolution, que nous trouvâmes^ fuivant mes mefures de 30 16'
53.," & félon- celles de Don Antonio de Ulloa de .3° 26' 52-1" & fi en.
tre ces deux, on prend un millieu il reliera 30. zô' 52-’.
C H A P I T R E V .
Détermination de là valeur du degré du Méridien près de l'Equateur.
La diftance du parallèle, de FObfervatoire de Cuenca à celpi de Puc-
llq Fiéja étant déterminée en toifes, ainfi que l’amplitude de l’Arc compris
entre les mêmes, fi ne s’agit plus que de diviferda prémiere quantité
par la fécondé, pour parvenir à Connoitré la valeur du degré du Méridien
près 'de l’Equateur : cette opération étant faite on trouvera ce degréfie
5*767' 788 fpifes pié de Roi du Châtelet de Paris.
. Si l’on veut comparer ce degré avec un autre, il faut faire attention
au degré de froid ou de chaud , fur lequel la-mefure eft fondée, & fe
fouvenir que celle-ci, comme nous l’avons dit au chapitre troifiême de
la prémiere feélion de ce livre , eft établie fur Je 23e. degré da Thermomètre
de M: de Reaumur.
On ne prétend pa? fans doute, malgré les précautions infinies qui
©nt été prifes, que la mefure de ce degré n’ait pas une toife d’erreur
comme quelques Auteurs le difentde celles qu’ils ont données. P01J
moi bien loin d’avoir une pareille imagination, je dis, qu’il eft aifé que
dans les obfervations Afkonomigues ilfegliffè une erreur de 6 ou de
8 fécondés., foit par l’opération - même de l’Qbfervateur „ & plus encore
par l’impoffibilicé de re&ifier l’inftrument à. un certain point; mais
en revanche je fuis perfuadé, vu la délicateflè de nos opérations*, que
l’erreur ne peut aller au de-là. J’ajoute que dans la mefure géométrique,
dés qu’on eft alluré de la bafe fondamentale, il ne peut fe eom-
E f 3 met