
 
        
         
		perfide unie ou  concave,  étoitleur  unique guide:  marquer Nombre  du  
 ftile  fur la  fuperficie,  &   la  comparer  avec  le  ftile ; même,  trouver  par  
 Cette  ombre  l’angle  de  la  hauteur  de TAftre, •  c’étbit  le dernier  effort  
 de  leurs  opérations  Aftronomiques. 
 Mais  à  combien'  d’errèurs  cetté  méthode  n’çxpofa-t-elle.pas?  Je  ne  
 dis rien de la  conftru&ion de l’Infiniment  fujette à  mille  difficultés^;fëu-  
 ïement pour diriger le  ftile à plomb ; mais on fait  que  l’ombre  du  ftiie ne  
 détermine ni  le  bord  fupérieur  du  Soleil}  fii  l’inférieur,  n f le  centre",  
 çqnune le prouve M.  Boüguer dans fôp Traité .de  la méthode d’obfejrver  
 essa&enient fur Mer  lÿ hauteur, des Affres pag.  sfc.  fur quoi, il^ fait^plu-  
 fieurs expériences.  Deforte que de quelque maniéré que les Anciens  s’y  
 priffent  avec leur ftile,  ils ne pouvoient éviter une  infinité TefrëUrs. 
 Ceftcequi  a fait  que. quelques-uns  ont  rejétté  la diminution’^  O b liquité  
 de l’Ecliptique, quoiqu’il femble qtfon  ait leplement fujet  d’én douter  
 ;,car  le peu  de concert  des obfervations  nç  prouve autr%qh.o£e  linon,  
 le  peu  de  fureté  qu’on y  trouve. 
 Ce doute naît même des  obfervations modernes ;  car  quoiqu’elles  s’ accordent  
 affez entre  elles pour qu’on puiffe garantir  l’exaftitude  des. Opérations  
 ,  la diminution  qu’elles  nous donnent^éTpbli^ûftë'dlTEclipti-  
 que u efb pas  telle  qu on la puifle  affirmer.1  Si^Pcin  trouve dé  la’ dimihu-  
 jûon entre les  obfer^ions  de MM.  Richer  &  de  JÛutàiki'/ de^fe&en  
 43 ans,  il n’en eft pas dé-même  entre  celles  de  Mr.  dê  Lmiille  &'"ks  
 nôtres qui ne donnent que 4/ dé plus en  27  ans, Nèé qui prouve  plutôt un  
 état confiant dans 1 Obliquité de l’Ecliptique que fer prétûndî-T^di minnrinn _ 
 -  On  péut  à  coup  ftfr laiffer là  queftiôn indécifè , jufqu?â -ce4 jüérïe’'ïëffil3,  
 par le moyen d’un grand nombre d’obfervations  eka&es ,  nbu’s  îa-déclde;  
 J’ajoûterai  avant que de finir, que Mr.  1§ Monnief, célébré AftronÔme de  
 l’Académie Royale dès Sciences,  par lesTbfervatiCjffs qu’iî fmt'tôiisdeS ans ,  
 eft porté à croire que la plus grande  Obliquité  de^l’Ecliptique  Varie,  non  
 par une diminution  confiante,  mais tantôt én ^gmentantVtahtôf .êh’di-  
 minuant.;  La.délicatefle &  la piécmbh des Irilfrffinens  qüe  j ’ai Vus dans.  
 l’Obfërvairdfreae Ptzm'rendent l’opinion de cét Afironômé  fort vraifem*  
 blable, &  le defaccord'entre les ôbferVàtions  tant anciennes que modernes*  
 duquel nous avons parlé  ei-defîus en efi  une  preuve.  Au furplus ce  feritis.  
 ment,  indépendamment deue  qu’il  peut âvoir de  réel,* convient  parfaitement  
 biçu avécli théorie'<lef Afirohomie moderne,  qui-hôtis  éhfêigne.  
 que  les divers  endroits;de  la Lune par rapport  auJjSdleiI; ,  doivent  altérer  
 à plus grande Obliquité de  l’Ecliptique,  non  feulement dans le cours desr- 
 Années-,,* 
 années,mais iqêtoe d’un-mois à l ’aqtre.  Céft  <|| qu’on,'pëut Voir  dans la  
 propofitron i2ir<iu Livre  kPhilofophie Naturelle de Mr.,|^îofç»,&  
 dans. l’AftronomiePhyfique du DoéleùrrG^^f pù il'eneft traité amplement. 
 ^TabledpJaPT  
 'Eafelédes Péfraâions.AfirônoKÙquestpaar  tou-1  
 rallaxe’  fuivaiit  
 ■ "té  l’éténdtie/#' la Zone TorndeJ4frbfervées  1  
 l’Ouvrage de la  
 connoiSancé?  
 ,f>ar M. 
 des Tcms, 5 i 
 - Hau- | Haïî* ■ -«kii'Sfc3 '  f - Haul ' | 
 teurs  - Parai- Jtgl|s.  iRéfrao Réfr-ac-) teurs  ' Réfraclaxé.. 
  ' appaubns. 
 . Jappa-  ' ' dons: appa- tionà^? 
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 \ f  29 ^ço'5'8 59 To;; 19 89 .'bd-*©! 
 i w m 1  00  5 a \  60 00  18 90 OQ  0 
 m 
 Diamètres  
 horizontaux  
 du  Soleil,  
 jebfervés par Mr i  
 lele  Lmville.  I 
 1 Aiiéma- h Diamé-T 
 Hé  vérl- !tre du 
 table: duSoleil. 
 .Soleil « _ 
 Sig. 0 |   ' '  U  j 
 ":’d 31 33 
 5 31 33 
 j 10 3J 3 4 
 ■ M m 35 
 3 1 ;35 
 *5 m M '20 31 37 
 I I 34w 
 ÏO 31 40 
 i j 34 42 
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 M r;3:| 47 
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